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SE-UNSA 92

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Instances

Calendrier des réunions paritaires

Jeudi 7 septembre 2023 : CSA SD. Mesures d'ajustement de carte scolaire

Jeudi 9 novembre 2023 : CSA SD. Bilan des ressources 1er degré et AESH

Vendredi 26 janvier 2024 : CSA SD. Mesures de carte scolaire rentrée 2024

Réunions d'information syndicale

Mercredi 27 septembre 2023 : Nanterre à 9h30 (école élémentaire Jacques Decour B)

Mercredi 4 octobre 2023 : Le Plessis-Robinson à 9h30 (école maternelle Louis Hachette)

Mercredi 11 octobre 2023 : Visioconférence à 9h30

Mercredi 15 novembre 2023 : Mouvement inter. Visioconférence à 9h30

Mercredi 20 mars 2024 : Mouvement intra. Visioconférence à 10h

5 mars 2009 4 05 /03 /mars /2009 10:52

Pipeau.com !

 

Surfant sur l’angoisse bien réelle des élèves et peut-être surtout de leurs parents, deux jeunes loups fraîchement diplômés déclenchent une tempête dans le landerneau éducatif. Leur site, Faismesdevoirs.com, entend vendre des devoirs clés en main. Bien sûr, l’émoi du monde éducatif est à la mesure d’une provocation qui fait resurgir le spectre de la marchandisation de l’école et des savoirs.

Si le procédé est - volontairement- choquant, le SE-UNSA fait toute confiance aux enseignants pour ne pas être les dupes de ce « nouveau marché ». Il y a en effet belle lurette qu’ils sont confrontés aux « copier-coller » plus ou moins inspirés de leurs élèves…

Aux antipodes d’une démarche éducative, ce site exploite la propension de notre système scolaire à valoriser la note aux dépens de la maîtrise des compétences.

Le SE-UNSA appelle les enseignants à dénoncer auprès de leurs élèves et de leurs familles la véritable escroquerie d’un site qui ne fera jamais réussir aucun élève, mais vise d’abord à enrichir ses promoteurs ! Pour sa part, il continuera à promouvoir une école publique gratuite qui se fixe pour mission d’accompagner tous les élèves vers l’autonomie et l’épanouissement intellectuels. 

 

Paris, le 4 mars 2009

Luc Bérille, Secrétaire Général

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4 mars 2009 3 04 /03 /mars /2009 09:49

CFDT, CFTC, CFE-CGC, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNSA

 

La forte mobilisation du 29 janvier a conduit le président de la République à annoncer à l'occasion de la rencontre avec les partenaires sociaux, le 18 février, une légère inflexion sociale à son plan de relance.

En réponse à une partie des revendications avancées par les organisations syndicales, des mesures sont annoncées, des processus de concertation sont proposés sur le partage de la valeur ajoutée et des profits, un fonds d'investissement social est programmé.

Les organisations syndicales CFTC, CFDT, CFE-CGC, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNSA considèrent que les mesures sont trop parcellaires pour modifier le cap économique de la politique gouvernementale. Par ailleurs le Président a refusé catégoriquement d'augmenter le Smic, de modifier sa politique d'emploi dans les fonctions publiques et de revenir sur la défiscalisation des heures supplémentaires… A cela s'ajoutent l'attitude dogmatique du patronat et son refus d'assumer ses responsabilités.

La crise nécessite des réponses d'une toute autre portée. Les effets de la crise économique et financière s'accentuent et accroissent les inquiétudes des salariés. La recrudescence des suppressions d'emploi, d'utilisation du chômage partiel, contribuent à amplifier la récession et pèsent lourd sur le pouvoir d'achat qui se dégrade.

Tout ceci conduit les organisations syndicales à poursuivre la mobilisation. Elles appellent à poursuivre les actions engagées dans les secteurs professionnels. Elles confirment la journée de mobilisation interprofessionnelle du 19 mars 2009 qui donnera lieu à des grèves et des manifestations dans tout le pays.

