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SE-UNSA 92

8 bis rue Berthelot

92150 SURESNES

Tél : 01 45 06 67 66

ou 09 62 58 48 72

92@se-unsa.org

Instances

Calendrier des réunions paritaires

Jeudi 5 septembre 2024 : CSA SD. Mesures d'ajustement de carte scolaire

Vendredi 30 janvier 2025 : Groupe de Travail. Préparation de la carte scolaire rentrée 2025

Réunions d'information syndicale

Mercredi 2 octobre 2024 : Suresnes à 10h (8 bis rue Berthelot)

Mercredi 9 octobre 2024 : Le Plessis-Robinson à 10h (école maternelle Louis Hachette)

Mercredi 13 novembre 2024 : Mouvement inter. Visioconférence à 10h

27 novembre 2024 3 27 /11 /novembre /2024 14:26
Toutes les limites ont été franchies

Le SE-Unsa appelle à la grève le 5 décembre !

 

Dégradation de nos conditions de travail et de vie, humiliation de nos métiers, la coupe est pleine. Face aux annonces inacceptables du ministre de la Fonction publique en matière de santé et de salaire, face à l’absence totale de soutien de la ministre Genetet, le SE-Unsa appelle à la grève le 5 décembre. Il exige respect des métiers et des personnels du Service public et par conséquent respect des usagers, dont nos élèves !
 
 
Dégradation de nos conditions de vie : le ministre Kasbarian dénigrant
 
Si l’Unsa Fonction publique, avec l’intersyndicale, a obtenu l’abandon de la suppression des catégories C, B et A envisagée au titre du projet de loi dit Guerini, le ministre Kasbarian semble s’assoir sur les autres propositions et revendications. 
Il persiste à instaurer 3 jours de carence dans la Fonction publique, à diminuer l’indemnisation des jours d’arrêt maladie et à cesser le versement de la Gipa !
 
Quels services publics peuvent améliorer le quotidien des Français si les agents qui les font tourner se précarisent de plus en plus ?
 
Au SE-Unsa, on invite M. Kasbarian à venir vivre une journée de nos métiers afin qu’il constate très rapidement une évidence : notre santé au travail est non seulement exposée à de nombreux risques, notamment psychosociaux, mais en plus elle n’est pas suivie faute de médecine du travail suffisante.
On invite aussi M. Kasbarian à discuter d’une fiche de paie d’un personnel de l’Éducation nationale afin qu’il mesure là aussi une évidence : même après des années d’exercice, le salaire est loin, très loin de permettre une sérénité matérielle pour un très grand nombre d’entre nous.
 
Alors contre les 3 jours de carence et pour une hausse de nos rémunérations, on signe et on fait signer la pétition UNSA >> Je signe !
 

Et concrètement, on perd combien ?
Pour calculer votre perte de salaire en cas d’application de ces mesures, remplissez notre simulateur >> Je fais le calcul

 
Humiliation de nos métiers : la ministre Genetet bien rangée
 
L’acte II du Choc des savoirs avait suffi à démontrer la volonté ministérielle de ne rien changer à la feuille de route macronienne pourtant rejetée par tous.
L’absence d’engagement réel de la ministre pour s’opposer aux suppressions de postes a conforté le soutien plus que timide à tous les personnels par la pilote de l’institution elle-même.
 
Avait-on alors besoin que face aux annonces démagogiques jouant à comparer public et privé, la ministre réagisse peu et surtout tard, voire revienne sur ses propos en parlant d’importance de l’équité ? Non, nous avions déjà compris le message.
 
À nous de faire savoir le nôtre, avec force et détermination !
Au SE-Unsa, nous appelons les enseignants, AESH, CPE, AED et PsyEN à une mobilisation importante lors de la grève du 5 décembre.
 
