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SE-UNSA 92

8 bis rue Berthelot

92150 SURESNES

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ou 09 62 58 48 72

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Instances

Calendrier des réunions paritaires

Jeudi 7 septembre 2023 : CSA SD. Mesures d'ajustement de carte scolaire

Jeudi 9 novembre 2023 : CSA SD. Bilan des ressources 1er degré et AESH

Vendredi 26 janvier 2024 : CSA SD. Mesures de carte scolaire rentrée 2024

Réunions d'information syndicale

Mercredi 27 septembre 2023 : Nanterre à 9h30 (école élémentaire Jacques Decour B)

Mercredi 4 octobre 2023 : Le Plessis-Robinson à 9h30 (école maternelle Louis Hachette)

Mercredi 11 octobre 2023 : Visioconférence à 9h30

Mercredi 15 novembre 2023 : Mouvement inter. Visioconférence à 9h30

Mercredi 20 mars 2024 : Mouvement intra. Visioconférence à 10h

19 janvier 2024 5 19 /01 /janvier /2024 13:33
Énième changement de ministre, dénigrement de l’École publique, investissement au rabais, déconsidération des personnels, caricature du métier, réformite aigüe… à quand le respect de l’École publique et de ses personnels ?
 
La feuille de route éducative de l’ère Macron entraîne tout le système dans une impasse qui tend à détruire les chances des élèves, en particulier les plus fragiles, qui peinent à trouver leur place à l’École de tous.
 
Par leur choix d’investir insuffisamment et mal, de renvoyer les difficultés et les manques de l’École aux personnels, le président de la République et son gouvernement continuent de pousser à bout ceux qui font l’École. Ils génèrent exaspération et défiance.
 
Jouer sur les mots, jongler avec les chiffres pour afficher une rentrée scolaire 2024 suffisamment dotée, c’est leurrer sur l’abandon total de suppressions de postes.
Pour le SE-Unsa, c’est une nouvelle considération déplorable des besoins de l’École. C’est une réelle absence de courage que de masquer d’autres choix d’investissement que ceux en faveur de l’École de tous et pour tous.
 
Les enseignants, CPE, psychologues de l’Éducation nationale, AED et AESH ont à cœur de porter le projet d’une école républicaine émancipatrice pour une société unie et apaisée.
 
Le SE-Unsa appelle tous les personnels à se mobiliser le 1er février prochain pour exiger du président et de la ministre de respecter l’École publique et laïque, et ses personnels.
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17 mars 2023 5 17 /03 /mars /2023 14:30

Pour le retrait, on continue !

 

Après le recours au 49.3, l’intersyndicale décide de poursuivre la mobilisation et appelle à des rassemblements syndicaux de proximité ce week-end et à une nouvelle grande journée de grèves et manifestations le jeudi 23 mars prochain.

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16 janvier 2023 1 16 /01 /janvier /2023 15:34
Projet de réforme des retraites

Quels impacts pour les agents publics ?

 

Le projet de réforme des retraites impacte tous les agents de la fonction publique. L’Unsa Fonction Publique s’oppose à cette réforme brutale et injuste.

 

Recul de l’âge de départ et accélération de l’augmentation de la durée de cotisation
 
À terme, tous les agents publics travailleront deux années supplémentaires !
 
L’âge de départ recule de deux ans, pour les agents nés après le 1erseptembre 1961, à raison d’un trimestre par an, pour atteindre 64 ans à partir de la génération 1968.
 
Les fonctionnaires en catégorie active subiront la même mesure :
  • Pour ceux nés après le 1er septembre 1966, ils verront leur âge légal de départ augmenter à raison d’un trimestre par an pour atteindre 59 ans pour la génération 1973.
  • Pour ceux en catégorie "super-active", nés après le 1er septembre 1971, ils verront leur âge légal de départ augmenter à raison d’un trimestre par an pour atteindre 54 ans pour la génération 1978.
  • La durée de cotisation pour une carrière complète sera de 43 ans à partir de la génération née en 1968 (versus 1973, comme prévu par la réforme Touraine de 2014 ).
L’âge de l’annulation de la décote restera à 67 ans. La limite d’âge sera portée à 70 ans.
 