En prolongement de leur déclaration commune du 5 janvier 2009, elles appellent leurs syndicats et les salariés, les demandeurs d'emploi, les retraités, à faire entendre au gouvernement comme aux responsables patronaux et employeurs leurs revendications :

- défendre l'emploi privé et public ;

- lutter contre la précarité et les déréglementations économiques et sociales ;

- exiger des politiques de rémunération qui assurent le maintien du pouvoir d'achat des salariés, des chômeurs et des retraités et réduisent les inégalités ;

- défendre le cadre collectif et solidaire de la protection sociale, des services publics de qualité.

Elles expriment leur solidarité et leur soutien aux salariés des DOM et à leurs organisations syndicales et appellent gouvernement et patronat à répondre positivement aux revendications posées.

Elles conviennent de se réunir à nouveau le 20 mars 2009 à 8h. 

Paris, le 23 février 2009

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19 février 2009 4 19 /02 /février /2009 17:11
Trouver d'urgence une sortie de crise

COMMUNIQUE DE PRESSE SE-UNSA - SUP'RECHERCHE-UNSA

La vision gouvernementale de la « mastérisation » de la formation des enseignants est aujourd'hui totalement dans l'impasse.

Depuis le départ de cette mauvaise aventure, le SE-UNSA et Sup'Recherche-UNSA se sont fortement inquiétés des conséquences de cette décision absurde. La « mastérisation » se caractérise en effet par la réduction de la part professionnelle dans la formation des futurs professionnels de l'enseignement !

Les mobilisations en cours indiquent que ce système ne convainc personne. De surcroît, démonstration est faite aujourd'hui qu'il ne peut fonctionner, si l'objectif est bien de former des jeunes au métier d'enseignant :  

-         Les contenus des épreuves des concours envisagés sont encore trop centrés sur la vérification des contenus disciplinaires. Est-ce la priorité lorsque l'on recrute les futurs enseignants à Master2 ?

-         Les stages des étudiants dans les classes sont sous-calibrés. Comment asseoir une première pratique professionnelle avec seulement 108 heures de stage en responsabilité durant l'année de Master2 ?

-         Le principe de l'alternance théorie/pratique est impossible à mettre en œuvre, d'autant moins que la place des formateurs d'IUFM et des formateurs de terrain n'est toujours pas, à ce jour,  clairement définie dans l'université.

-         Les conditions matérielles offertes aux étudiants qui prépareraient les concours sont négligées. Les annonces faites sur les bourses ou les emplois d'assistants pédagogiques sont insuffisantes ou inadaptées. Comment mener de front M2, préparation au concours et activité rémunérée ?

-         Les concours au niveau master2 risquent d'assécher les viviers de recrutement, avec des conséquences sociales et culturelles graves concernant les DOM.

-         La stagiarisation après l'obtention du concours et du M2 est prévue à temps complet dans une classe, en totale responsabilité. Sans réel suivi, sans évaluation régulière comment pourrait-elle s'insérer dans un processus de formation progressive ?

Pour le SE-UNSA et Sup'Recherche-UNSA, il est urgent de sortir de cette impasse. Une solution existe : 

-         L'achèvement du processus de transformation des IUFM avec leurs réseaux départementaux en véritables écoles professionnelles intégrées au sein des universités ;

-         l'ouverture d'une négociation visant à renforcer la professionnalisation dans la formation initiale de tous les enseignants. Elle devrait notamment porter sur le contenu des concours de recrutement maintenus au niveau licence, les modalités de la formation professionnelle et de sa validation par un master, les conditions de la poursuite de la formation après la prise de fonction des néo-titulaires.

Pour le SE-UNSA et Sup'Recherche-UNSA, il ne s'agit pas de renoncer à la « mastérisation » mais de la mettre au service d'une vraie formation professionnelle de haut niveau. A toute crise, il faut une issue. Aux politiques de savoir, et très vite, s'ils campent sur leurs positions ou si, dans l'intérêt général, ils souhaitent une sortie par le haut. 

Paris, le 13 février 2009

Luc Bérille, pour le SE-UNSA

Yves Markowicz, pour Sup'Recherche-UNSA

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14 février 2009 6 14 /02 /février /2009 09:42

Communiqué des fédérations de l'Education FAEN, FERC-CGT, FNEC-FP-FO, FSU, SGEN-CFDT, Sud-Éducation, UNSA Education

Les fédérations de l'Éducation FAEN, FERC-CGT, FNECFP-FO, FSU, SGEN-CFDT, Sud-Éducation, UNSA-Éducation se félicitent de la déclaration interprofessionnelle du 9 février 2009.

