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SE-UNSA 92

8 bis rue Berthelot

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Jeudi 5 septembre 2024 : CSA SD. Mesures d'ajustement de carte scolaire

Vendredi 30 janvier 2025 : Groupe de Travail. Préparation de la carte scolaire rentrée 2025

Réunions d'information syndicale

Mercredi 2 octobre 2024 : Suresnes à 10h (8 bis rue Berthelot)

Mercredi 9 octobre 2024 : Le Plessis-Robinson à 10h (école maternelle Louis Hachette)

Mercredi 13 novembre 2024 : Mouvement inter. Visioconférence à 10h

13 avril 2014 7 13 /04 /avril /2014 08:14

Tous en grève le 15 mai !

 

Le SE-Unsa s’inscrit pleinement dans l’action initiée par l’Interfédérale de la Fonction publique et appelle l’ensemble des enseignants, des personnels d’éducation et d’orientation à faire entendre leurs préoccupations sur le pouvoir d’achat et l’emploi public.

 

Le SE-Unsa appelle à faire grève aux côtés des autres agents de la Fonction publique pour dire stop au gel du point d’indice pour la 4ème année consécutive, qui empêche toute revalorisation de nos rémunérations.
Indépendamment de la nécessaire négociation sur la reconstruction des carrières et des grilles indiciaires, le SE-Unsa exige une revalorisation de la valeur du point d’indice pour tous.

Lire l'appel de l'Unsa Éducation

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26 mars 2014 3 26 /03 /mars /2014 18:33

Prendre la parole pour être reconnu

 

En une semaine, ce sont plus de 6000 collègues qui ont répondu à l’enquête lancée par le SE-Unsa "800 000 enseignants, et moi et moi et moi ?".

Ils ont pris la parole pour exprimer leur vécu et leurs attentes. De ces premières réponses, le moins que l’on puisse dire, c’est que les enseignants gagnent à être écoutés, compris et reconnus. Par exemple, le sentiment d’être utile, la satisfaction apportée par le métier apparaissent largement partagés. Mais, dans le même temps, ils estiment que l’opinion publique les considère très mal et ne comprend pas leurs contraintes professionnelles, bien qu’ils déclarent penser à leur travail en permanence et  toujours chercher de nouvelles façons de travailler.

Les répondants à l’enquête font aussi part de leurs doutes sur l’évolution de leur métier, sur l’écoute et la compréhension de leur quotidien par leur hiérarchie.

À la lueur des premières réponses, des tendances s’esquissent et en disent beaucoup sur « être enseignant » aujourd’hui.

6000 professeurs se sont déjà emparés de l’enquête pour faire entendre leur voix. N’attendez pas, prenez le pouvoir sur votre métier, prenez la parole : http://questionnaires.se-unsa.org/800000

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9 janvier 2014 4 09 /01 /janvier /2014 16:15

Il faut réparer les bugs

 

Le premier versement de l'ISAE a eu lieu fin novembre. Pour tous les collègues du 1er degré ? Pas vraiment !

Un certain nombre en ont été exclus dès l'écriture du décret et le SE-Unsa mène de nombreuses actions pour ne pas "oublier les oubliés de l'ISAE".

Mais, même lorsqu'ils doivent bénéficier de cette nouvelle indemnité, de trop nombreux collègues n'ont rien perçu. Impréparation, logiciel informatique défaillant, difficultés diverses, la liste des motifs est longue...
Le SE-Unsa est intervenu auprès du ministère afin que ces problémes soient résorbés et que les collègues puissent bénéficier, comme ils y ont droit, à l'ISAE.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 10:56

Le SE-Unsa n'appelle pas à la grève

 

Le SE-Unsa n’appelle pas à la grève le 5 décembre. La grève est un moyen d’action qui engage à renoncer à une journée de salaire. Pour le SE-Unsa, elle ne peut constituer un réflexe automatique. Alors que s’ouvrent les chantiers métiers, ce n’est pas la réponse appropriée aux revendications légitimes de notre profession pour obtenir des avancées concrètes.

Une journée de salaire, ça compte

La grève n’est ni le premier, ni le seul moyen d’action. Renoncer à  une journée de salaire ne doit pas être utilisé à la légère et démultiplié à l’infini. Avec le SE-Unsa, les enseignants des écoles ont décroché l’Isae dans un contexte budgétaire difficile. Ce n’est pas pour la voir partir en fumée et la financer eux-mêmes en faisant cadeau de leur journée de salaire.

Les préoccupations « métiers » sont l’objet des discussions qui s’ouvrent.

