Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Nous contacter

SE-UNSA 92

8 bis rue Berthelot

92150 SURESNES

Tél : 01 45 06 67 66

ou 09 62 58 48 72

92@se-unsa.org

Instances

Calendrier des instances

Jeudi 5 septembre 2024 : CSA SD. Mesures d'ajustement de carte scolaire

Vendredi 30 janvier 2025 : Groupe de Travail. Préparation de la carte scolaire rentrée 2025

Mardi 11 février 2025 : CSA SD. Mesures de carte scolaire rentrée 2025

Lundi 23 juin 2025 : CSA SD. Mesures d'ajustement de carte scolaire rentrée 2025

Réunions d'information syndicale

Mercredi 2 octobre 2024 : Suresnes à 10h (8 bis rue Berthelot)

Mercredi 9 octobre 2024 : Le Plessis-Robinson à 10h (école maternelle Louis Hachette)

Mercredi 13 novembre 2024 : Mouvement inter. Visioconférence à 10h

Mercredi 26 mars 2025 : Le Plessis-Robinson à 10h (école maternelle Louis Hachette)

Mercredi 2 avril 2025 : Mouvement intra. Visioconférence à 10h

20 décembre 2011 2 20 /12 /décembre /2011 19:37

Le Pass Education est reconduit à partir de janvier 2012

 

Le « pass education » mis en œuvre en avril  2009 par le ministre Darcos, arrive en fin de validité fin 2011.

Dans un communiqué de presse, les ministres L. Chatel, et F. Mitterrand, ont annoncé la reconduction pour 3 ans de la gratuité d'accès aux musées et monuments nationaux en faveur des enseignants. Selon le communiqué, une nouvelle carte "pass éducation" sera distribuée aux enseignants par les directeurs d'école et les chefs d'établissement au cours du mois de janvier 2012. Ce nouveau "pass éducation" sera valable pour la période 2012-2015

Ce dispositif a permis depuis trois ans à de nombreux enseignants d’accéder gratuitement aux musées nationaux. Pour le SE-Unsa ce « pass » est un vrai plus pour l’exercice de nos fonctions.

Nous actons donc positivement cette reconduction que nous revendiquions. Pour autant, les modalités de remise de ces « pass » devront, à contrario de ce qui s’est fait en 2009, permettre à tous les enseignants y compris ceux exerçant sur plusieurs établissements ou sur une mission de remplacement d’y avoir accès.

Le SE-Unsa y veillera !

Partager cet article
Repost0
16 décembre 2011 5 16 /12 /décembre /2011 15:00

Pas de négociation pour le SE-Unsa

 

 

EvalLe SE-Unsa a adressé le 16 décembre, au Ministre, une lettre précisant qu’il n’entrerait pas dans un cycle de discussion/négociation sur la question de l’évaluation et de la carrière des enseignants.

La logique managériale qui prévaut dans cette réforme n’est pas celle du SE-Unsa. Elle est contreproductive car elle conduit à l’éclatement des équipes alors qu’il faudrait renforcer leur cohésion. Elle conduit aussi à la mise en concurrence entre les établissements.
Qui plus est, sur la partie carrière, c’est une dégradation des conditions de rémunération qui est proposée, alors même que les enseignants attendent toujours que la promesse de revalorisation faite par le Président de la République dans sa Lettre aux Éducateurs soit honorée.

Les conditions d’une négociation sereine et sincère ne sont pas réunies.

 

Partager cet article
Repost0
9 décembre 2011 5 09 /12 /décembre /2011 11:36

Accusé de réception

 

Si vous avez participé aux permutations informatisées, vous avez du recevoir un accusé de réception dans votre boîte aux lettres sur I-prof.