 
Retraite progressive 
 
La retraite progressive sera ouverte aux agents publics. Elle pourrait permettre de réduire son activité, tout en percevant une partie de sa retraite, sous conditions et sous réserve de l’accord de l’employeur ... à partir de 62 ans.
 
 
Catégorie active
 
La durée d’exercice minimum pour l’ouverture des droits en catégorie active ne sera pas modifiée (17 ou 27 ans).
 
La clause d’achèvement de la carrière en catégorie active serait supprimée. Une fois la durée de services acquise, sa portabilité, entre fonction, entre ministère ou entre les trois versants de la fonction publique serait permise. L’agent garderait ses droits liés au service actif.
La dégressivité pour la « bonification du 5e » serait supprimée. 
 
Pour les contractuels, exerçant un métier relevant de la catégorie active, ces temps de service seraient pris en compte au moment de la titularisation.
 
 
Calcul de la pension 
 
Le calcul de la pension pour les fonctionnaires restera basé sur l’indice de traitement détenu durant les six derniers mois, sans prise en compte des primes.
 
 
Invalidité, pénibilité et usure professionnelle
 
À ce stade, les dispositifs et les règles de l’invalidité restent inchangés.
La pénibilité ne sera pas ouverte aux agents de la fonction publique.
Un fond de prévention de l’usure professionnelle serait créé pour les établissements hospitaliers et médico-sociaux.
 
 
Pour l’Unsa Fonction Publique, la retraite progressive et les éléments annoncés pour le service actif (portabilité, maintien des durées d’acquisition) sont sans commune mesure avec les effets négatifs de la réforme.
 
L’Unsa Fonction Publique est totalement opposée à tout recul de l’âge légal de départ en retraite ou à l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisation. Elle appelle tous les agents à se mobiliser le 19 janvier.
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11 janvier 2023 3 11 /01 /janvier /2023 08:15

Mobilisé·es et en grève le 19 janvier

 

Suite aux annonces d’Elisabeth Borne, l’intersyndicale appelle à une journée de grève et de manifestations le 19 janvier prochain.

L’UNSA est résolue, avec l’ensemble de ses adhérents et sympathisants à faire reculer le gouvernement. Elle prendre toute sa place, dans le cadre unitaire, pour construire et déployer cette mobilisation qui sera certainement profonde et intense.

 

Voici le communiqué de presse intersyndical :

La Première Ministre a annoncé ce 10 janvier 2023 le report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans avec une accélération de l’augmentation de la durée de cotisation. 

Cette réforme va frapper de plein fouet l’ensemble des travailleurs et travailleuses, et plus particulièrement celles et ceux qui ont commencé à travailler tôt, les plus précaires, dont l'espérance de vie est inférieure au reste de la population, et celles et ceux dont la pénibilité des métiers n'est pas reconnue. Elle va aggraver la précarité de celles et ceux n’étant déjà plus en emploi avant leur retraite, et renforcer les inégalités femmes-hommes.

Le système de retraites par répartition n’est pas en danger, rien ne justifie une réforme aussi brutale. Attachées à un meilleur partage des richesses, les organisations syndicales n’ont eu de cesse pendant la concertation avec le Gouvernement de proposer d’autres solutions de financement, à commencer par l’amélioration de l’emploi des seniors. Jamais le gouvernement, arc-bouté sur son projet, ne les a étudiées sérieusement. 

Suite à l’annonce de la réforme gouvernementale, toutes les organisations syndicales se sont immédiatement réunies pour construire une réponse commune de mobilisation interprofessionnelle. Celle-ci prendra la forme d’une première journée de grèves et de manifestations le 19 janvier 2023.

Parce qu’elles représentent l’ensemble des travailleurs et des travailleuses, demandeurs et demandeuses d’emploi, et retraité.es, c’est cette date syndicale qui donne le départ d’une puissante mobilisation sur les retraites dans la durée.

Elles décident d’ores et déjà de se réunir le 19 janvier au soir avec les organisations de jeunesse pour prolonger le mouvement de mobilisation et convenir d’autres initiatives.  

Les organisations syndicales appellent les salarié.es à se mobiliser fortement dès cette première journée dans l’ensemble du territoire et à participer aux différentes initiatives organisées en intersyndicale. 