Le SE-Unsa a milité depuis des mois pour l’ouverture des discussions métiers en portant de façon argumentée l’ensemble des problématiques auprès du ministère. Dix chantiers s’ouvrent enfin. Sans naïveté mais sans tirer de conclusions prématurées, le SE-Unsa participera à chacun de ces groupes de travail et portera ses exigences (voir ici). Le recours à la mobilisation ne doit évidemment pas être exclu mais cette question se posera lorsque le ministre aura donné ses arbitrages sur chaque sujet à la mi-décembre. La mobilisation pourra s’avérer nécessaire pour tout le premier degré ou pour une partie seulement mais peut-être aussi pour le premier et le second degré à la fois. Une journée de grève, c’est précieux : ça ne se gaspille pas !

Une mobilisation efficace a besoin de messages clairs

Pour le SE-Unsa, c’est chantier métier par chantier métier qu’il faudra faire le bilan et évaluer la nécessité et le champ de la mobilisation à construire. Les problématiques Rased se défendent-elles en même temps et de la même façon que les problématiques direction d’école, conseillers pédagogiques et que toutes les questions communes à tous les enseignants du premier degré (temps partiels, temps de service, mobilité, formation continue…) ? Pour le SE-Unsa, c’est non. Il s’agit d’attendre l’issue de chaque discussion pour mesurer la nécessité d’actions et leurs formes.

Une mobilisation efficace se construit dans le temps

Une journée de grève ce n’est pas sur commande. Si le SE-Unsa décide d’engager une mobilisation au motif que les propositions ministérielles ne sont pas à la hauteur des demandes des collègues, il le fera avec la ferme intention de faire aboutir les revendications. Une grève peut être envisagée mais se construit dans le temps afin de permettre à la profession d’être informée largement sur les enjeux et les objectifs précis.

Une mobilisation efficace a besoin de visibilité

Des projets d’organisation de la semaine scolaire complètement inappropriés et l’absence de dialogue peuvent déboucher sur un conflit. La grève est alors un des moyens d’action mais pour être efficace, elle doit être locale. Pour faire reculer un maire qui ne veut rien entendre, une grève nationale qui mêle plusieurs sujets amoindrira l’efficacité locale.

La grève peut couper notre profession de l’opinion publique et empêcher des avancées.

Depuis des années, la profession s’est mobilisée en amenant l’opinion publique à la soutenir sur l’enjeu de la réussite des élèves. Les préoccupations d’aujourd’hui sont liées aux conditions d’exercice particulièrement difficiles mais elles ne seront pas perçues, par l’opinion, comme une action pour améliorer la réussite des élèves. La grève nous fait courir le risque de couper notre profession du reste de la population qui vit dans un contexte de crise économique. Elle pourrait même estimer que nos revendications ne sont pas prioritaires et désapprouver de nouvelles avancées catégorielles.

Déterminé à être utile, le SE-Unsa n’appellera pas à la grève le 5 décembre.

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18 novembre 2013 1 18 /11 /novembre /2013 14:47

l'ISAE, c'est parti !

 

Le premier versement, d’un montant de 200 € bruts interviendra sur la paye du mois de novembre. Le deuxième versement devrait être effectué en juin prochain.

 

Un acquis du SE-Unsa

Cette indemnité a été créée pour reconnaître enfin les missions de suivi et d’accompagnement des élèves, qui incombent aux enseignants du 1er degré. Rencontrer les parents, participer à des équipes éducatives, travailler en équipe… : beaucoup de temps consacré à des activités indispensables mais qui n’étaient pas, jusqu’à maintenant, rémunérées.
Cette première reconnaissance de la réalité de notre métier est l’aboutissement de l’action de pétition initiée par le SE-Unsa en 2010 qui a recueilli plus de 30 000 signatures.   

La création de cette indemnité constitue, pour le SE-Unsa, un premier pas important. Notre action se poursuivra afin que son montant augmente régulièrement pour atteindre un montant équivalent à celui de l’ISOE des enseignants du second degré.
 
Qui en bénéficiera ?
Tous les collègues, adjoints, remplaçants ou directeurs, exerçant dans les écoles maternelles et élémentaires ainsi que dans les établissements spécialisés sont éligibles à l’ISAE. Cette indemnité est proratisée au temps effectif d’enseignement.
La totalité des enseignants de RASED (E, G et psy scolaires) ainsi que les stagiaires sont également éligibles au versement de cette indemnité. Les admissibles contractuels percevront une ISAE proratisée au temps d’enseignement spécifié sur leur contrat.
Concernant les collègues en congé de maternité, de paternité, ou d’adoption, l’ISAE sera maintenue dans les mêmes conditions que le salaire. Dans le cadre d’un congé de maladie ordinaire, l’ISAE reste à taux plein les trois premiers mois puis est versée à moitié les neuf mois suivants.
 