Il vous appartient de l'imprimer, de le modifier (si besoin), de l'émarger et de le renvoyer avant le vendredi 16/12 (date d'arrivée et non pas date d'envoi) à :

Inspection Académique des Hauts-de-Seine

Division du 1er degré - Service des permutations

167, 177 avenue Joliot Curie

92013 NANTERRE Cedex

Partager cet article
Repost0
9 décembre 2011 5 09 /12 /décembre /2011 09:52

Maintenir la pression

 

EvalL’ampleur de la mobilisation contre les projets de textes concernant l’évaluation des personnels d’enseignement, d’éducation et d’orientation (appel à la grève, pétition qui a déjà recueilli 50 000 signatures, assemblées générales de personnels, motions de conseils d’administration de collèges et de lycées, motions de conseils d’écoles…) a contraint le ministre de l’Education Nationale à revenir sur la suppression de toutes les promotions entre 2012 et 2015. Il renonce aussi à présenter ce texte dès décembre au CTM. Il tente de désamorcer la mobilisation des personnels de l’éducation en proposant  un simulacre de négociations sur ces textes.

 Il affirme aujourd’hui que ces textes ne sont pas définitifs et sont ouverts à la discussion. Mais dans le même temps il confirme qu’il n’entend pas revenir sur les principaux points de désaccord :

- le rôle majeur du supérieur hiérarchique : IEN dans le premier degré et positionnement du chef d’établissement comme seul évaluateur dans le second degré,

- le contenu de l’évaluation : elle ne porterait plus principalement sur l’activité en classe avec les élèves,

- l’évolution des carrières : déroulement ralenti, sans transparence renforçant inégalités et injustices.

 

 Les organisations CGT Educ’action, fnecfp FO, FSU, SE-UNSA, SNALC-CSEN, SNCL-FAEN, SNEP-FSU, SNES-FSU, SNETAA-FO, SNFOLC, SIES-FAEN, SNUDI-FO, SNUEP-FSU, SNUipp-FSU,SUD Education, UNSA considèrent que les annonces ministérielles ne répondent pas à leurs attentes, et confirment leur demande de retrait du projet de décret et d’arrêté.

Elles appellent à signer et à faire massivement signer la pétition nationale pour le retrait du projet. Elles maintiennent leur appel à la grève le 15 décembre et elles appellent les personnels à participer massivement à la mobilisation.

La manifestation en Ile de France partira à 14 heures de la place Denfert-Rochereau et se dispersera à Sèvres-Babylone via  le boulevard Raspail, le boulevard du Montparnasse, la rue de Sèvres.

L’ordre de défilé des organisations sera le suivant : FSU Créteil, FO, CGT, UNSA, SUD, SGEN-CFDT, FAEN, FSU Versailles et Paris

 

Le 4 pages "Evaluation" du SE-Unsa

 

Une affiche pour la salle des maîtres  

Partager cet article
Repost0
5 décembre 2011 1 05 /12 /décembre /2011 10:44

Le SE-Unsa interpelle les élus et le Ministre

 

 

Dans le contexte des annonces de suppressions de postes massives dont 5 700 de moins dans le premier degré, la situation des RASED est à nouveau très préoccupante.

Les préconisations du  ministère ciblent les postes "hors classe" occupés notamment par les enseignants des RASED et les psychologues ainsi que les conseillers pédagogiques, les remplaçants.

Cette suppression va à l’encontre des besoins des élèves et des écoles. Elle conduit tout droit à la désorganisation définitive des RASED, à leur disparition à très court terme et au renforcement des inégalités dans l’Ecole Publique.

Le SE-Unsa se mobilise à nouveau sur ce dossier. Le 9 novembre dernier, les organisations syndicales, les associations professionnelles et la FCPE se sont réunies à nouveau pour demander une audience au ministre de l’Education nationale afin de rouvrir les discussions sur l’avenir particulièrement inquiétant qui se profile pour le dispositif RASED et des professionnels qui le composent.

Par ailleurs, le 30 novembre, le SE-Unsa est intervenu lors de la première CAPN pour interroger le ministère sur les orientations données aux inspecteurs d’académie concernant les départs en formations spécialisées.

