La ministre clarifie
La ministre répond au SE-Unsa qui s'est adressé à elle après ses déclarations concernant la "dictée quotidienne". Elle reprend ce qui est réellement indiqué dans les programmes :
"« L'automatisation de certains savoir-faire » est, ainsi que l'écrit le Conseil supérieur des programmes, « le moyen de libérer des ressources cognitives pour que [les élèves] puissent accéder à des opérations plus élaborées et à la compréhension ». C'est pourquoi le programme de français du cycle 2 prévoit que « les activités de lecture et d'écriture sont quotidiennes et les relations entre elles sont permanentes.» De courtes et fréquentes dictées de syllabes ou de mots sont notamment une activité importante pour la maîtrise des relations entre l'oral et l'écrit."
Par ailleurs la ministre souligne : "son attachement à la liberté pédagogique des enseignants du premier degré, dont la rigueur et le professionnalisme sont reconnus par tous dans la qualité des apprentissages des élèves."
Une mise au point que les enseignants attendaient ...