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SE-UNSA 92

8 bis rue Berthelot

92150 SURESNES

Tél : 01 45 06 67 66

ou 09 62 58 48 72

92@se-unsa.org

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Calendrier des réunions paritaires

Jeudi 5 septembre 2024 : CSA SD. Mesures d'ajustement de carte scolaire

Réunions d'information syndicale

Mercredi 2 octobre 2024 : Suresnes à 10h (8 bis rue Berthelot)

Mercredi 9 octobre 2024 : Le Plessis-Robinson à 10h (école maternelle Louis Hachette)

Mercredi 13 novembre 2024 : Mouvement inter. Visioconférence à 10h

3 février 2016 3 03 /02 /février /2016 18:53

Les élèves de SEGPA sont-ils bien des collégiens comme les autres ?

 

La ministre, interpelée par un parlementaire en juin dernier, affirmait que « Les élèves de SEGPA bénéficieront de la nouvelle organisation du collège, comme tous les autres collégiens, des enseignements pratiques interdisciplinaires et de l’accompagnement personnalisé. »

Force est de constater que les DHG transmises aux établissements ne vont pas dans ce sens. Au contraire, elles montrent que, dans la majorité des cas, le calcul de la dotation horaire supplémentaire a été effectué sans tenir compte des divisions de SEGPA.

Pour le SE-Unsa, la refondation pédagogique doit concerner ces élèves avec la mise en œuvre de l’accompagnement personnalisé et des enseignements pratiques interdisciplinaires. Des démarches plus inclusives nécessitent également des moyens complémentaires.

Les élèves de SEGPA sont des collégiens comme les autres et méritent de bénéficier des mêmes moyens. Nous demandons au ministère de donner toute consigne aux recteurs pour que :

  • la DHS des collèges comportant une SEGPA soit calculée en tenant compte de ses divisions ;
  • la DHS soit utilisée en partie pour des projets pédagogiques incluant les élèves de SEGPA.

Faute de quoi l’inclusion de ces élèves resterait lettre morte, et à contre-courant de la philosophie qui sous-tend la réforme du collège.

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 08:19

Sans réponse du Ministre, la mobilisation s'élargit

 

Ce mardi 4 février 2014, près de 700 personnes se sont réunies devant le ministère après une manifestation partie de Sèvres-Babylone. C’est la preuve que la mobilisation s’élargit au-delà des enseignants car de nombreux parents et lycéens ont rejoint le cortège.

Plus de 17 établissements étaient présents dans le cortège tandis que d’autres étaient bloqués par les parents d’élèves dans le département.

Une délégation a été reçue demandant des moyens supplémentaires nécessaires aux établissements du département. Encore une fois, après une quatrième journée de grève, aucune réponse n’a été donnée. C’est le choix du pourrissement qui a été fait par l’administration : c’est inacceptable.

Le refus du Ministre de répondre aux revendications légitimes contraint les personnels à élargir le mouvement.  

Dans ces conditions, l'Assemblée Générale des établissements en lutte et les organisations CGT Educ'Action, FNEC FP FO, FSU, SGEN-CFDT, SUD-Education & SE-UNSA appellent les personnels à poursuivre le mouvement :

·         En poursuivant l'élargissement du mouvement en direction des parents et des jeunes scolarisés ainsi que des élus dans nos établissements et nos communes.

·         En se rassemblant avec les familles samedi 8 Février à Colombes à 14 h30 devant la mairie de Colombes puis à Nanterre à 16 heures devant la Préfecture.

·         En appelant à la grève jeudi 13 février et en manifestant devant le Ministère.

Toutes ces actions ont pour but d’obtenir les moyens du maintien des taux d’encadrement dans les Hauts-de-Seine c'est-à-dire une dotation supplémentaire de l'Etat de 2000 heures, nécessaire au maintien de conditions d'études convenables pour les enseignants comme pour les élèves.