Le SE-Unsa a également signé un texte intersyndical pour un appel le plus large possible. 
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15 novembre 2024 5 15 /11 /novembre /2024 20:01
Fonction publique

Mobilisation sur l'ensemble du territoire le 5 décembre

 

es organisations syndicales CGT, CFDT, UNSA, FSU, Solidaires, CFE-CGC et FA-FP appellent les agent·es de la Fonction publique à une journée d’action, de rassemblements, de manifestations et de grève sur l’ensemble du territoire le 5 décembre 2024.

 

Répondant à la demande de l’ensemble des organisations syndicales représentatives de la Fonction publique, Guillaume Kasbarian, ministre de la Fonction publique, de la Simplification et de la Transformation de l’action publique, a été contraint de nous accorder une audience le jeudi 7 novembre dernier.

Les organisations syndicales ont obtenu l'abandon de la suppression des catégories C, B et A de la fonction publique envisagée au titre du projet de loi dit « Guerini ». Le ministre s'est aussi engagé à rediscuter de son projet « d'agenda social ».

 

Force est de constater que Guillaume Kasbarian n’a pas répondu à la plupart des autres propositions et revendications portées par les organisations syndicales.

 

C'est pourquoi nous en appelons à une première journée de mobilisation sur l’ensemble du territoire, le 5 décembre 2024, y compris par la grève et la manifestation.

 

Une journée pour que le ministre renonce :

  • aux 3 jours de carence dans la fonction publique,
  • à la diminution de l’indemnisation des jours d’arrêt maladie,
  • au non-versement de la Gipa.

Dans le même temps, nos organisations syndicales appellent les agent·es de la fonction publique, fonctionnaires et contractuel·les, à se mobiliser pour notamment :

  • des moyens budgétaires à la hauteur des missions des services et des politiques publiques,
  • des créations d'emplois partout où c'est nécessaire et l’accès à l’emploi titulaire des agents contractuels,
  • l'augmentation de la valeur du point d'indice au titre de l'année 2024 et des années suivantes et des mesures salariales générales,
  • la refonte des grilles indiciaires,
  • l'égalité salariale et professionnelle entre les femmes et les hommes,
  • l'abandon des orientations du projet de loi dit « Guerini ».

Nos organisations syndicales conviennent de se revoir après cette journée de mobilisation et de grève.

 

Paris, le jeudi  14 novembre 2024

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2 septembre 2024 1 02 /09 /septembre /2024 18:14

Une rentrée scolaire inédite !

 

Les organisations syndicales SE-Unsa 92, SNUipp 92, SGEN-CFDT 92, SNALC 92, SUD 92 et CGT-Educ'Action 92 dénoncent dans un communiqué intersyndical les conditions de cette rentrée inédite.

 

Elles ont déposé un préavis de grève pour la semaine de la rentrée, des préavis nationaux s’étendent sur tout le premier trimestre.

 

Nos organisations syndicales exigent :

- L’ouverture des classes et l’abandon des fermetures partout où cela est nécessaire.

- Le recrutement des AESH nécessaires pour assurer l’accompagnement de tous les élèves en situation de handicap.

- Un recrutement des enseignants à la hauteur des besoins, avec une formation initiale à la hauteur des enjeux.

- L’abandon des mesures concernant les évaluations nationales standardisées.

 

Nos organisations syndicales vous invitent à une réunion d’information syndicale en visio le mercredi 4 septembre de 13h à 15h.

 

Retrouvez le communiqué intersyndical et toutes les informations pour participer à la RIS de mercredi en cliquant sur le lien ci-dessous.

 

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12 juin 2024 3 12 /06 /juin /2024 08:29

Pour le SE-Unsa, c'est non !

 

Le choc des savoirs est imposé à marche forcée depuis des mois par notre Ministère auprès des familles et des personnels de l’Éducation nationale.

Dans ce cadre, il vient d'être annoncé auprès des enseignants une formation aux nouveaux programmes de mathématiques de cycles 1 et 2 dans les prochains jours.

Le SE-Unsa s'y oppose avec vigueur.

Celle-ci ne s'inscrit nullement dans une temporalité adéquate ainsi que dans un cadre réglementaire.

