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SE-UNSA 92

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29 novembre 2011 2 29 /11 /novembre /2011 18:40

Tous en grève ! Maintenons la pression !

 

Une action intersyndicale utile

Elle a été organisée avec la totalité des syndicats enseignants et des fédérations de l’Education nationale à travers la pétition qui recueille aujourd’hui près de 43 000 signatures et l’appel à la grève du 15 décembre. L’ unité syndicale, nécessaire face à une telle réforme, commence déjà à payer. Deux premiers reculs sont déjà enregistrés :

  • le ministère renonce à la suppression des promotions pour 2013 et 2014
  • il rétablit la mission d’inspection. 

Maintenons la pression

Le projet de réforme n’apporte aucune réponse concernant une reconnaissance de l’ensemble des missions des personnels ; rien non plus sur une réelle évaluation formative.

En revanche, ces textes organisent bien une nouvelle étape dans l’attaque contre le statut particulier des enseignants, dans le cadre de la politique idéologique menée contre tous les fonctionnaires.

Il s’agit bien d’assujettir l’enseignant à son supérieur hiérarchique direct, lui enlever toute lisibilité sur les modalités d’avancement, de supprimer la notion de déroulement de carrière.

 

L’action du SE-Unsa

Le SE-Unsa a réaffirmé son désaccord sur l’ensemble des mesures proposées, lors d’une audience du Ministère.

Nous refusons qu’une telle réforme s’engage de cette façon, alors que c’est le quotidien des collègues qui est en jeu et dans la durée.

Nous refusons tout projet d’évolution qui ne se traduise pas par une amélioration pour nos collègues.

Aucune réponse satisfaisante ne nous a été apportée sur les questions posées. Au contraire, il est clair que la seule volonté ministérielle est de faire passer rapidement la réforme de gestion managériale des enseignants. L’enjeu est important et pour tous !

Alors, mobilisons nous dans les écoles, les collèges et les lycées le 15 décembre, nous devons être massivement en grève !

Continuez à signer et faire signer la pétition ! http://retraitduprojetevaluation.net/

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26 novembre 2011 6 26 /11 /novembre /2011 08:54

Un signe qui ne répond pas à l'exaspération

 

Le Ministre de l’Education nationale vient d’annoncer l’augmentation de 50% de la part variable de l’indemnité de sujétion spéciale des directeurs d’école. Cela se traduit par l’attribution de 100 € à 300 € de plus par an selon le nombre de classes de son école. Si ce geste ne peut être négligé dans le contexte de perte de pouvoir d’achat, il n’est pas de nature à répondre à l’exaspération des directeurs d’école.
Depuis des mois, le SE-Unsa tire la sonnette d’alarme sur la situation des directeurs et du fonctionnement des écoles. Les attentes des familles, des partenaires, de l’institution sont toujours plus nombreuses. Les tâches, missions et responsabilités du directeur d’école ne cessent de croître. Dans le même temps, les moyens dédiés au soutien à la direction d’école avec les emplois d’aide-administrative sont drastiquement réduits. Ne réussissant plus à faire face, les directeurs d’école sont au bord de l’explosion.
Après des mois de conflit (courriers aux parlementaires, aux Maires, pétition « le bricolage, ça suffit ! », blocage administratif en septembre et octobre), le SE-Unsa juge cette réponse tout à fait partielle. Il réitère sa demande au Ministre de l’Education nationale de bien vouloir ouvrir une réelle négociation sur l’ensemble des champs de ce dossier : rémunération, temps, assistance administrative et organisation structurelle de l’école.

Dans l’attente de ce nécessaire dialogue, le SE-Unsa poursuit ses initiatives visant à mobiliser largement sur ce dossier, notamment en présentant des motions en conseils d’école durant ce mois de novembre.

Paris, le 25 novembre 2011

Christian CHEVALIER, Secrétaire Général

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24 novembre 2011 4 24 /11 /novembre /2011 22:27

Arrosage ciblé pour éteindre l'incendie

 

Sur fond de polémiques électorales concernant l’EducationLuc Chatel vient d’annoncer de nouvelles mesures de revalorisation des jeunes enseignants. Elles prendront fort opportunément effet en mars 2012, à la veille des élections présidentielles. Le constat de la chute des candidatures aux concours d’enseignement et d’éducation a conduit le ministre à faire une annonce unilatérale de relèvement des salaires des débuts de carrière.

Ainsi, les stagiaires percevront 100 € bruts supplémentaires. Ils auront un salaire d’entrée dans le métier atteignant tout juste 1600 € nets. Il reste toujours très largement inférieur à celui de leurs voisins européens.