Ne pas oublier les « oubliés » de l’ISAE
Certaines catégories de personnels du 1er degré sont écartées de cette nouvelle indemnité et ce à divers titres. C’est le cas en particulier des enseignants du 1er degré exerçant dans le 2nd degré (SEGPA, ULIS…) au prétexte qu’ils bénéficient actuellement d’indemnités particulières et qu’ils n’exercent pas dans les écoles maternelles ou élémentaires.
Le SE-Unsa a saisi le Ministère à ce sujet dès septembre et engagé des actions (plus d’infos ici) afin que le maximum de collègues puissent en bénéficier.
Ces enseignants exercent souvent auprès des jeunes les plus en difficulté, leurs obligations de service sont les plus élevées du collège, ils n’ont pas de mission de professeur principal reconnue... Cette exclusion du bénéfice de l’ISAE renforce le sentiment d’inégalité dans les équipes. D’autres catégories, certes moins nombreuses (référents handicap, enseignants au CNED…) doivent également pouvoir en bénéficier.

Pour le SE-Unsa, l’ISAE c’est pour tout le monde !

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26 juin 2013 3 26 /06 /juin /2013 22:13

Du concret pour les PE !

 

La première rencontre sur la négociation découlant du protocole de discussions sur les mesures catégorielles a porté ses fruits pour les PE. Le ministère a maintenant acté des mesures concrètes, qui prendront effet dès la rentrée 2013 :

  • Une indemnité de suivi des élèves de 400 euros

Grâce à l'engagement du SE-Unsa via sa signature du protocole, l'ISOE dans le 1er degré est une nouveauté pour la profession. Le ministère a annoncé un montant de 400 euros annuels pour celle-ci. Elle sera versée l'an prochain à raison de 200 Euros en décembre 2013 et 200 Euros en juin 2014. C'est le fruit de la campagne Mon ISOE je la veux, lancée par le SE-Unsa depuis plus d'un an et qui a recueilli plusieurs dizaines de milliers de signatures. C'est une première étape. Le SE-Unsa revendique que cette indemnité atteigne à terme les 1200 euros du second degré.

  • Une augmentation du ratio de la hors-classe

Dès la rentrée 2013, les listes seront rouvertes et les contingents de hors classe des PE vont se voir augmentés de 50%. Actuellement de 2%, ce ratio atteindra les 7% en fin de quinquennat. Cette mesure aura des répercussions significatives sur les carrières des enseignants du 1er degré et sur les montants des pensions.

Le SE-Unsa se félicite de voir se profiler de nouveaux horizons sur des mesures touchant à la revalorisation des enseignants. Merci à tous ceux qui ont signé la pétition "Mon ISOE je la veux!".

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30 avril 2013 2 30 /04 /avril /2013 14:07

Agir ensemble pour l'emploi

 

 

La CFDT, la CFTC et l’UNSA ont décidé d’agir ensemble, dans un cadre clair, le 1er mai, fête internationale du travail.

Elles veulent, ce jour-là, exprimer leur solidarité et leur soutien aux travailleurs qui, partout dans le monde, n’ont pas accès aux droits fondamentaux, ne peuvent s’exprimer et s’organiser librement. Elles rappellent leur engagement en faveur de la paix et de la démocratie partout dans le monde.

Elles réaffirment le besoin de politiques européennes qui donnent véritablement la priorité à l’emploi et à la réduction des inégalités. Il faut mettre un terme aux politiques d’austérité aveugle qui provoquent chômage, précarité et montée des replis nationaux et des populismes.

Ces priorités sociales et de développement économique durable doivent être aussi celles de notre pays. Les organisations syndicales doivent en faire leur priorité. C’est le sens de notre engagement et de notre soutien à l’accord Emploi et Sécurisation Professionnelle du 11 janvier 2013 en cours de débat parlementaire et à la loi qui le transpose.

Dans un contexte où sont engagées des réformes du marché du travail dans de nombreux pays européens, cet accord montre que l’action syndicale et le dialogue social permettent d’obtenir des résultats, de construire des solutions face à la crise. C’est un point d’appui pour poursuivre et amplifier la mobilisation en faveur de la croissance et de l’emploi, en protégeant mieux les salariés.

La CFDT, la CFTC et l’UNSA appellent leurs militants, leurs adhérents, les salariés à participer aux initiatives communes qu’elles organisent dans les territoires le 1er mai 2013.