Elles considèrent que les réponses apportées lors de l'intervention du Président de la République restent loin des attentes et des exigences portées par la mobilisation du 29 janvier 2009.

Dans le domaine de l'éducation, malgré la puissance de la grève, aucune réponse nouvelle n'a été apportée aux revendications : le Président de la République a au contraire maintenu intégralement les suppressions de postes et les orientations contestées de sa politique et a caricaturé à la fois les revendications et la réalité, qu'il s'agisse de l'Université et de la Recherche ou des moyens consacrés à l'éducation.

Dans le même temps les pressions sur les personnels et les tentatives de remise en cause du droit syndical se poursuivent.

C'est pourquoi les fédérations entendent s'inscrire pleinement dans la journée d'action du 19 mars et appellent les personnels à en assurer la réussite, notamment en préparant grèves et manifestations.

Elles appellent également à poursuivre les actions engagées et à prendre toutes les initiatives unitaires dans les départements et régions, en particulier à l'occasion des réunions des CTP, CDEN et CAEN.

Elles s'adressent solennellement au gouvernement :

 

- pour que celui-ci renonce enfin à la totalité des suppressions de postes dans les enseignements scolaires et supérieur ainsi qu'à Jeunesse et Sports ;
- pour qu'il réponde positivement et sans attendre à la mobilisation des personnels de l'enseignement supérieur et de la recherche.

Paris le 12 février 2009

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12 février 2009 4 12 /02 /février /2009 14:28

DEPS, permutations et aménagement du temps scolaire

Départs en stage de psychologue scolaire
13 candidats, 3 départs en stage proposés, 5 candidats retenus (2 sont donc en liste d'attente)

Permutations informatisées
Afin d'éviter tout problème concernant les collègues ayant participé aux permutations mais qui n'ont pas confirmé, l'IA va contacter les collègues dans cette situation pour connaître leur intention (volonté de ne pas confirmer ou simple oubli).
1190 demandes avaient été effectuées, 9 ont d'ores et déjà été annulées par les participants.
Si vous souhaitez connaître votre barème retenu par l'administration contactez-nous en nous indiquant vos nom et prénom.

Aménagement du temps scolaire 
Dans le cadre d’un groupe de travail avec les représentants des maires, l’Inspecteur d'Académie a indiqué qu’il souhaitait qu’il y ait la plus large harmonisation du calendrier scolaire dans le département et que l’organisation en 9 demi-journées lui semblait plus cohérente pour le rythme de l’enfant. Mais il faut préalablement que les mairies en étudient l’impact organisationnel et financier. L’Inspecteur d'Académie rappelle que, sauf décision ministérielle, il n’a pas autorité pour imposer un modèle et que c’est l’organisation actuelle qui s’applique par défaut. L’association des maires serait prête à voter dans ce sens mais plusieurs mairies n’y sont pas favorables, elle demande d’avoir du temps pour réfléchir à cette application et pour en analyser les conséquences.

L'Inspecteur d'Académie fait les propositions suivantes :

- En 2009-2010 mise en place expérimentale pour quelques écoles volontaires et concertations organisées dans les écoles sur ce sujet.

- En 2010-2011 mise en place dans les communes volontaires

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11 février 2009 3 11 /02 /février /2009 14:18
Communiqué commun des organisations syndicales du 9 février 2009

L'intervention télévisée du Président de la République a été marquée par la force de la mobilisation du 29 janvier. Cependant les organisations syndicales CFDT, CFTC, CFE-CGC, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNSA considèrent que les réponses apportées jusqu'à présent restent loin des attentes et des exigences portées par la mobilisation du 29 janvier et leur déclaration intersyndicale du 5 janvier.