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29 janvier 2014 3 29 /01 /janvier /2014 15:29

La grève continue dans le 92

 

Suite au succès du rassemblement devant le ministère hier, et devant l'insuffisance des moyens distribués par le Directeur Académique lundi, l'intersyndicale a décidé de reconduire l'appel à la grève ce jeudi 30 janvier. Elle appelle a :

- une AG à 10h à Nanterre (grande salle du Champ aux Melles, 11 Allée Fernand Léger)

- un rassemblement devant le Rectorat à 14h à Versailles (3 bvd de Lesseps)

Lire le communiqué commun

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28 janvier 2014 2 28 /01 /janvier /2014 07:37

Rentrée 2014 : des améliorations insuffisantes

 

Le comité technique qui s’est tenu hier matin, lundi 27 janvier, fait état de moyens supplémentaires, c’est le fruit d’une mobilisation importante de tous, notamment dans l’éducation prioritaire. La situation dans les collèges les plus fragiles s’améliore.

+ 528 h pour les collèges

+ 140 h pour les lycées

Cependant, ces moyens "nouveaux" sont issus de la réserve départementale, qui sert pour les ajustements de rentrée. L’ouverture de nouvelles classes sera donc rendue très difficile pour la rentrée 2014.

Il est donc nécessaire d’obtenir une dotation supplémentaire du ministère pour permettre une rentrée sereine et une amélioration du taux d’encadrement dans les lycées, qui sont les oubliés de cette nouvelle distribution. C’est pourquoi le SE Unsa appelle tous les collègues à se mettre en grève et à participer à l’Assemblée générale et au rassemblement devant le ministère :

Assemblée générale Mardi 28 janvier 2014 - 10 h 00 Salle Ambroise Croizat Bourse du travail - 3, rue du château d’eau - 75010 Paris (métro République)

Rassemblement devant le ministère Mardi 28 janvier 2014 - 14 h 00 110, rue de Grenelle - 75007 Paris (métro Solférino)

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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 09:01
Quand les sénateurs attaquent le collège pour tous !

En votant un amendement déposé par le rapporteur de la loi sur l’orientation et la formation professionnelle tout au long de la vie, les sénateurs se sont prononcés en faveur de la scolarisation d’élèves de quinze ans par les Centres de Formation des Apprentis afin d’y préparer un projet d’apprentissage.

Le SE-UNSA dénonce cette grave atteinte au principe républicain de la scolarisation commune qui montre à quel point le combat pour le collège unique n’est pas terminé.

Depuis son avènement, il y a plus de trente ans, des dispositifs spécifiques n’ont cessé d’écorner l’idéal de la scolarisation commune de tous les élèves jusqu’à 16 ans. Sous couvert de lutter contre l’échec scolaire, les 4ème et 3ème techno ont succédé aux CPA et CPPN, les classes en alternance aux 4ème d’Aide et de soutien et aux 3ème d’insertion, l’ « apprentissage Junior » et la Découverte professionnelle 6 heures aux 3ème CPA et 3ème préparatoire à la voie professionnelle… On en oublie sans doute. Faute d’avoir défini ce que devaient être les objectifs spécifiques du dernier maillon de la scolarité commune, le système a traité le problème de la difficulté scolaire sur le mode de la relégation.

Avec l’adoption du socle commun de connaissances et de compétences, cette époque devrait être révolue. On n’en est que plus surpris de l’initiative incongrue prise par les sénateurs.

Le SE-UNSA attend de la représentation nationale qu’elle porte pleinement les objectifs de la loi de 2005 au lieu de lui porter des coups de canif.

Il condamne le signal négatif qui est envoyé à la communauté éducative à l’heure où on lui demande légitimement de se mobiliser dans la mise en œuvre du socle commun.

Le SE-UNSA rappelle que l’achèvement du processus de démocratisation du collège impose de repenser en profondeur les contenus qui y sont dispensés et leur mode d’évaluation.

 

Paris, le 25 septembre 2009

Christian CHEVALIER, Secrétaire Général

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10 février 2009 2 10 /02 /février /2009 13:02
Expérimentation ou supercherie ?