 

En Ile de France, les unions régionales CFDT, CFTC et UNSA ont décidé d'organiser une rencontre-débat sur le thème de la crise économique et sociale, l'emploi, les salaires et la qualité de vie au travail.
Cette rencontre aura lieu le mercredi 1er mai de 11 h à 13 h, dans les locaux de l'Union Régionale CFDT, 78 rue de Crimée, 75019 Paris (Métro Laumière ou Botzaris).

 

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30 avril 2013 2 30 /04 /avril /2013 13:55

C'est parti !

 

Le ministère de l’Éducation nationale vient de présenter à l’UNSA-Éducation un projet de protocole fixant le cadre des négociations qui s’ouvrent sur les mesures catégorielles, et notamment celles qui vont concerner les enseignants dès 2013. Pour le SE-Unsa, il met enfin en perspective les éléments d’une revalorisation attendue par tous les personnels. 

Ce document fixe trois grands axes :
  • Rapprochement des niveaux de rémunération et des perspectives de carrière des différents corps d’enseignants et d’éducation. Cela passe par la création d’une indemnité de suivi des élèves dans les écoles et la convergence du ratio d’accès à la hors-classe des PE et CPE avec celui des corps enseignants du second degré. Ces dispositions prendront effet dès cette année.
  • Mise à plat de la situation des enseignants contractuels avec, notamment, la nécessaire harmonisation de pratiques académiques bien trop diverses.
  • Valorisation des parcours professionnels de tous les enseignants et CPE qui s’inscrira dans une négociation plus longue et devra tracer les fondements d’une revalorisation pour tous.
Pour le SE-Unsa, ces mesures catégorielles sont le pendant indispensable à la loi sur la refondation de l’École. Ce protocole constitue un signal politique fort de prise en considération de l’incontournable revalorisation du métier d’enseignant, et cela malgré un contexte économique difficile. Il ouvre des négociations sur les demandes portées par le SE-Unsa depuis de nombreuses années comme l’ISOE pour les PE, l’égal accès à la hors-classe de tous les enseignants et CPE, ainsi que de nouvelles perspectives pour tous.
Le SE-Unsa s’engagera pleinement dans ces discussions pour y conquérir des avancées légitimes pour les personnels, à la fois sur des mesures immédiates et d’autres qui s’inscriront dans une programmation pluriannuelle.
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11 janvier 2013 5 11 /01 /janvier /2013 09:10

J'envoie ma carte de Voeux au Président

 

Le gouvernement est installé depuis huit mois. Si beaucoup de choses avancent pour le système éducatif et pour les élèves, les personnels restent sur leur faim.

Les décisions tardent à venir. Le changement annoncé n’est pas arrivé jusque dans les écoles, collèges et lycées. Or, l'école de demain ne peut exister sans une implication forte des personnels enseignants, d'éducation et d'orientation qui la font vivre au quotidien. C'est pourquoi le SE-Unsa place l'année 2013 sous le signe des personnels et demande instamment au gouvernement et au Ministre d'entamer des discussions sur les conditions de travail.

Ainsi, le SE-Unsa a décidé d’utiliser la période des vœux pour permettre aux collègues de rappeler leurs demandes au Président de la République. Gageons que des milliers de vœux de changement arrivés sur le bureau de François Hollande contribueront à accélérer l’ouverture de discussions, voire de négociations sur leurs conditions de travail.

Soutenez notre action et envoyez la carte de voeux "L'Ecole de demain, pas sans nous !".
Rien de plus simple, téléchargez la carte de voeux, imprimez-la, signez-la et renvoyez-la sous enveloppe, sans affranchissement, à :
Monsieur le Président de la République
Palais de l'Elysée
55 rue du faubourg Saint-honoré
75008  Paris
 
Nous comptabiliserons l'ensemble de vos envois via un compteur sur notre site. Faites monter les chiffres de participation ! Mobilisez vos collègues !
 
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8 octobre 2012 1 08 /10 /octobre /2012 12:54

Une juste reconnaissance

 

Pour le SE-Unsa, les instituteurs et professeurs des écoles, eux aussi, doivent percevoir l’Indemnité de suivi et d’orientation des élèves (ISOE), versée depuis 1989 à tous les enseignants des collèges et lycées.
L’Isoe correspond à l’évaluation et au suivi des élèves ainsi qu’à la participation aux réunions d’équipe. Ce sont des missions que les enseignants des écoles assument déjà, eux aussi : évaluations, rencontres avec les familles, équipes éducatives, PPRE, projets personnalisés de scolarisation des élèves handicapés, orientation en Segpa…
Les enseignants des écoles demandent l’égalité de traitement et exigent la reconnaissance de leur travail.

L’ISOE pour les PE, on la veut !

 

isoe pe 

Cliquez sur l'image pour signer la pétition 

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