Si ces annonces concernent potentiellement cent mille enseignants, la moitié d’entre eux percevra de fait une augmentation inférieure à 20 € nets par mois. Au final, ce sont 85% des collègues qui n’auront toujours rien reçu depuis 2007 ; leurs salaires restent bloqués.

En évacuant la question de la revalorisation du reste de la carrière, le Ministre laisse entière la question de l’attractivité du métier.

Dans le même temps, les nouvelles modalités d’évaluation et d’avancement des personnels vont ralentir leurs carrières. Cela diminue d’autant l’effet des annonces qui viennent d’être faites. Elles apparaissent ainsi comme un contrefeu à la mobilisation syndicale unanime.

Pour le SE-Unsa, il est plus que jamais d’actualité de participer à la grève intersyndicale du 15 décembre prochain.

 

Paris, le 24 novembre 2011

Christian CHEVALIER, Secrétaire Général 

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23 novembre 2011 3 23 /11 /novembre /2011 20:14

Ca suffit !

 

Le SE-Unsa dénonce l’instauration de jours de carence pour les fonctionnaires. Cela contrevient au statut général et ne permettra en aucun cas une rentrée de fonds pour l’assurance maladie puisque c’est l’employeur qui encaissera cette ou ces journées déduites.

Il condamne cette méthode perverse qui consiste à justifier les mesures d’économies en opposant les salariés du privé et les fonctionnaires.

Le SE-Unsa, comme l’Unsa et l’Unsa Fonction publique, juge inacceptable le fait d’amputer la rémunération d’un salarié malade, qu’il soit fonctionnaire ou dans le secteur privé.

Nous ne sommes pas dupes et avons bien noté qu’au cours des discussions sur le PLFSS, le gouvernement a affiché un objectif d’économies de 200 millions d’euros.

Il a essuyé un premier refus des députés concernant la baisse des indemnités journalières en cas de maladie.

Face à cet échec, il a sorti le refrain populiste, campagne médiatique à l’appui,  sur la fraude à l’arrêt de travail et a ainsi justifié sa proposition de nouvelle mesure avec un jour de carence supplémentaire dans le privé, sanctionnant du même coup les fonctionnaires !

Face à un nouveau tollé général, le Premier ministre a annoncé le 22 novembre qu’il était prêt à renoncer à sa mesure pour le privé à condition qu’une nouvelle mesure concernant les fonctionnaires permette de retrouver l’économie recherchée.

L’acharnement idéologique anti-fonctionnaires refait surface. Cela ressemble étrangement  à ce qui a déjà été fait par le gouvernement au moment de la loi sur les retraites.

L’Unsa sera présente dans les rassemblements organisés le 13 décembre contre ces mesures d’austérité qui vont une nouvelle fois frapper les plus faibles.

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21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 19:11

En grève le 15 décembre contre le projet ministériel

 

Les projets de texte portant sur une réforme de l’évaluation des enseignants et leur déroulement de carrière sont de fait la traduction d’un nouvel assaut « GRH* » contre les fonctionnaires enseignants.

Le SE-Unsa appelle donc tous les personnels d’enseignement, d’éducation et d’orientation à faire grève massivement le 15 décembre dans le cadre de l’appel intersyndical 1er-2nddegrés mais aussi à signer et faire signer la pétition : http://retraitduprojetevaluation.net/

Que les personnels ne se leurrent pas, on assiste à une nouvelle étape de GRH managériale. Avec la suppression de l’inspection pédagogique dans la classe et l’instauration d’entretiens professionnels, c’est tout un pan de la pratique du métier qui ne sera plus pris en compte.

Ce nouveau dispositif ne garantira pas plus de justice que la note et le système d’avancement actuels. Il a simplement pour but de davantage soumettre  l’enseignant à son supérieur hiérarchique. Une nouveau pas est ainsi franchi dans lequel le pouvoir discrétionnaire de la hiérarchie directe devient déterminant.

Le chef d’établissement, dorénavant principal évaluateur (exit le regard croisé avec l’IPR) dans le 2nd degré et l’inspecteur de circonscription pour le 1er degré auront à  proposer, après les entretiens professionnels, quelques réductions d’ancienneté quantifiées par le ministère pour chaque corps. Le recteur modulera ces attributions après avoir consulté la CAP. Combien en bénéficieront ? Sur quels critères ? 

De plus, le gel des promotions annoncé sur trois ans est une provocation supplémentaire à laquelle nous devons tous riposter.

Un tel dispositif, qui institue un climat détestable dans les écoles et les établissements, mettrait à mal le travail d’équipe nécessaire pour la réussite des élèves. Oui, il faut une évolution du système d’évaluation, d’inspection, mais évolution doit rimer avec amélioration ce qui n’est pas le cas, bien au contraire.