L'annonce d'une réunion des partenaires sociaux le 18 février avec la formulation d'un certain nombre de pistes constitue un élément important. Mais malgré un changement de ton le président de la république maintient pour l'essentiel ses orientations en matière de politique économique et sociale. Les organisations syndicales attendent de la réunion du 18 février que le gouvernement apporte des réponses concrètes et engage les discussions nécessaires à l'ensemble des revendications de la déclaration intersyndicale. Elles attendent également que le patronat prenne ses responsabilités. C'est pourquoi les organisations syndicales estiment indispensable de maintenir la pression dans l'unité d'action. Elles appellent à poursuivre les actions engagées dans les secteurs professionnels et les entreprises et à prendre toutes les initiatives pour construire les mobilisations nécessaires.

Elles décident d'une nouvelle journée d'action interprofessionnelle le 19 mars.

Elles se retrouveront le 23 février pour évaluer les résultats de la réunion du 18 février et préciser le sens, le contenu et les modalités de cette journée sur la base de leur déclaration intersyndicale du 5 janvier :

-          Donner la priorité au maintien des emplois dans un contexte de crise économique.

-          Améliorer le pouvoir d'achat, réduire les inégalités dans les politiques salariales.

-          Orienter la relance économique vers l'emploi et le pouvoir d'achat.

-          Préserver et améliorer les garanties collectives.

-          Réglementer la sphère financière internationale.

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10 février 2009 2 10 /02 /février /2009 13:02
Expérimentation ou supercherie ?

Xavier Darcos a annoncé une expérimentation de nouvelles organisations du lycée. A cette fin, l'équivalent de 500 emplois seraient proposés à une centaine d'établissements pour une expérimentation à la rentrée prochaine. C'est la seule information précise connue.  Aucun cadrage national : rien n'est dit ni sur les objectifs, ni sur le contenu, ni sur les modalités d'évaluation.

Pour le SE-UNSA, si le principe d'une expérimentation n'est pas condamnable en soi, il est impératif  de respecter un certain nombre de règles élémentaires :

- Les équipes des établissements concernés doivent être réellement volontaires et l'exprimer par un vote du conseil d'administration.

- Les modalités de l'expérimentation doivent êtres précises et connues de tous.

- L'expérimentation doit faire l'objet d'un protocole d'évaluation.

En l'absence de ces conditions, l'expérimentation apparaît comme une supercherie. Le SE-UNSA émet les plus grandes réserves quant à son intérêt.

Dans un contexte marqué par la défiance des enseignants à l'égard de la politique éducative du gouvernement et par les suppressions de postes dans les établissements, une expérimentation menée dans la plus grande confusion ne peut que susciter le rejet.

Au lendemain de l'abandon du projet de réforme du lycée, il serait grand temps de changer de méthode et d'aborder avec le sérieux nécessaire une question qui touche à l'avenir de la nation.

  

Luc Bérille, Secrétaire Général

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10 février 2009 2 10 /02 /février /2009 11:14
CNIL / Sanctions

Le SE-UNSA contacté la CNIL le 4 février concernant le dossier "Saisie des résultats des évaluations CM2 et CE1" déposé par le ministère. L'interlocuteur nous a répondu qu'il avait été déposé le 13 janvier et qu'il était en cours d'instruction.
Dans ce cadre,
le ministère peut-il engager des sanctions contre les collègues qui ne feraient pas remonter les résultats ?

La CNIL :

- confirme qu'une stricte application de la loi impose que le traitement ne commence pas avant que le récépissé soit retourné par la CNIL,  mais admet, qu'en pratique, les sociétés, administrations ... anticipent souvent, dès lors que le dossier a été déposé.

- précise que ce n'est pas un avis qui est demandé à la CNIL mais juste un accusé de réception de déclaration de fichier.

- annonce que ce récépissé sera donné au ministère dans des délais rapprochés et que ce document peut, ou non, être accompagné de remarques, conseils.

Nous les avons interrogés également sur l'anonymat des données. L'interlocuteur de la CNIL nous a précisé qu'ils traitent, en application de la loi informatique et libertés des garanties de protection de données personnelles, les élèves dans le cas présent et non des écoles.


La position du SE-UNSA

Le SE-UNSA national, maintient ses consignes et exige l'arrêt de toute pression à l'encontre des collègues qui appliquent les consignes intersyndicales nationales (SE-UNSA, SGEN, SNUIPP).

Il apparaît au vu de ces informations recueillies auprès de la CNIL, que le ministère voire l'administration dans son ensemble, est loin d'être un modèle dans l'application des lois et règlements. Ce n'est pas nouveau mais ce dossier en est une nouvelle preuve.