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13 janvier 2022 4 13 /01 /janvier /2022 11:21

À colère record, grève record !

 

Ce jeudi 13 janvier, la mobilisation historique dans l’Éducation nationale témoigne de la profonde colère des personnels face à la situation intenable et méprisante dans laquelle ils sont placés depuis bientôt 2 ans.

 

Pour le SE-Unsa, cette colère doit être entendue sans délai. Le Premier ministre qui a annoncé les dernières modifications, doit maintenant répondre aux demandes des personnels :

 

  • Stop aux changements incessants annoncés par voie de presse : pour être acceptables et applicables, les modifications de protocoles doivent être discutées avec les organisations syndicales et communiquées clairement et directement aux personnels concernés, avec des délais de mise en place ;

 

  • Stop à la double-journée : les temps personnels doivent être respectés sans astreinte déguisée et le cumul de l’enseignement en présentiel et en distanciel doit être stoppé.

 

  • Stop au « Débrouillez-vous avec la FAQ » : les personnels doivent avoir des réponses concrètes, cohérentes et en proximité, face aux questions qui se posent quotidiennement dans l’application des consignes.

 

  • Stop à l’insuffisance des équipements de protection : les masques chirurgicaux doivent être fournis immédiatement et des masques FFP2 doivent être mis à disposition de tous les personnels qui le souhaitent. Des autotests doivent être délivrés sans limitation de nombre.

 

  • Stop aux locaux inadaptés : les capteurs de CO2 doivent être disponibles dans toutes les écoles et tous les établissements. Les travaux nécessaires doivent être immédiatement engagés pour l’aération et des points d’eau en nombre suffisant.

 

  • Stop au manque d’enseignants, CPE et assistants d’éducation : il faut recruter des personnels via les listes complémentaires des concours et via des contrats décents pour les enseignants et CPE contractuels ainsi que pour les assistants d’éducation.

 

  • Stop aux demandes accessoires : tout ce qui n’est pas essentiel à la gestion de crise (réunions, rédactions de projets, formations, enquêtes, évaluations, d’établissements et d’écoles, évaluations de mi-CP, évaluations de la Depp) doit être systématiquement supprimé.

 

L’École et ses personnels sont au bord de la rupture et ont besoin de soutien pour continuer à fonctionner. Pour le SE-Unsa, le Premier ministre a le pouvoir et les leviers pour répondre à ces demandes et les faire appliquer concrètement dans chaque territoire Il doit maintenant tout mettre en œuvre pour donner les moyens à l’École et à ses personnels de dépasser cette crise.

 

 

Paris, le 13 janvier 2022

 

Stéphane Crochet

Secrétaire général

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8 janvier 2022 6 08 /01 /janvier /2022 08:50

Communiqué intersyndical

 

Dans le cadre de l’appel à la grève du 13 janvier, l’intersyndicale interpelle le ministre pour qu’il respecte les personnels et donne à l’École les moyens de fonctionner.

Grève du 13 janvier
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8 janvier 2022 6 08 /01 /janvier /2022 08:41
Situation sanitaire

Le SE-Unsa appelle à la grève le 13 janvier

 

Les personnels de l’Éducation nationale n’ont de cesse depuis des mois de dire à leur ministre qu’ils n’en peuvent plus. Face au déni total de ce dernier sur la réalité du quotidien, le SE-Unsa appelle les personnels à utiliser la grève le 13 janvier pour se faire entendre.
 
Les conditions de travail des personnels et celles d’apprentissage des élèves générées par une gestion chaotique de la crise à l’école sont devenues intenables.
Illisibilité des règles, modification incessante des tâches à accomplir, mise en porte-à-faux auprès des familles… sont les réelles conséquences de chaque annonce médiatique et revirement du protocole sanitaire.
Les délais de dépistage notamment, sont intenables (saturation des laboratoires et des pharmacies, pénurie des autotests, absence d’outils pour tenir les comptes des retours au fil de l’eau…).
 
Pour le SE-Unsa, lorsque la capacité à tester est insuffisante faute de moyens anticipés, ce n’est pas le dépistage qu’il faut alléger sinon on ôte la prévention, mais c’est une décision de fermeture qu’il faut savoir prendre.
 