Il faut replacer ces textes dans le contexte de la politique de refonte de la Fonction publique du président Sarkozy en 2007 (discours de l’IRA à Nantes) et des propositions faites par M. Silicani ensuite en 2008 : adjoindre à la rémunération indiciaire, une rémunération fonctionnelle et une part de rémunération variable correspondant aux résultats dans le cadre d’une évaluation.

C’est sur cette base qu’ont été mises en place, par un décret du 28 juillet 2010, les nouvelles conditions d’appréciation de la valeur professionnelle des fonctionnaires de l’Etat, après trois années d’expérimentation des entretiens professionnels dans les ministères.

Les enseignants, du fait de leur statut particulier et de la spécificité de leur métier, étaient jusqu’à présent dispensés de ce dispositif fondé principalement sur « les résultats obtenus eu égard aux objectifs assignés ».

Ces textes sont aussi à intégrer dans la politique GRH que le ministère expérimente notamment avec le dispositif Eclair (concernant le recrutement des enseignants) mais aussi dans le cadre de la réforme de la gouvernance académique avec notamment le pouvoir accru aux Recteurs.

Pour toutes ces raisons, le SE-Unsa appelle à la grève le 15 décembre et à signer et faire signer la pétition pour le retrait de ces textes.

*Gestion des ressources humaines

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16 novembre 2011 3 16 /11 /novembre /2011 20:42

Non à la réforme annoncée

 

Le ministère vient de diffuser des projets de textes portant une réforme de l’évaluation des enseignants et du déroulement de carrière.

Le SE-Unsa est fermement opposé aux nouvelles modalités que le ministère veut imposer, sous prétexte de la consultation « collaborative » menée  auprès d’enseignants et de personnels d’encadrement  en mars/ avril dernier.

La rénovation annoncée s’affiche avec  l’instauration d’un processus « d’auto évaluation » (rentrée 2012) basée sur des compétences à acquérir par les professeurs. Suivra en septembre 2015 l’instauration d’entretiens professionnels  avec, à la clef, l’octroi de réductions d’ancienneté pour le déroulement de carrière.

Oui, il faut une évolution du système d’évaluation, d’inspection,  mais évolution doit rimer avec amélioration ce qui n’est pas le cas, bien au contraire.

Nous ne sommes pas dupes sur le but de cette réforme qui s’intègre dans une conception GRH particulière qui prend pour cible les enseignants.

Le ministère attaque une nouvelle fois leur statut, limite l’avancement d’échelon au rythme le plus défavorable, l’ancienneté. Le chef d’établissement, déjà responsable des recrutements  dans le dispositif ECLAIR, devient le principal évaluateur. (L’inspecteur de circonscription pour le 1er degré). Ils auront à  « distribuer » après les entretiens professionnels quelques réductions d’ancienneté quantifiées par le ministère pour chaque échelon. Combien en bénéficieront ? sur quels critères ?

Le SE-Unsa entend signifier au ministère toute son opposition à un tel dispositif, qui va instituer un climat détestable dans les écoles et établissements, mettre à mal le travail d’équipe nécessaire pour la réussite des élèves. Alors que la baisse du pouvoir d’achat s’est déjà installée dans la durée, le choix de limiter l’avancement à l’ancienneté est une nouvelle provocation vis-à-vis  des enseignants.

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15 novembre 2011 2 15 /11 /novembre /2011 20:58

L'Unsa condamne cette décision choquante


Vous êtes malade ? Vous êtes assurément un fraudeur. Voilà comment le gouvernementSarkozy traite  les salariés. Il vient donc d’annoncer par voie de presse, dans le cadre de la lutte contre la fraude à l’assurance maladie,  l’augmentation à 4 jours pour le délai de carence dans le secteur privé et l’instauration d’un jour de carence pour les fonctionnaires.

Pourtant, un rapport publié au premier trimestre 2011, par la Délégation nationale à la lutte contre la fraude, montre que le plus gros préjudice causé à l’assurance maladie (156 millions d’€ en 2010) vient des établissements de santé, des transporteurs, de certaines professions libérales (voir tableau pièce jointe).

En agissant ainsi, le gouvernement montre une nouvelle fois son mépris des salariés du privé et de la fonction publique. Tout est bon pour récupérer quelques millions sur leur dos ! Tout est bon pour tenter d'opposer les salariés du privé et les fonctionnaires! C’est choquant et inacceptable.

A l’évidence ces annonces seront au cœur des préoccupations de l’intersyndicale interprofessionnelle qui se réunit le 18 novembre.