Dans les départements, en amont des opérations de carte scolaire, le SE-Unsa se mobilise pour défendre ces postes.

A travers une lettre, le SE-Unsa alerte les élus de la Nation sur les conséquences dramatiques que ces suppressions de postes font peser sur la scolarité et la réussite de milliers d’élèves.

Il interviendra dans les instances et les débats publics pour préserver les postes RASED et les moyens de l'école, afin d’accompagner vraiment tous les élèves vers la réussite scolaire.

L’Ecole ne peut faire l’impasse sur le traitement de la grande difficulté scolaire. Les personnels spécialisés y tiennent une place importante de médiateurs, dans l’école, entre tous les acteurs.

 

Partager cet article
Repost0
29 novembre 2011 2 29 /11 /novembre /2011 18:40

Tous en grève ! Maintenons la pression !

 

Une action intersyndicale utile

Elle a été organisée avec la totalité des syndicats enseignants et des fédérations de l’Education nationale à travers la pétition qui recueille aujourd’hui près de 43 000 signatures et l’appel à la grève du 15 décembre. L’ unité syndicale, nécessaire face à une telle réforme, commence déjà à payer. Deux premiers reculs sont déjà enregistrés :

  • le ministère renonce à la suppression des promotions pour 2013 et 2014
  • il rétablit la mission d’inspection. 

Maintenons la pression

Le projet de réforme n’apporte aucune réponse concernant une reconnaissance de l’ensemble des missions des personnels ; rien non plus sur une réelle évaluation formative.

En revanche, ces textes organisent bien une nouvelle étape dans l’attaque contre le statut particulier des enseignants, dans le cadre de la politique idéologique menée contre tous les fonctionnaires.

Il s’agit bien d’assujettir l’enseignant à son supérieur hiérarchique direct, lui enlever toute lisibilité sur les modalités d’avancement, de supprimer la notion de déroulement de carrière.

 

L’action du SE-Unsa

Le SE-Unsa a réaffirmé son désaccord sur l’ensemble des mesures proposées, lors d’une audience du Ministère.

Nous refusons qu’une telle réforme s’engage de cette façon, alors que c’est le quotidien des collègues qui est en jeu et dans la durée.

Nous refusons tout projet d’évolution qui ne se traduise pas par une amélioration pour nos collègues.

Aucune réponse satisfaisante ne nous a été apportée sur les questions posées. Au contraire, il est clair que la seule volonté ministérielle est de faire passer rapidement la réforme de gestion managériale des enseignants. L’enjeu est important et pour tous !

Alors, mobilisons nous dans les écoles, les collèges et les lycées le 15 décembre, nous devons être massivement en grève !

Continuez à signer et faire signer la pétition ! http://retraitduprojetevaluation.net/

Partager cet article
Repost0
26 novembre 2011 6 26 /11 /novembre /2011 08:54

Un signe qui ne répond pas à l'exaspération

 

Le Ministre de l’Education nationale vient d’annoncer l’augmentation de 50% de la part variable de l’indemnité de sujétion spéciale des directeurs d’école. Cela se traduit par l’attribution de 100 € à 300 € de plus par an selon le nombre de classes de son école. Si ce geste ne peut être négligé dans le contexte de perte de pouvoir d’achat, il n’est pas de nature à répondre à l’exaspération des directeurs d’école.
Depuis des mois, le SE-Unsa tire la sonnette d’alarme sur la situation des directeurs et du fonctionnement des écoles. Les attentes des familles, des partenaires, de l’institution sont toujours plus nombreuses. Les tâches, missions et responsabilités du directeur d’école ne cessent de croître. Dans le même temps, les moyens dédiés au soutien à la direction d’école avec les emplois d’aide-administrative sont drastiquement réduits. Ne réussissant plus à faire face, les directeurs d’école sont au bord de l’explosion.
Après des mois de conflit (courriers aux parlementaires, aux Maires, pétition « le bricolage, ça suffit ! », blocage administratif en septembre et octobre), le SE-Unsa juge cette réponse tout à fait partielle. Il réitère sa demande au Ministre de l’Education nationale de bien vouloir ouvrir une réelle négociation sur l’ensemble des champs de ce dossier : rémunération, temps, assistance administrative et organisation structurelle de l’école.