Xavier Darcos a annoncé une expérimentation de nouvelles organisations du lycée. A cette fin, l'équivalent de 500 emplois seraient proposés à une centaine d'établissements pour une expérimentation à la rentrée prochaine. C'est la seule information précise connue.  Aucun cadrage national : rien n'est dit ni sur les objectifs, ni sur le contenu, ni sur les modalités d'évaluation.

Pour le SE-UNSA, si le principe d'une expérimentation n'est pas condamnable en soi, il est impératif  de respecter un certain nombre de règles élémentaires :

- Les équipes des établissements concernés doivent être réellement volontaires et l'exprimer par un vote du conseil d'administration.

- Les modalités de l'expérimentation doivent êtres précises et connues de tous.

- L'expérimentation doit faire l'objet d'un protocole d'évaluation.

En l'absence de ces conditions, l'expérimentation apparaît comme une supercherie. Le SE-UNSA émet les plus grandes réserves quant à son intérêt.

Dans un contexte marqué par la défiance des enseignants à l'égard de la politique éducative du gouvernement et par les suppressions de postes dans les établissements, une expérimentation menée dans la plus grande confusion ne peut que susciter le rejet.

Au lendemain de l'abandon du projet de réforme du lycée, il serait grand temps de changer de méthode et d'aborder avec le sérieux nécessaire une question qui touche à l'avenir de la nation.

  

Luc Bérille, Secrétaire Général

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16 décembre 2008 2 16 /12 /décembre /2008 18:11
Seconde : un recul de première

Le ministre annonce ce matin qu'il ajourne la réforme de la classe de seconde et qu'il va relancer les discussions avec les organisations syndicales pour discuter de l'ensemble 2nde-1ère-terminale. A l'évidence, la crainte d'un développement du mouvement lycéen est à l'origine de ce recul.
Le SE-UNSA ne peut que se réjouir de cette annonce. Il n'avait en effet cessé de dénoncer une réforme au pas de charge, hypothéquée par les économies budgétaires et concentrée sur la seule seconde, sans visibilité sur l'ensemble de l'architecture du lycée.
Enterrement de première classe ou dégagement d'un vrai espace de négociation ? La suite le dira. Le SE-UNSA continue à estimer qu'une réforme du lycée est indispensable dans l'intérêt de la réussite des élèves. Il fera donc à nouveau valoir ses mandats sur le sujet.
Ce retournement du ministre pose une autre question : pourquoi lui aura-t-il fallu 4 mois avant de décider enfin cet ajournement ? La totalité des organisations syndicales le lui avait en effet réclamé devant l’impossibilité d’une réflexion sérieuse dans des délais aussi contraints. Le peu de cas fait du dialogue social est à nouveau illustré
Pour le SE-UNSA, d’autres sujets de très graves tensions persistent. Pas plus que pour le lycée, une réforme de l’aide spécialisée aux enfants en difficulté en primaire ne s’accommodera du passage en force. Le SE-UNSA demande là aussi au ministre d’ajourner pour apaiser.


Paris, le 15 décembre 2008
Luc Bérille, Secrétaire Général

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7 novembre 2008 5 07 /11 /novembre /2008 19:23

Les syndicats CNGA-CGC, SE-UNSA, SNALC-CSEN, SNEP-FSU, SNES-FSU, SNETAA-EIL, SNUEP-FSU et  UNSEN-CGT appellent les enseignants du 2nd degré à la grève le 20 novembre 2008

Alors que la rentrée 2008 s’est déroulée dans des conditions matérielles très difficiles pour l’ensemble des établissements du 2nd degré, le projet de budget 2009 ne peut que renforcer l’inquiétude des personnels. Les collèges, pourtant en augmentation démographique subiront les plus fortes suppressions d’emplois. Les lycées et les lycées professionnels ne seront pas épargnés. De surcroît, les diminutions programmées du nombre de places aux concours de recrutement et des moyens de remplacement annoncent un recours massif à la précarité.