DELAI DE CARENCE :

NON A LA PUNITION DES MALADES !

 C’est par communiqué de presse que le gouvernement a annoncé son intention, non seulement d’instituer un jour de carence en cas d’arrêt maladie dans la Fonction publique, ce que l’UNSA avait condamné, mais de faire aussi passer son nombre de trois à quatre dans le secteur privé.

 Cette annonce s’insère dans le cadre d’une campagne de dénigrement des salariés qui, dès lors qu’ils seraient en arrêt maladie, seraient automatiquement suspectés d’être tous des fraudeurs potentiels. Outre le caractère très choquant de cette accusation, qui fait peu de cas du professionnalisme des médecins édictant les arrêts maladie, comme de la conscience professionnelle et morale des salariés, il s’agit très clairement de faire payer aux assurés sociaux malades la politique d’austérité décidée par le gouvernement.

 Ces répercussions sociales toucheront particulièrement les plus modestes. Ainsi, un salarié au SMIC, victime, par exemple, d’une affection virale contagieuse nécessitant, selon son médecin, un arrêt de travail, devrait-il le payer d’une amputation de son revenu net de quatre jours, soit près de 150 € !

 Pour l’UNSA, punir les malades n’a rien à voir avec la responsabilisation des assurés sociaux. A l’inverse, de telles mesures accentueront les inégalités devant le droit au soin. Quant à la méthode brutale et unilatérale avec laquelle elles ont été annoncées, elle augure mal de « la sérénité, du sérieux et de l’objectivité » que le Président de la République a promis pour le Haut Conseil au financement de la protection sociale dont il a annoncé la création ce 15 novembre…

 

Luc Bérille

Secrétaire Général  de l’UNSA

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11 novembre 2011 5 11 /11 /novembre /2011 17:13

C'est parti !

 

tampon mut qe 17x10Vous êtes PE et vous voulez changer de département ? La note de service mobilité 1er degré vient de paraître au B.O le 10 novembre 2011. Afin d’en faciliter la lecture le SE-Unsa met à votre disposition sa brochure nationale. Dans ce fascicule, vous trouverez toutes les informations relatives à ces opérations de changement de département (le calendrier, l’explication du logiciel du Ministère, les résultats de 2011….)

Le serveur sera ouvert du 17 novembre au 6 décembre 2011.  

Demandez la brochure en version papier

 

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8 novembre 2011 2 08 /11 /novembre /2011 10:53

Le ministère ouvre une concertation

 

Mieux vaut tard que jamais ! Le ministère ouvre une consultation avec les organisations syndicales, les fédérations de parents d’élèves et crée un comité scientifique. M.Zorman, S.Dehaenne, C.Billard, A.Florin, M.Fayol, A. Bentolila ont été entre autres sollicités. On notera la présence importante des neuro-sciences dans cette liste, les pédagogues étant en portion congrue.

Le SE-Unsa, reçu le 4 novembre, a fait part de son refus de protocoles d’évaluation imposés dans toutes les écoles. Il s’est inquiété de l’impact négatif d’évaluations normatives à l’âge de 5 ans et a exprimé son refus de l’étiquetage précoce d’enfants qui n’ont pas encore abordé la scolarité obligatoire. Il a aussi souligné le rôle essentiel des RASED et des médecins scolaires dans le repérage, le dépistage et la prise en charge des élèves en difficulté.

De cette réunion, il ressort que le ministère retiendrait plusieurs dispositions :

  • Pas de caractère obligatoire à l’utilisation des outils mis à la disposition des collègues par le ministère.
  • Volonté de mettre à disposition des enseignants l’outil développé par Michel Zorman et expérimenté dans l’académie de Grenoble pour développer la conscience phonologique et l’acquisition du lexique.
  • Rénovation des outils d’évaluation des acquis en fin de GS mis en ligne sur Eduscol : les outils rénovés seraient plus adaptés à la GS et feraient une large place à l’observation des élèves en activité. Les séances collectives disparaîtraient.

Le SE-Unsa restera vigilant sur ce dossier particulièrement sensible. Il a d’ores et déjà demandé à rencontrer à nouveau le ministère avant que les outils en cours d’élaboration soient mis à la disposition des enseignants.

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4 novembre 2011 5 04 /11 /novembre /2011 09:04

Les résultats des promotions

 

Hier s’est tenue la CAPD sur les promotions (changements d’échelon) pour 2011/2012. Si vous souhaitez connaître le résultat vous concernant cliquez ici en précisant vos nom, prénom, grade (instit/PE) et classe (normale/Hors-Classe)

Fabienne SIRE

Elue SE-Unsa 92 à la CAPD

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