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SE-UNSA 92

8 bis rue Berthelot

92150 SURESNES

Tél : 01 45 06 67 66

ou 09 62 58 48 72

92@se-unsa.org

Instances

Calendrier des réunions paritaires

Jeudi 8 septembre 2022 : CTSD. Mesures d'ajustement de carte scolaire

Vendredi 18 novembre 2022 : CTSD. Bilan des ressources enseignante 1er degré et AESH - Rentrée 2022

Jeudi 2 février 2023 : CSA SD. Mesures de carte scolaire - Rentrée 2023

Jeudi 9 février 2023 : CDEN. Carte scolaire 1er et 2nd degrés

Réunions d'information syndicale

Mercredi 9 novembre 2022 : Plessis-Robinson en présentiel

Mercredi 16 novembre 2022 : Visioconférence sur le mouvement interdépartemental

Mercredi 23 novembre 2022 : Boulogne-Billancourt en présentiel

Mercredi 30 novembre 2022 : Visioconférence sur l'entretien de direction

Vendredi 10 février 2023 : Visioconférence Spécial formateurs

Mercredi 29 mars 2023 : Visioconférence sur le mouvement intradépartemental

Mercredi 12 avril 2023 : Visioconférence sur le mouvement intradépartemental

20 mars 2012 2 20 /03 /mars /2012 10:41

Projet ministériel rejeté à l'unanimité au CTM

 

 

Malgré la demande unanime de retrait de l’ordre du jour, le boycott du 1er CTM du 8 mars, le ministère est resté sourd et a maintenu son projet.

A 8 jours de la réunion (procédure d’urgence), un nouveau texte aggravant la version précédente (introduction de mois de pénalités !) nous avait été transmis.

En séance, sur table, le 15 mars, c’est un texte complètement remanié qui nous a été présenté avec 79 amendements du ministère, sans que la problématique de fond ne soit modifiée.

A l’évidence, cette méthode montre que du temps était encore nécessaire avant de présenter un texte mal préparé et confus au CTM.

Au-delà de la dénonciation de cette réforme à travers une déclaration intersyndicale puis de chaque organisation, de multiples questions ont été posées sur les conséquences concrètes d’un certain nombre de mesures (gestion du dispositif, impact sur les personnels…).

Le ministère n’a apporté pratiquement aucune réponse : « l’instrumentation » serait en cours, la formation de l’ensemble des évaluateurs serait garantie etc...

Nous ne nous étions pas trompés. La procédure d’urgence ne visait qu’à passer en force le fond idéologique de la réforme, avant le changement de gouvernement.

Ces textes ont été rejetés de façon unanime par l’ensemble des fédérations syndicales. Le ministère va passer outre et présenter ce texte, encore de façon accélérée, au CSFPE le 26 mars.

Le SE-Unsa ne baisse pas les bras et veut continuer à obtenir le retrait de ce projet.

Nous allons proposer dès aujourd’hui aux fédérations syndicales d’écrire au Ministre pour lui demander de prendre en compte le vote du CTM et donc de renoncer à sa réforme.

Nous allons aussi initier une interpellation des candidats à la présidentielle pour demander le retrait de ces textes.

Pour le SE-Unsa, l’action doit donc continuer !

 

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16 mars 2012 5 16 /03 /mars /2012 11:15

Je signe !

 

Nouvelle mobilisation : avec "L’appel des RASED", le SE-Unsa s’engage à nouveau pour le soutien des RASED (Réseaux d’aides spécialisées aux élèves en difficulté).

Après le 4 pages «Ecole abandonnée, élèves sacrifiés » diffusé nationalement, dans le cadre du collectif national RASED, le SE-Unsa vous invite à signer l’appeldesrased pour dénoncer les nouvelles suppressions massives de postes d’enseignants spécialisés, programmées pour la rentrée 2012.  Il rappelle que 5000 postes d’enseignants spécialisés en RASED ont été détruits depuis 2008.

Inadmissible : 250 000 élèves des écoles maternelles et élémentaires ne bénéficieront plus d'aucune aide spécialisée à la rentrée, alors que toutes les ressources devraient être mobilisées pour assurer la réussite de tous !

« Sauver et développer les RASED, c’est défendre une école pour tous  » 

De nombreux chercheurs et personnalités sont signataires de cet appel, parmi lesquels :

Jacques BERNARDIN, Rémi BRISSIAUD, Albert CICCONE, Boris CYRULNIK, Eric DEBARBIEUX, Jean-Claude EMIN, Roger ESTABLET, Jacques FIJALKOW, Sylviane GIAMPINO, Roland GOIGOUX, Richard HOROWITZ Philippe JOUTARD, Françoise LANTHEAUME, Claire LECONTE, Claude LELIÈVRE, Maryse METRA, Hubert MONTAGNER, Nicole MOSCONI, André OUZOULIAS, Eric PLAISANCE, Erick PRAIRAT, Jean-Yves ROCHEX, Alain SERRES, Serge TISSERON...

