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SE-UNSA 92

8 bis rue Berthelot

92150 SURESNES

Tél : 01 45 06 67 66

ou 09 62 58 48 72

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Instances

Calendrier des réunions paritaires

Jeudi 5 septembre 2024 : CSA SD. Mesures d'ajustement de carte scolaire

Réunions d'information syndicale

Mercredi 2 octobre 2024 : Suresnes à 10h (8 bis rue Berthelot)

Mercredi 9 octobre 2024 : Le Plessis-Robinson à 10h (école maternelle Louis Hachette)

Mercredi 13 novembre 2024 : Mouvement inter. Visioconférence à 10h

2 septembre 2024 1 02 /09 /septembre /2024 18:14

Une rentrée scolaire inédite !

 

Les organisations syndicales SE-Unsa 92, SNUipp 92, SGEN-CFDT 92, SNALC 92, SUD 92 et CGT-Educ'Action 92 dénoncent dans un communiqué intersyndical les conditions de cette rentrée inédite.

 

Elles ont déposé un préavis de grève pour la semaine de la rentrée, des préavis nationaux s’étendent sur tout le premier trimestre.

 

Nos organisations syndicales exigent :

- L’ouverture des classes et l’abandon des fermetures partout où cela est nécessaire.

- Le recrutement des AESH nécessaires pour assurer l’accompagnement de tous les élèves en situation de handicap.

- Un recrutement des enseignants à la hauteur des besoins, avec une formation initiale à la hauteur des enjeux.

- L’abandon des mesures concernant les évaluations nationales standardisées.

 

Nos organisations syndicales vous invitent à une réunion d’information syndicale en visio le mercredi 4 septembre de 13h à 15h.

 

Retrouvez le communiqué intersyndical et toutes les informations pour participer à la RIS de mercredi en cliquant sur le lien ci-dessous.

 

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Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92 - dans Actions
1 septembre 2024 7 01 /09 /septembre /2024 09:26

Un objet impensé à la logistique infernale

 

Mesure du plan Choc des savoirs toujours aussi décrié, les évaluations nationales programmées pour les élèves du primaire au cours du mois de septembre 2024 vont concerner tous les niveaux du CP au CM2.
 
Les priorités trop éloignées de l’intérêt pour les élèves qui ont guidé la logique ministérielle dans ce dispositif imposé sans concertation exigent de repenser l’organisation de ces évaluations.
 
Si évaluer les élèves a toujours été essentiel pour le SE-Unsa, seules des évaluations adaptées aux besoins diagnostiques des enseignants et à une fréquence raisonnable peuvent représenter un outil au service de la réussite des élèves. 
 
Par ailleurs, la lourdeur logistique d’organiser de telles évaluations pour toute une école en deux semaines est un facteur de désorganisation important de l’enseignement et des apprentissages. Elle démontre à nouveau la déconsidération institutionnelle de la réalité des écoles et des équipes.
 
Même la livraison des livrets dans les territoires est une aberration, il est demandé aux personnels du 1er degré d’aller chercher les livrets ici ou là pour les ramener sur les écoles, et donc d’utiliser leur véhicule personnel et d’outre passer leurs missions. Le SE-Unsa demande donc à ces personnels de ne pas « jouer » les facteurs. 
 
Pour le SE-Unsa, les équipes doivent n’utiliser ces évaluations que de façon partielle et lorsqu’elles parviennent à en tirer un intérêt pour leurs élèves.
Paris, le 30 août 2024
Élisabeth Allain-Moreno
Secrétaire générale du SE-Unsa
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Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92
28 juin 2024 5 28 /06 /juin /2024 21:00

Enfin le revirement !

 

Après de longs mois de négociation pour faire évoluer favorablement la réforme de la formation initiale des enseignants et conseillers principaux d’éducation, le SE-Unsa salue la prise en compte de ses demandes : notre claquement de porte début juin a visiblement porté ses fruits.

La méthode de travail ministérielle aussi illisible qu’inefficace n’a certes pas aidé. S’y est greffé le retard accumulé sur un dossier si capital pour l’attractivité des métiers. Pour autant, malgré tous ces obstacles, le SE-Unsa a été entendu sur trois points majeurs :

•             Le projet de texte fixe bien un recrutement dès la licence, suivi d’une formation de deux années rémunérées permettant ainsi un niveau de qualification master.

•             La première année sous nouveau statut d’élève fonctionnaire garantit des droits importants et en particulier l’inscription dans une grille de rémunération débutant à 1 400 €.

•             La seconde année sous statut de fonctionnaire stagiaire permet une formation progressive avec mise en responsabilité et offre une rémunération de 1 800 €.

Au regard de l’urgence à mettre en place cette réforme, le SE-Unsa demande désormais une publication du texte dans les plus brefs délais.

