Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Nous contacter

SE-UNSA 92

8 bis rue Berthelot

92150 SURESNES

Tél : 01 45 06 67 66

ou 09 62 58 48 72

92@se-unsa.org

Instances

Calendrier des réunions paritaires

Jeudi 8 septembre 2022 : CTSD. Mesures d'ajustement de carte scolaire

Vendredi 18 novembre 2022 : CTSD. Bilan des ressources enseignante 1er degré et AESH - Rentrée 2022

Réunions d'information syndicale

Mercredi 9 novembre 2022 : Plessis-Robinson en présentiel

Mercredi 16 novembre 2022 : Visioconférence sur le mouvement interdépartemental

Mercredi 23 novembre 2022 : Boulogne-Billancourt en présentiel

Mercredi 30 novembre 2022 : Visioconférence sur l'entretien de direction

Vendredi 10 février 2023 : Visioconférence Spécial formateurs

Mercredi 29 mars 2023 : Visioconférence sur le mouvement intradépartemental

7 janvier 2008 1 07 /01 /janvier /2008 12:52

La chute libre

Le ministère vient enfin, à la veille des vacances scolaires, de rendre public le nombre des postes offerts à la session 2008 des différents concours d’enseignants.
Dans le premier degré, les recrutements, tous concours confondus, subissent une baisse de 10%, ce qui correspond à – 1140 postes. C’est le plus faible niveau de recrutement de ces 8 dernières années, alors même que les besoins liés à la hausse démographique des élèves progressent.
Dans le second degré, la baisse du niveau de recrutement atteint près de 14% sur les concours externes et 16% sur les concours internes. Le CAPES subit la plus forte baisse avec -16,19%. Ce sont 1600 possibilités d’emplois d’enseignants qui disparaissent ainsi.
Pour le SE-UNSA, ces chiffres sont la traduction brutale de la politique gouvernementale de non remplacement d’un fonctionnaire sur deux. La suppression programmée de 85 000 enseignants d’ici 5 ans est donc entamée, alors même que 150 000 élèves de plus sont attendus sur la même période. Cela va avoir pour conséquence une dégradation des conditions d’exercice du métier d’enseignant et des conditions de scolarisation des élèves.
Au total, 2500 postes disparaissent, privant d’autant d’emplois des étudiants engagés depuis plusieurs années dans un cursus de formation ciblé.
Pour le SE-UNSA, ces annonces et leurs conséquences constituent une raison supplémentaire de s’engager dans la grève du 24 janvier prochain.

Luc BERILLE, Secrétaire Général du SE-UNSA 

PS : le nombre de postes par académie n'est pas encore connu à ce jour

Partager cet article
Repost0

commentaires