Alors que le parlement délibère sur la loi de finances 2009, les organisations syndicales dénoncent des perspectives budgétaires qui vont nuire gravement et durablement aux élèves et aux enseignants. Le gouvernement entend mener une politique pilotée et contrainte par un budget en régression et une logique de réduction de l’offre de formation, en particulier dans la voie professionnelle.

A la dégradation constante et programmée des moyens d’enseignement et des conditions de travail, s'ajoutent des attaques répétées contre le paritarisme  et le droit syndical. La politique du fait accompli et la marche forcée ne peuvent tenir lieu de méthode de dialogue social.

C’est parce qu’elles font du développement du système éducatif un enjeu fondamental pour l’avenir du pays et des jeunes que les organisations soussignées appellent à la grève dans les collèges, lycées et lycées professionnels le jeudi 20 novembre pour :

         Un budget 2009 à la hauteur des exigences, ce qui nécessite notamment de revenir sur les suppressions de postes prévues ;

         Une rénovation du système éducatif avec comme axe principal la réussite et l’élévation de la qualification de tous les jeunes, ce qui va de pair avec l’amélioration des conditions de travail des élèves et des personnels ;

         Le maintien et le développement du paritarisme et des droits syndicaux ;

         Un véritable dialogue social sur les questions éducatives, ce qui nécessite que toute réforme prenne en compte les propositions des personnels, des parents, des élèves et de leurs organisations représentatives ce qui exclut la précipitation dans laquelle le ministère entend actuellement travailler ;

         La revalorisation de l’ensemble des personnels d’enseignement, d’éducation et d’orientation ;

         Une réforme des lycées reconnaissant les apports disciplinaires, respectant les métiers, définissant des parcours cohérents dans les 3 voies de formation pour mener davantage de jeunes au Baccalauréat, examen national garantissant l’accès à l’Université.


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23 octobre 2008 4 23 /10 /octobre /2008 13:10
Rendez-vous manqué

Les objectifs s'annonçaient ambitieux, mais le soufflé sera vite retombé. Les annonces de M. Darcos sur le lycée sonnent comme un rendez-vous manqué. Dans la nouvelle architecture que le ministre vient d'annoncer pour la classe de seconde à la rentrée prochaine, rien ne changera fondamentalement les logiques d'aujourd'hui.

Pour les 2/3 de l'horaire des élèves, rien de nouveau : les enseignements fondamentaux n'étant pas organisés de façon modulaire, ils seront comme aujourd'hui répartis sur l'année scolaire.

Quant aux « nouveautés », elles auront une part si congrue qu'elles n'auront qu'une influence marginale sur le parcours des élèves :

-         4 modules annuels, les seuls pour lesquels un découpage de l'année en deux semestres a un sens, mais dont rien ne dit qu'en dehors du changement d'étiquette, certains ne fonctionneront pas comme les options actuelles…

-         un accompagnement individualisé fourre-tout où les travaux interdisciplinaires entrent en concurrence avec l'aide méthodologique, l'orientation et le soutien scolaire…

Cette « seconde Darcos », si peu éloignée de l'actuelle, ne peut qu'aboutir aux mêmes travers structurels qui s'opposent à des parcours souples non enfermants et non ségrégatifs. Qui s'étonnera que, dans ces conditions, le ministre annonce déjà le maintien d'une organisation du cycle terminal en deux voies étanches et, à coup sûr, socialement hiérarchisées ?

Pour le SE-UNSA, des objectifs de la réforme, il n'en restera qu'un, jamais avoué mais toujours présent : celui des économies budgétaires.

 

Luc Bérille, Secrétaire général

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24 novembre 2007 6 24 /11 /novembre /2007 11:07

Le SE-UNSA vous guide

La phase d'inscription pour les mutations inter-académiques du second degré a commencé hier et se poursuit jusqu'au 10 décembre 2007. Pour vous inscrire rendez-vous sur SIAM via i-prof.

Afin de vous aider dans vos démarches le SE-UNSA a publié un guide "spécial mutations" ainsi qu'une publication spécifique pour les stagiaires. Si vous souhaitez les recevoir contactez la section.

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