Le SE-UNSA a dans un premier temps saisi le président de la CNIL pour confirmation d'un certain nombre d'informations (voir lettre jointe)

D'autre part, ayant été informés par quelques sections départementales que des recteurs s'engageaient dans un processus de pressions et menaces vis à vis des collègues, le SE-UNSA a saisi le cabinet du ministre pour dénoncer ces menaces et :

- lui rappeler que ces menaces sont en contradiction avec la position qui a été transmise fin janvier aux syndicats, par le ministère, position d'apaisement qui a d'ailleurs été rappelée par le représentant de la DGESCO lors de la première réunion de négociation préalable à la DGRH suite au dépôt de notre notification d'alerte sociale sur le 29 janvier,

- lui demander que ces pressions cessent,

- lui rappeler le contenu du courrier qui a été transmis à chaque Inspecteur d'académie sur ce dossier conflictuel, pour les informer et expliquer les consignes du SE-UNSA, consignes qui ont été reprises d'ailleurs dans un communiqué national intersyndical (SE-UNSA, SGEN CFDT, SNUIPP).

Le SE-UNSA estime que le ministère est donc bien mal placé pour menacer les collègues de sanctions diverses et variées s'ils appliquent ces consignes intersyndicales nationales et exige que cela cesse.

Nous l'avons fait savoir par téléphone et courriel mercredi 4 février au cabinet du ministre et avons exigé de nouveau que des instructions soient transmises aux recteurs pour arrêter ces menaces.


 

Rappel des consignes syndicales :

Le SE-UNSA a appelé les enseignants et les directeurs à suivre les consignes suivantes :

Pour les enseignants de CM2 :

- ne faire passer que les exercices correspondant à des notions déjà abordées en classe,

- rendre compte de ces seuls résultats uniquement aux élèves et aux familles concernées,

- ne pas utiliser le logiciel de l'administration mais un autre outil de saisie que nous mettrons à leur disposition.

Pour les directeurs :

- ne pas faire remonter la synthèse des résultats de l'école au moyen de l'application WEB téléchargeable sur le site de l'administration mais communiquer à l'Inspecteur de l'Education nationale un récapitulatif des résultats anonymés.


 

Si vous subissez des pressions contactez-nous à 92@se-unsa.org 

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5 février 2009 4 05 /02 /février /2009 13:18
Groupe de travail reporté

L'Inspection Académique vient de nous prévenir que le groupe de travail concernant la carte scolaire du 1er degré, initialement prévu les 12 et 13 février, a été repoussé aux 10 et 12 mars 2009. Vous avez donc quelques jours supplémentaires pour nous faire parvenir votre fiche de suivi.
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3 février 2009 2 03 /02 /février /2009 11:50

Communiqué commun des organisations syndicales CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNSA

 

La mobilisation du 29 janvier 2009 a connu un succès incontestable dans toute la France : des millions de salariés du privé et du public, parmi lesquels de nombreux jeunes, des demandeurs d’emplois, des retraités ont manifesté, fait grève, soutenu le mouvement.

L’ampleur de ces manifestations confirme leurs inquiétudes et leur exaspération face aux injustices sociales. Ils exigent d’autres réponses à une crise dont ils ne sont pas responsables.

Il est urgent que le Gouvernement d’une part, le patronat et les employeurs d’autre part, assument leurs responsabilités, répondent aux demandes formulées dans la déclaration intersyndicale du 5 janvier 2009 et reçoivent les organisations syndicales.

Les organisations syndicales décident de maintenir leurs rencontres afin de prendre toutes les décisions et initiatives, notamment en matière d’actions et de mobilisations.

Elles appellent les salariés et leurs organisations à rester mobilisés et à s’appuyer sur la force de la journée du 29 janvier pour obtenir partout des négociations sur les revendications.

La puissance du mouvement conduit le Président de la République à s’exprimer jeudi. Les organisations syndicales en attendent des réponses aux revendications par l’annonce de mesures concrètes et immédiates et par l’ouverture de discussions avec elles. Elles se réuniront le 9 février 2009 pour en apprécier la portée et en tirer les conséquences.

 

Paris, le 2 février 2009

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