Une nouvelle fois, cela démontre le mépris croissant envers les personnels de l'Education nationale.

Le SE-Unsa a dénoncé cette formation et ce mépris en sollicitant par écrit le Recteur de l'académie de Versailles. Il s'est aussi associé à l'intersyndicale qui a aussi sollicité le Recteur suite à son message annonçant les modalités de la formation.

Les 2 courriers sont à lire en cliquant sur les liens ci-dessous.

 

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29 mai 2024 3 29 /05 /mai /2024 07:48

Pour le SE-Unsa, c'est non !

 

Le ministère de l’Éducation nationale a décidé de lancer une nouvelle enquête auprès des enseignants du 1er degré pour évaluer leurs pratiques pédagogiques. Le SE-Unsa s’oppose à cette énième enquête qui alourdit encore la charge de travail des professeurs des écoles et donne consigne de ne pas la renseigner.
 
 
Une enquête qui n’a pas de sens
 
Cette enquête lancée par la Direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance a pour objectif de documenter les pratiques pédagogiques des professeurs des écoles. En cette fin d’année scolaire, des enseignants de 376 écoles sont tirés au sort pour tester cette enquête avant sa généralisation à la rentrée 2025 en CP pour suivre toute une cohorte d’élèves jusqu’en CM2.
 
Si le SE-Unsa ne s’oppose pas à l’évaluation des pratiques pédagogiques en tant que tel, il considère que cette démarche relève directement de la compétence des inspecteurs de l’Éducation nationale lors des visites conseil ou des rendez-vous de carrière. 
 
 
On ne remplit pas cette enquête !
 
Cette enquête étant une enquête de trop qui va encore alourdir la charge de travail des professeurs des écoles, le SE-Unsa a écrit à la ministre de l’Éducation nationale pour lui signifier que nous donnons comme consigne syndicale de ne pas remplir cette enquête.
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19 janvier 2024 5 19 /01 /janvier /2024 13:33
Énième changement de ministre, dénigrement de l’École publique, investissement au rabais, déconsidération des personnels, caricature du métier, réformite aigüe… à quand le respect de l’École publique et de ses personnels ?
 
La feuille de route éducative de l’ère Macron entraîne tout le système dans une impasse qui tend à détruire les chances des élèves, en particulier les plus fragiles, qui peinent à trouver leur place à l’École de tous.
 
Par leur choix d’investir insuffisamment et mal, de renvoyer les difficultés et les manques de l’École aux personnels, le président de la République et son gouvernement continuent de pousser à bout ceux qui font l’École. Ils génèrent exaspération et défiance.
 
Jouer sur les mots, jongler avec les chiffres pour afficher une rentrée scolaire 2024 suffisamment dotée, c’est leurrer sur l’abandon total de suppressions de postes.
Pour le SE-Unsa, c’est une nouvelle considération déplorable des besoins de l’École. C’est une réelle absence de courage que de masquer d’autres choix d’investissement que ceux en faveur de l’École de tous et pour tous.
 
Les enseignants, CPE, psychologues de l’Éducation nationale, AED et AESH ont à cœur de porter le projet d’une école républicaine émancipatrice pour une société unie et apaisée.
 
Le SE-Unsa appelle tous les personnels à se mobiliser le 1er février prochain pour exiger du président et de la ministre de respecter l’École publique et laïque, et ses personnels.
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17 mars 2023 5 17 /03 /mars /2023 14:30

Pour le retrait, on continue !

 

Après le recours au 49.3, l’intersyndicale décide de poursuivre la mobilisation et appelle à des rassemblements syndicaux de proximité ce week-end et à une nouvelle grande journée de grèves et manifestations le jeudi 23 mars prochain.

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16 janvier 2023 1 16 /01 /janvier /2023 15:34
Projet de réforme des retraites

Quels impacts pour les agents publics ?

 

Le projet de réforme des retraites impacte tous les agents de la fonction publique. L’Unsa Fonction Publique s’oppose à cette réforme brutale et injuste.