 

Le collectif RASED est composé :

  • des associations professionnelles des enseignants spécialisés (AFPEN, FNAME, FNAREN), de psychologues scolaires et  des conseillers pédagogiques (ANCP),
  • des représentants des parents d’élèves (FCPE),
  • des organisations syndicales (CGT Educ’action, SE-Unsa, Sgen-CFDT, SIen-UNSA, SNPI-FSU, SNPsyEN-UNSA, SNUipp-FSU, SUD-éducation) L
  • des mouvements pédagogiques (AGSAS. ICEM…)
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13 mars 2012 2 13 /03 /mars /2012 21:45

Bienvenue dans les Hauts-de-Seine !

 

Le SE-Unsa 92 souhaite la bienvenue aux 108 collègues qui intègrent notre département par le biais des permutations informatisées.

Dans un premier temps la priorité est de participer au mouvement départemental, dont le serveur est ouvert du 6 au 21 mars. Pour ce faire vous pouvez y accéder en vous connectant au service SIAM via le i-prof de votre département actuel.

Vous pouvez nous contacter par téléphone (01 45 06 67 66) ou par mail pour nous demander des conseils, nous mettons également à votre disposition une publication spécifique pour vous donner quelques informations utiles pour vos premiers pas dans notre département. 

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13 mars 2012 2 13 /03 /mars /2012 14:34

Conseillers pédagogiques, enseignants référents, direction d'école, école Robert Doisneau, échanges franco-allemands, candidats au DEPS

 

Si vous êtes concerné(e) par un des sujets ci-dessus et que vous souhaitez connaître les résultats de la commission vous concernant, contactez-nous ici en précisant vos nom, prénom, et le "motif" de votre demande.

David Planche

Elu SE-Unsa 92 à la CAPD

 

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12 mars 2012 1 12 /03 /mars /2012 18:28

Résultats durs et implacables

 

Durs, implacables, les résultats des permutations informatisées sont tombés. Un 1er décryptage, préoccupant, peut déjà être livré : il n’a jamais été aussi difficile de changer de département. Alors que les conditions de travail se détériorent et que les carrières s’allongent, le droit à mobilité, lui, se dégrade.

Seuls 24,62 % des 17 298 candidats ont obtenu satisfaction. C’est un taux qui ne cesse de chuter depuis trois ans avec, respectivement, 37,08 % puis 29,19 % pour 2010 et 2011. Que ce soit pour les rapprochements de conjoints ou les personnels en situation de handicap, le même constat amer se reproduit.

Concernant les rapprochements de conjoints, depuis 2010, le taux est passé de 65,30% à 53,19 % pour descendre à 47,10 % cette année.

Les personnels en situation de handicap, de la même façon, voient leurs chances de muter diminuer malgré la bonification exceptionnelle de 500 points. 37 personnes se retrouvent ainsi cette année sans mutation.

Dès demain, le SE-Unsa rencontrera le ministère pour dénoncer ce blocage de la mobilité géographique qui plonge les enseignants des écoles et leurs familles dans le désespoir de voir leur projet de vie se réaliser un jour.

Paris, le 12 mars 2012

Christian Chevalier, Secrétaire Général

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12 mars 2012 1 12 /03 /mars /2012 13:48

Les résultats sont tombés

 

108 entrées pour 198 départs : tel est le bilan des permutations 2012 pour notre département.

Le nombre de départs a considérablement baissé depuis l'année dernière, alors que le nombre de demandes reste aussi élevé. Il est clair que le manque d'enseignants dans les Hauts-de-Seine oblige l'administration à restreindre le nombre de départs vers d'autres départements. Il est grand tant que le recrutement soit à la hauteur des besoins pour que le nombre de satisfaits puisse augmenter et non pas régresser comme c'est le cas cette année.

Les barèmes des sortants par département  

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8 mars 2012 4 08 /03 /mars /2012 13:32

Le 21 mars au Plessis-Robinson

 

Le SE-Unsa 92 vous donne rendez-vous à l’école Anatole France du Plessis-Robinson le mercredi 21 mars pour une réunion d’information syndicale. Au programme : le mouvement départemental, la carte scolaire, les permutations informatisées, l’évaluation des enseignants, les salaires, …

Téléchargez l'invitation 

 

 

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8 mars 2012 4 08 /03 /mars /2012 09:11

Le serveur est ouvert

 

La circulaire du mouvement des personnels du 1er degré dans les Hauts-de-Seine et ses nombreuses annexes ont été publiées hier sur i-prof.

Le serveur est ouvert du mardi 6 au mercredi 21 mars pour que les collègues qui souhaitent ou qui doivent participer au mouvement puissent saisir leurs voeux.

La date limite de remise aux IEN des attestations de contact, de demandes de priorité, de maintien sur poste situé en RRS et de candidature non spécialisée à un poste spécialisé est fixée au mardi 20 mars.