 

 

Paris, le 28 juin 2024

Elisabeth Allain-Moreno

Secrétaire générale

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Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92 - dans Stagiaires et débuts de carrière
19 juin 2024 3 19 /06 /juin /2024 15:37

Nouvelle manifestation dimanche 23 juin à 14h30

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Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92
19 juin 2024 3 19 /06 /juin /2024 14:36

Report des mesures au 9 juillet !

 

Le Groupe se Travail qui examinait les mesures d'ajustement de carte scolaire pour la rentrée 2024 s'est bien réuni hier comme prévu. Mais d'emblée, le Directeur Académique annonçait aux organisations syndicales représentatives qu'aucune mesure de carte scolaire ne pourrait être actée avant la fin des élections législatives. Un nouveau CSA SD sera donc convoqué le mardi 9 juillet pour entériner les décisions.

C'est dans ce contexte pesant que les délégués du personnel ont passé l'après-midi à examiner les situations des écoles présentes sur les documents de travail. Le SE-Unsa a aussi présenté la situation de toutes les écoles qui lui ont confié leur dossier.

Avec l'ensemble des organisations syndicales présentes, le SE-Unsa s'insurge contre ce report (qui n'est pas du fait du DASEN mais du ministère) qui aura de lourdes conséquences pour les écoles et les personnels qui sont dans l'attente d'une mesure de carte pour la rentrée prochaine : structure d'école en attente, commandes en attente, affections en attente, ...

Pascal ROSAMONT

Représentant SE-Unsa au CSA SD

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Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92
12 juin 2024 3 12 /06 /juin /2024 08:29

Pour le SE-Unsa, c'est non !

 

Le choc des savoirs est imposé à marche forcée depuis des mois par notre Ministère auprès des familles et des personnels de l’Éducation nationale.

Dans ce cadre, il vient d'être annoncé auprès des enseignants une formation aux nouveaux programmes de mathématiques de cycles 1 et 2 dans les prochains jours.

Le SE-Unsa s'y oppose avec vigueur.

Celle-ci ne s'inscrit nullement dans une temporalité adéquate ainsi que dans un cadre réglementaire.

Une nouvelle fois, cela démontre le mépris croissant envers les personnels de l'Education nationale.

Le SE-Unsa a dénoncé cette formation et ce mépris en sollicitant par écrit le Recteur de l'académie de Versailles. Il s'est aussi associé à l'intersyndicale qui a aussi sollicité le Recteur suite à son message annonçant les modalités de la formation.

Les 2 courriers sont à lire en cliquant sur les liens ci-dessous.

 

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Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92 - dans Actions
5 juin 2024 3 05 /06 /juin /2024 17:23

Une ligne rouge à ne pas franchir

 

S’il est nécessaire que les lauréats des concours soient recrutés au niveau de la troisième année de licence, en revanche le SE-Unsa considère comme une ligne rouge infranchissable qu’ils ne soient pas recrutés comme fonctionnaires stagiaires dès la réussite du concours.
 
 
Ce que prévoit la réforme
 
Dans le cadre de la réforme de la formation initiale et des concours, le ministère envisage de n’accorder le statut de fonctionnaire stagiaire qu’à partir de la seconde année de formation.
En première année de formation, après l’obtention du concours en fin de licence, les lauréats percevraient une gratification d’environ 900 € par mois et suivraient leur formation dans une académie désignée par le ministère.
Ce n’est qu’en seconde année qu’ils seraient fonctionnaires stagiaires avec une rémunération de 1800 € nets par mois. Les lauréats suivraient leur seconde année de formation dans la même académie que la première année.
 
 
L’avis du SE-Unsa
 
Pour le SE-Unsa, une ligne rouge ne peut être franchie. Il est contraire aux textes régissant la Fonction publique que des lauréats d’un concours ne soient pas d’emblée reconnus comme fonctionnaires stagiaires. 
 
Le SE-Unsa a signalé son opposition forte à ce sujet lors du groupe de travail. Si une solution ne peut être apportée à l’issue des consultations, le SE-Unsa déposera un recours devant le Conseil d’État, voire le Conseil constitutionnel.
 
Certes, le SE-Unsa est favorable à la réforme de la formation initiale car, face à la crise du recrutement, il est nécessaire que le concours ait lieu à l’issue de la troisième année de licence, et soit suivi de deux années de formation validées par un master. Mais dès lors que l’on est lauréat d’un concours de l’Éducation nationale, on passe bien sous statut de la Fonction publique. C’est d’ailleurs ce qu’avait annoncé le président Emmanuel Macron le 5 avril 2024.
 
Le SE-Unsa demande donc que les textes réglementaires soient respectés et que les engagements du gouvernement soient tenus.
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Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92 - dans Stagiaires et débuts de carrière
3 juin 2024 1 03 /06 /juin /2024 20:59

Les directeurs et directrices d’école n’ont pas à promouvoir la propagande gouvernementale

 

Une nouvelle fois, on somme les directeurs et directrices d’école d’assurer la promotion du Ministère à travers la transmission de documents aux parents d’élèves.