 

Recul de l’âge de départ et accélération de l’augmentation de la durée de cotisation
 
À terme, tous les agents publics travailleront deux années supplémentaires !
 
L’âge de départ recule de deux ans, pour les agents nés après le 1erseptembre 1961, à raison d’un trimestre par an, pour atteindre 64 ans à partir de la génération 1968.
 
Les fonctionnaires en catégorie active subiront la même mesure :
  • Pour ceux nés après le 1er septembre 1966, ils verront leur âge légal de départ augmenter à raison d’un trimestre par an pour atteindre 59 ans pour la génération 1973.
  • Pour ceux en catégorie "super-active", nés après le 1er septembre 1971, ils verront leur âge légal de départ augmenter à raison d’un trimestre par an pour atteindre 54 ans pour la génération 1978.
  • La durée de cotisation pour une carrière complète sera de 43 ans à partir de la génération née en 1968 (versus 1973, comme prévu par la réforme Touraine de 2014 ).
L’âge de l’annulation de la décote restera à 67 ans. La limite d’âge sera portée à 70 ans.
 
 
Retraite progressive 
 
La retraite progressive sera ouverte aux agents publics. Elle pourrait permettre de réduire son activité, tout en percevant une partie de sa retraite, sous conditions et sous réserve de l’accord de l’employeur ... à partir de 62 ans.
 
 
Catégorie active
 
La durée d’exercice minimum pour l’ouverture des droits en catégorie active ne sera pas modifiée (17 ou 27 ans).
 
La clause d’achèvement de la carrière en catégorie active serait supprimée. Une fois la durée de services acquise, sa portabilité, entre fonction, entre ministère ou entre les trois versants de la fonction publique serait permise. L’agent garderait ses droits liés au service actif.
La dégressivité pour la « bonification du 5e » serait supprimée. 
 
Pour les contractuels, exerçant un métier relevant de la catégorie active, ces temps de service seraient pris en compte au moment de la titularisation.
 
 
Calcul de la pension 
 
Le calcul de la pension pour les fonctionnaires restera basé sur l’indice de traitement détenu durant les six derniers mois, sans prise en compte des primes.
 
 
Invalidité, pénibilité et usure professionnelle
 
À ce stade, les dispositifs et les règles de l’invalidité restent inchangés.
La pénibilité ne sera pas ouverte aux agents de la fonction publique.
Un fond de prévention de l’usure professionnelle serait créé pour les établissements hospitaliers et médico-sociaux.
 
 
Pour l’Unsa Fonction Publique, la retraite progressive et les éléments annoncés pour le service actif (portabilité, maintien des durées d’acquisition) sont sans commune mesure avec les effets négatifs de la réforme.
 
L’Unsa Fonction Publique est totalement opposée à tout recul de l’âge légal de départ en retraite ou à l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisation. Elle appelle tous les agents à se mobiliser le 19 janvier.
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11 janvier 2023 3 11 /01 /janvier /2023 08:15

Mobilisé·es et en grève le 19 janvier

 

Suite aux annonces d’Elisabeth Borne, l’intersyndicale appelle à une journée de grève et de manifestations le 19 janvier prochain.

L’UNSA est résolue, avec l’ensemble de ses adhérents et sympathisants à faire reculer le gouvernement. Elle prendre toute sa place, dans le cadre unitaire, pour construire et déployer cette mobilisation qui sera certainement profonde et intense.

 

Voici le communiqué de presse intersyndical :

La Première Ministre a annoncé ce 10 janvier 2023 le report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans avec une accélération de l’augmentation de la durée de cotisation. 

Cette réforme va frapper de plein fouet l’ensemble des travailleurs et travailleuses, et plus particulièrement celles et ceux qui ont commencé à travailler tôt, les plus précaires, dont l'espérance de vie est inférieure au reste de la population, et celles et ceux dont la pénibilité des métiers n'est pas reconnue. Elle va aggraver la précarité de celles et ceux n’étant déjà plus en emploi avant leur retraite, et renforcer les inégalités femmes-hommes.