Dans l’attente de ce nécessaire dialogue, le SE-Unsa poursuit ses initiatives visant à mobiliser largement sur ce dossier, notamment en présentant des motions en conseils d’école durant ce mois de novembre.

Paris, le 25 novembre 2011

Christian CHEVALIER, Secrétaire Général

Partager cet article
Repost0
24 novembre 2011 4 24 /11 /novembre /2011 22:27

Arrosage ciblé pour éteindre l'incendie

 

Sur fond de polémiques électorales concernant l’EducationLuc Chatel vient d’annoncer de nouvelles mesures de revalorisation des jeunes enseignants. Elles prendront fort opportunément effet en mars 2012, à la veille des élections présidentielles. Le constat de la chute des candidatures aux concours d’enseignement et d’éducation a conduit le ministre à faire une annonce unilatérale de relèvement des salaires des débuts de carrière.

Ainsi, les stagiaires percevront 100 € bruts supplémentaires. Ils auront un salaire d’entrée dans le métier atteignant tout juste 1600 € nets. Il reste toujours très largement inférieur à celui de leurs voisins européens.

Si ces annonces concernent potentiellement cent mille enseignants, la moitié d’entre eux percevra de fait une augmentation inférieure à 20 € nets par mois. Au final, ce sont 85% des collègues qui n’auront toujours rien reçu depuis 2007 ; leurs salaires restent bloqués.

En évacuant la question de la revalorisation du reste de la carrière, le Ministre laisse entière la question de l’attractivité du métier.

Dans le même temps, les nouvelles modalités d’évaluation et d’avancement des personnels vont ralentir leurs carrières. Cela diminue d’autant l’effet des annonces qui viennent d’être faites. Elles apparaissent ainsi comme un contrefeu à la mobilisation syndicale unanime.

Pour le SE-Unsa, il est plus que jamais d’actualité de participer à la grève intersyndicale du 15 décembre prochain.

 

Paris, le 24 novembre 2011

Christian CHEVALIER, Secrétaire Général 

Partager cet article
Repost0
23 novembre 2011 3 23 /11 /novembre /2011 20:14

Ca suffit !

 

Le SE-Unsa dénonce l’instauration de jours de carence pour les fonctionnaires. Cela contrevient au statut général et ne permettra en aucun cas une rentrée de fonds pour l’assurance maladie puisque c’est l’employeur qui encaissera cette ou ces journées déduites.

Il condamne cette méthode perverse qui consiste à justifier les mesures d’économies en opposant les salariés du privé et les fonctionnaires.

Le SE-Unsa, comme l’Unsa et l’Unsa Fonction publique, juge inacceptable le fait d’amputer la rémunération d’un salarié malade, qu’il soit fonctionnaire ou dans le secteur privé.

Nous ne sommes pas dupes et avons bien noté qu’au cours des discussions sur le PLFSS, le gouvernement a affiché un objectif d’économies de 200 millions d’euros.

Il a essuyé un premier refus des députés concernant la baisse des indemnités journalières en cas de maladie.

Face à cet échec, il a sorti le refrain populiste, campagne médiatique à l’appui,  sur la fraude à l’arrêt de travail et a ainsi justifié sa proposition de nouvelle mesure avec un jour de carence supplémentaire dans le privé, sanctionnant du même coup les fonctionnaires !