Il s’agit en l’espèce du « service après-vente » des mesures du Choc des savoirs au collège, notamment la mise en place des groupes en français et en mathématiques en classes de 6e et 5e.

 

Les supports de communication réalisés promeuvent des dispositifs dans leur forme purement théorique, pâle copie du contenu des textes règlementaires. Les groupes au collège, une fois mis en place, ne ressembleront quasi-jamais à la présentation idyllique des supports ministériels tant leur mise en œuvre est difficile et insuffisamment financée.

 

C’est pourquoi le SE-Unsa demande aux directeurs et directrices d’école de ne pas diffuser ces documents de propagande gouvernementale.

Pour le SE-Unsa, le Choc des savoirs c’est toujours NON.

 

Paris, le 3 juin 2024

Elisabeth Allain-Moreno

Secrétaire générale

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Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92
29 mai 2024 3 29 /05 /mai /2024 07:48

Pour le SE-Unsa, c'est non !

 

Le ministère de l’Éducation nationale a décidé de lancer une nouvelle enquête auprès des enseignants du 1er degré pour évaluer leurs pratiques pédagogiques. Le SE-Unsa s’oppose à cette énième enquête qui alourdit encore la charge de travail des professeurs des écoles et donne consigne de ne pas la renseigner.
 
 
Une enquête qui n’a pas de sens
 
Cette enquête lancée par la Direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance a pour objectif de documenter les pratiques pédagogiques des professeurs des écoles. En cette fin d’année scolaire, des enseignants de 376 écoles sont tirés au sort pour tester cette enquête avant sa généralisation à la rentrée 2025 en CP pour suivre toute une cohorte d’élèves jusqu’en CM2.
 
Si le SE-Unsa ne s’oppose pas à l’évaluation des pratiques pédagogiques en tant que tel, il considère que cette démarche relève directement de la compétence des inspecteurs de l’Éducation nationale lors des visites conseil ou des rendez-vous de carrière. 
 
 
On ne remplit pas cette enquête !
 
Cette enquête étant une enquête de trop qui va encore alourdir la charge de travail des professeurs des écoles, le SE-Unsa a écrit à la ministre de l’Éducation nationale pour lui signifier que nous donnons comme consigne syndicale de ne pas remplir cette enquête.
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Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92 - dans Actions
18 mai 2024 6 18 /05 /mai /2024 09:26

Non au "choc des savoirs"

 

Nos organisations sont mobilisées contre le « Choc des savoirs » depuis plusieurs mois. Nous dénonçons cet ensemble de mesures, du premier degré au second degré, qui dessine les contours d’un modèle d’École passéiste et conservateur. Il vise à généraliser le tri des élèves dès le plus jeune âge, notamment par les groupes de niveaux, mais aussi en conditionnant l’accès direct au lycée par la mise en place de classes prépa-seconde en lycée général, technologique ou professionnel, en faisant du brevet une barrière à l’entrée au lycée. Le « Choc des savoirs » est une attaque frontale contre l’Ecole publique. Il est synonyme de retour en arrière sans précédent, en revenant sur les acquis de 60 ans de démocratisation scolaire. C’est aussi une certaine vision de la société qui est esquissée, celle du tri et de l’assignation sociale, dangereuse pour notre démocratie. Un pays où la jeunesse se trouve assignée à ses positions scolaires et sociales court un grave danger démocratique.
Nos organisations réaffirment avec force leur attachement au projet scolaire de l’École publique, laïque, gratuite et obligatoire : accueillir partout tous les élèves sans distinction d’aucune sorte, être ambitieux pour chacun, respecter et participer à une véritable liberté de conscience notamment par la construction de l’esprit critique autour de savoirs scientifiquement validés.
Aujourd’hui, le service public d’Éducation traverse une crise sans précédent : crise de recrutement, démissions, personnels qui témoignent d’une perte de sens de leur métier… A l’instar de l’hôpital public, l’École publique n’est pas loin de l’effondrement alors qu'elle doit avoir les moyens d'être l'école de la première chance. Nous ne nous y résignons pas ! Depuis plusieurs mois, nous sommes engagé.es dans la mobilisation contre le « Choc des savoirs » et pour la défense de l’École publique, réunissant au fil des jours, des semaines et des mois de plus en plus de personnels de l’Éducation nationale et de parents d’élèves. Poursuivons et amplifions la mobilisation !
Nos organisations appellent les familles, enseignants, personnels éducatifs, bénévoles et militants des associations d’éducation populaire, lycéens, étudiants et toutes celles et ceux qui se retrouvent dans le projet d’une École publique, laïque et émancipatrice à manifester le samedi 25 mai à Paris, pour l’École publique et pour dire « non au Choc des savoirs ». Ensemble, faisons société autour
de l'école !
Départ de la manifestation parisienne : 13h Place de la Sorbonne, en direction de la Place de la Bastille.

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Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92