Le système de retraites par répartition n’est pas en danger, rien ne justifie une réforme aussi brutale. Attachées à un meilleur partage des richesses, les organisations syndicales n’ont eu de cesse pendant la concertation avec le Gouvernement de proposer d’autres solutions de financement, à commencer par l’amélioration de l’emploi des seniors. Jamais le gouvernement, arc-bouté sur son projet, ne les a étudiées sérieusement. 

Suite à l’annonce de la réforme gouvernementale, toutes les organisations syndicales se sont immédiatement réunies pour construire une réponse commune de mobilisation interprofessionnelle. Celle-ci prendra la forme d’une première journée de grèves et de manifestations le 19 janvier 2023.

Parce qu’elles représentent l’ensemble des travailleurs et des travailleuses, demandeurs et demandeuses d’emploi, et retraité.es, c’est cette date syndicale qui donne le départ d’une puissante mobilisation sur les retraites dans la durée.

Elles décident d’ores et déjà de se réunir le 19 janvier au soir avec les organisations de jeunesse pour prolonger le mouvement de mobilisation et convenir d’autres initiatives.  

Les organisations syndicales appellent les salarié.es à se mobiliser fortement dès cette première journée dans l’ensemble du territoire et à participer aux différentes initiatives organisées en intersyndicale. 

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13 janvier 2022 4 13 /01 /janvier /2022 11:21

À colère record, grève record !

 

Ce jeudi 13 janvier, la mobilisation historique dans l’Éducation nationale témoigne de la profonde colère des personnels face à la situation intenable et méprisante dans laquelle ils sont placés depuis bientôt 2 ans.

 

Pour le SE-Unsa, cette colère doit être entendue sans délai. Le Premier ministre qui a annoncé les dernières modifications, doit maintenant répondre aux demandes des personnels :

 

  • Stop aux changements incessants annoncés par voie de presse : pour être acceptables et applicables, les modifications de protocoles doivent être discutées avec les organisations syndicales et communiquées clairement et directement aux personnels concernés, avec des délais de mise en place ;

 

  • Stop à la double-journée : les temps personnels doivent être respectés sans astreinte déguisée et le cumul de l’enseignement en présentiel et en distanciel doit être stoppé.

 

  • Stop au « Débrouillez-vous avec la FAQ » : les personnels doivent avoir des réponses concrètes, cohérentes et en proximité, face aux questions qui se posent quotidiennement dans l’application des consignes.

 

  • Stop à l’insuffisance des équipements de protection : les masques chirurgicaux doivent être fournis immédiatement et des masques FFP2 doivent être mis à disposition de tous les personnels qui le souhaitent. Des autotests doivent être délivrés sans limitation de nombre.

 

  • Stop aux locaux inadaptés : les capteurs de CO2 doivent être disponibles dans toutes les écoles et tous les établissements. Les travaux nécessaires doivent être immédiatement engagés pour l’aération et des points d’eau en nombre suffisant.

 

  • Stop au manque d’enseignants, CPE et assistants d’éducation : il faut recruter des personnels via les listes complémentaires des concours et via des contrats décents pour les enseignants et CPE contractuels ainsi que pour les assistants d’éducation.

 

  • Stop aux demandes accessoires : tout ce qui n’est pas essentiel à la gestion de crise (réunions, rédactions de projets, formations, enquêtes, évaluations, d’établissements et d’écoles, évaluations de mi-CP, évaluations de la Depp) doit être systématiquement supprimé.

 

L’École et ses personnels sont au bord de la rupture et ont besoin de soutien pour continuer à fonctionner. Pour le SE-Unsa, le Premier ministre a le pouvoir et les leviers pour répondre à ces demandes et les faire appliquer concrètement dans chaque territoire Il doit maintenant tout mettre en œuvre pour donner les moyens à l’École et à ses personnels de dépasser cette crise.

 

 

Paris, le 13 janvier 2022

 

Stéphane Crochet

Secrétaire général

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