Le SE-Unsa exige également :
  • des consignes discutées et adaptées à la réalité, communiquées clairement et directement aux collègues et avec des délais de mise en place ;
  • des équipements de protection et de prévention en nombre (masques chirurgicaux et FFP2, autotests, capteurs de CO2), dès les prochains jours et pas dans plusieurs semaines ;
  • un recrutement de personnels via les listes complémentaires des concours et via des contrats décents pour les enseignants et CPE contractuels ainsi que pour les assistants d’éducation ;
  • une priorité aux personnels de l’Éducation nationale quant à l’accueil de leurs enfants comme pour les soignants car le Service public d’éducation est aussi une priorité ;
  • le report systématique de tout ce qui n’est pas essentiel à la gestion de crise (réunions, rédactions de projets, formations, enquêtes, évaluations, d’établissements et d’écoles, évaluations de mi-CP, évaluations de la Depp) ;
  • le non-cumul de l’enseignement en présentiel et en distanciel.
Le SE-Unsa appelle les enseignants, CPE, PsyEN, AESH et AED à se mettre en grève le jeudi 13 janvier.
 
L’École est au bord de la rupture, elle a besoin de soutien pour continuer à fonctionner.
Les femmes et les hommes qui la font vivre vous disent « Stop, Monsieur le Ministre ! ».
 
Vous travaillez dans le 1er degré ? Vous avez jusqu’à lundi soir minuit pour vous déclarer gréviste. 
>> Téléchargez notre modèle de déclaration d’intention
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12 octobre 2021 2 12 /10 /octobre /2021 20:06

On manque de personnels Monsieur le Ministre !

 

Le SE-Unsa écrit au ministre pour demander des informations claires et des explications sur les raisons du manque important de personnels constaté depuis la rentrée.
 
Qu’ils s’agissent des enseignants, des CPE, des PsyEN, des AESH ou des AED, selon les remontées des sections locales du SE-Unsa : on manque de personnels dans nos écoles, collèges et lycées ! Plus précisément, et plus préoccupant, on manque de personnels là où les supports existent pourtant.
 
En clair, même là où il y a des postes, il n’y ni titulaire, ni titulaire remplaçant, ni contractuel pour les occuper.
 
La totalité des académies disposent pourtant de listes complémentaires parmi les lauréats du CRPE, c’est aussi le cas pour d’autres concours. Nombreuses et nombreux sont également les contractuels qui attendent d’être recrutés.
 
Cela jette donc une suspicion sur une volonté de faire des économies. Les moyens votés en Loi de finances sont-ils réellement utilisés ?
 
Tous les ans depuis quatre rentrées le second degré perd des postes alors que la démographie augmente. Si le premier degré en gagne, ils sont aussitôt absorbés par les mesures tels que les dédoublements. À ce manque de postes, il est impensable que s’ajoute le manque de personnels pour pourvoir les emplois, qui plus est quand ces ressources existent.
 
Alors que l’année ne fait que commencer, la tension est déjà très forte. Il appartient au ministre d’expliquer les refus de recrutements possibles, et plus que tout de les autoriser !
 
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10 juin 2021 4 10 /06 /juin /2021 12:21

Signez la pétition !

 

La Directrice Académique a décidé cette année de restreindre l'accès au temps partiel à 80% de droit. Les collègues qui en avaient fait la demande ont été convoqués par leur IEN afin de motiver leur choix. Ils se sont vus proposer un temps partiel à 75 ou 50%.
Dans un département où le coût de la vie est largement supérieur à une grande majorité des autres départements, cette décision est une véritable injustice pour les collègues concernés. Une fois de plus, le manque de personnels dans notre département conduit la DASEN à restreindre les droits des personnels. Il serait grand temps qu'une véritable politique de recrutement se mette en place dans notre Académie pour que les personnels déjà en place ne paient pas les conséquences du manque d'enseignants. Dans cette optique, la suppression du concours spécial sur l'académie de Versailles est une bien mauvaise nouvelle ...
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14 décembre 2019 6 14 /12 /décembre /2019 09:49
Grève du 17/12/19

La manifestation parisienne

 

Le point de ralliement est situé Place de la République, sous les ballons Unsa. Départ prévu à 14h30 pour se rendre à Place de la Nation.

 

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