10 avril 2008
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Le 15 mai plutôt que le 15 avril
Trop c'est trop, la coupe est pleine, raz-le-bol ... sont les expressions les plus entendues en ce moment dans les salles des maîtres. Suppressions de postes par milliers, pseudo-consultation sur le projet des nouveaux programmes du primaire, mise en place des stages de rattrapage CM à la va-vite, 41 annuités pour une retraite à taux plein en 2012, pouvoir d'achat en berne ...
Et pourtant le SE-UNSA 92 n'appelle pas à la grève le 15 avril. Pourquoi ?
- D'abord parce que nous doutons de l'efficacité d'un mouvement régional (Ile-de-France) qui de plus porte sur des sujets nationaux initié par un seul syndicat qui a déjà décidé de tout : la date, les modalités, les mots d'ordre.
- Ensuite parce que nous ne partageons pas forcément les revendications de cet appel sur certains sujets : les stages de rattrapage (dont nous dénonçons la mise en oeuvre, pas l'existence) et la suppression du samedi matin (la signature du protocole par le SE-UNSA a permis d'obtenir de nombreuses avancées par rapport au projet initial) en sont deux exemples.
- Enfin, et surtout, parce que pendant que l'agitation gagnait l'Ile-de-France, une interfédérale de l'Education (la FCPE, l'UNL et la FIDL, l'UNEF, le SGEN, la CGT, l'UNSA Education, la FSU, SUD, FO, la JPA, la ligue de l'enseignement, les CRAP, L'ICEM et des représentants de mouvements de jeunes) se réunissait pour convenir d'un mouvement national d'ampleur au mois de mai. Deux dates ont été retenues :
le jeudi 15 mai (le CSE se réunit pour examiner les programmes du premier degré) avec des actions décentralisées départementales ou régionales : manifestations devant les préfectures avec remise d’une motion au préfet, conférence de presse ...
le samedi 24 mai pour permettre à toutes les organisations signataires du communiqué de presse de se mobiliser ensemble !
Le SE-UNSA 92 se reconnaît complètement dans cette démarche et appelle d'ores et dejà ses militants à se mobiliser pour faire de ces deux journées d'action une réussite.
Trop c'est trop, la coupe est pleine, raz-le-bol ... sont les expressions les plus entendues en ce moment dans les salles des maîtres. Suppressions de postes par milliers, pseudo-consultation sur le projet des nouveaux programmes du primaire, mise en place des stages de rattrapage CM à la va-vite, 41 annuités pour une retraite à taux plein en 2012, pouvoir d'achat en berne ...
Et pourtant le SE-UNSA 92 n'appelle pas à la grève le 15 avril. Pourquoi ?
- D'abord parce que nous doutons de l'efficacité d'un mouvement régional (Ile-de-France) qui de plus porte sur des sujets nationaux initié par un seul syndicat qui a déjà décidé de tout : la date, les modalités, les mots d'ordre.
- Ensuite parce que nous ne partageons pas forcément les revendications de cet appel sur certains sujets : les stages de rattrapage (dont nous dénonçons la mise en oeuvre, pas l'existence) et la suppression du samedi matin (la signature du protocole par le SE-UNSA a permis d'obtenir de nombreuses avancées par rapport au projet initial) en sont deux exemples.
- Enfin, et surtout, parce que pendant que l'agitation gagnait l'Ile-de-France, une interfédérale de l'Education (la FCPE, l'UNL et la FIDL, l'UNEF, le SGEN, la CGT, l'UNSA Education, la FSU, SUD, FO, la JPA, la ligue de l'enseignement, les CRAP, L'ICEM et des représentants de mouvements de jeunes) se réunissait pour convenir d'un mouvement national d'ampleur au mois de mai. Deux dates ont été retenues :
le jeudi 15 mai (le CSE se réunit pour examiner les programmes du premier degré) avec des actions décentralisées départementales ou régionales : manifestations devant les préfectures avec remise d’une motion au préfet, conférence de presse ...
le samedi 24 mai pour permettre à toutes les organisations signataires du communiqué de presse de se mobiliser ensemble !
Le SE-UNSA 92 se reconnaît complètement dans cette démarche et appelle d'ores et dejà ses militants à se mobiliser pour faire de ces deux journées d'action une réussite.