Face à un nouveau tollé général, le Premier ministre a annoncé le 22 novembre qu’il était prêt à renoncer à sa mesure pour le privé à condition qu’une nouvelle mesure concernant les fonctionnaires permette de retrouver l’économie recherchée.

L’acharnement idéologique anti-fonctionnaires refait surface. Cela ressemble étrangement  à ce qui a déjà été fait par le gouvernement au moment de la loi sur les retraites.

L’Unsa sera présente dans les rassemblements organisés le 13 décembre contre ces mesures d’austérité qui vont une nouvelle fois frapper les plus faibles.

Partager cet article
Repost0
21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 19:11

En grève le 15 décembre contre le projet ministériel

 

Les projets de texte portant sur une réforme de l’évaluation des enseignants et leur déroulement de carrière sont de fait la traduction d’un nouvel assaut « GRH* » contre les fonctionnaires enseignants.

Le SE-Unsa appelle donc tous les personnels d’enseignement, d’éducation et d’orientation à faire grève massivement le 15 décembre dans le cadre de l’appel intersyndical 1er-2nddegrés mais aussi à signer et faire signer la pétition : http://retraitduprojetevaluation.net/

Que les personnels ne se leurrent pas, on assiste à une nouvelle étape de GRH managériale. Avec la suppression de l’inspection pédagogique dans la classe et l’instauration d’entretiens professionnels, c’est tout un pan de la pratique du métier qui ne sera plus pris en compte.

Ce nouveau dispositif ne garantira pas plus de justice que la note et le système d’avancement actuels. Il a simplement pour but de davantage soumettre  l’enseignant à son supérieur hiérarchique. Une nouveau pas est ainsi franchi dans lequel le pouvoir discrétionnaire de la hiérarchie directe devient déterminant.

Le chef d’établissement, dorénavant principal évaluateur (exit le regard croisé avec l’IPR) dans le 2nd degré et l’inspecteur de circonscription pour le 1er degré auront à  proposer, après les entretiens professionnels, quelques réductions d’ancienneté quantifiées par le ministère pour chaque corps. Le recteur modulera ces attributions après avoir consulté la CAP. Combien en bénéficieront ? Sur quels critères ? 

De plus, le gel des promotions annoncé sur trois ans est une provocation supplémentaire à laquelle nous devons tous riposter.

Un tel dispositif, qui institue un climat détestable dans les écoles et les établissements, mettrait à mal le travail d’équipe nécessaire pour la réussite des élèves. Oui, il faut une évolution du système d’évaluation, d’inspection, mais évolution doit rimer avec amélioration ce qui n’est pas le cas, bien au contraire.

Il faut replacer ces textes dans le contexte de la politique de refonte de la Fonction publique du président Sarkozy en 2007 (discours de l’IRA à Nantes) et des propositions faites par M. Silicani ensuite en 2008 : adjoindre à la rémunération indiciaire, une rémunération fonctionnelle et une part de rémunération variable correspondant aux résultats dans le cadre d’une évaluation.

C’est sur cette base qu’ont été mises en place, par un décret du 28 juillet 2010, les nouvelles conditions d’appréciation de la valeur professionnelle des fonctionnaires de l’Etat, après trois années d’expérimentation des entretiens professionnels dans les ministères.

Les enseignants, du fait de leur statut particulier et de la spécificité de leur métier, étaient jusqu’à présent dispensés de ce dispositif fondé principalement sur « les résultats obtenus eu égard aux objectifs assignés ».

Ces textes sont aussi à intégrer dans la politique GRH que le ministère expérimente notamment avec le dispositif Eclair (concernant le recrutement des enseignants) mais aussi dans le cadre de la réforme de la gouvernance académique avec notamment le pouvoir accru aux Recteurs.

Pour toutes ces raisons, le SE-Unsa appelle à la grève le 15 décembre et à signer et faire signer la pétition pour le retrait de ces textes.

*Gestion des ressources humaines

Partager cet article
Repost0