Consultez la liste des postes  

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8 mars 2012 4 08 /03 /mars /2012 08:59

Le CTM du 8 mars boycotté 

 

Qu’il est loin ce mois de septembre 2007 où le Président de la république adressait sa « lettre aux éducateurs », tentant d’amadouer le chaland par un « témoignage de respect et une marque de reconnaissance» (sic) !

En cette fin de septennat, le dossier de l’évaluation des enseignants permet de mesurer, entre autres, tout le « bien » que nous veut le ministère.

 

Un dialogue social fantôme

L’appréciation de la valeur professionnelle des personnels enseignants et d’éducation est la plus parfaite illustration d’un dialogue social fantôme. Un texte présenté en février 2011, une consultation en ligne des enseignants et puis…. silence radio jusqu’en décembre où un texte est proposé, la DGRH indiquant que le ministère statuera par voie réglementaire !

Le procédé est bien connu : lorsqu’on veut faire capoter une négociation, on fixe des principes de départ que l’on sait inacceptables, on crie haut et fort qu’on n’en changera pas. Ainsi, on a ensuite beau jeu de se lamenter autour du manque d’ouverture des organisations syndicales. C’est la tactique cousue de fil blanc qu’a choisie la DGRH.

Le dernier avatar de cette triste aventure réside dans l’inscription du dossier, selon la procédure d’urgence, à l’ordre du jour du Comité technique ministériel du 8 mars. Pourtant, aucune urgence n’est requise, d’autant qu’un décret de la Fonction publique du 30 décembre dernier en a différé l’application à 2013.

 

Des pénalités de deux mois

Le contenu du décret montre bien le caractère atrabilaire et revanchard de nos interlocuteurs. En effet, la principale évolution par rapport à la version initiale consiste en la possibilité, désormais, de ralentir la carrière des personnels. Fini l’avancement minimum garanti.

Le mécanisme suivra les principes suivants :

  • un volume de mois à distribuer est constitué sur la base de 256 mois par tranche de 100 agents ;
  • une auto-évaluation partagée appuyée au référentiel de compétences ;
  • un entretien triannuel mené par le supérieur hiérarchique direct avec un avis (exceptionnel, remarquable, satisfaisant, insuffisant) ;
  • l’autorité hiérarchique (Recteur ou IA dans la plupart des cas) attribue, après avis de la CAP, 2 ou 5 mois de réduction, permettant un avancement plus rapide. Il peut également décider de ne pas attribuer de réductions et, surtout, ralentir la carrière en donnant une pénalité de deux mois ! C’est la grande nouveauté, passée au tamis de l’adage « on va les mettre au pas ».

Bien évidemment, les textes restent totalement évasifs sur les solutions apportées en cas de jugement d’insuffisance de la valeur professionnelle. Aucune obligation de formation, et pour cause, vu le volume de stages proposés aujourd’hui dans l’Education nationale.

Encore une fois, le ministère confond individualisation et stigmatisation, s’exonérant à bon compte de toute aide aux collègues en difficulté. De plus, aucune obligation n’est donnée aux recteurs d’utiliser le volume total de mois à distribuer. Ils disposent ainsi d’un nouvel outil d’économies budgétaires sur le dos des agents. Mais personne n’est surpris de l’inventivité.

Le SE-Unsa exige le retrait de ce texte de l’ordre du jour du CTM et l’ouverture de réelles négociations. Le CTM a été boycotté.

Lire le communiqué commun

L'analyse du dispositif par le SE-Unsa 

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3 mars 2012 6 03 /03 /mars /2012 10:22

Les chiffres ne mentent pas !

 

Le 21 juin 2011, visitant une école à La Canourgue en Lozère, le Président de la République annonçait avec aplomb : « A la rentrée 2012, nous ne procéderons hors démographie à aucune fermeture de classe de l'école primaire »… et de poursuivre : « Le un sur deux continuera, mais nous sanctuariserons l'école primaire pour qu'à la rentrée 2012, le nombre de fermetures de classes n'excède pas le nombre d'ouvertures ».

Passé le temps des déclarations d’intention, il convient d’observer comment recteurs et inspecteurs d’académies jouent de la calculette pour exécuter la commande présidentielle.

Pour évaluer la performance consistant à ne fermer aucune classe alors que le budget 2012 impose 5700 suppressions d’emplois dans le primaire, le SE-Unsa a lancé une enquête nationale. Il en ressort que dans les 91 départements qui ont déjà tenu leurs instances et arrêté leurs décisions définitives, 3494 classes ont été fermées et seules 1911 ont été ouvertes. Le solde négatif s’élève donc à 1582 classes. Nous voilà bien loin des engagements présidentiels.

Cette enquête confirme également qu’avec une amputation aggravée de 1882 emplois, les RASED paient à nouveau un lourd tribut à la razzia budgétaire. Dans chaque département, ils se retrouvent exsangues.

Annoncer qu’avec -5700 emplois budgétaires, on ne toucherait aucune classe relève de la tromperie. Aucun acteur sincère, aucun connaisseur attentif du système éducatif ne peut l’ignorer. Les chiffres parlent d’eux même et sont accablants. Non seulement cette carte scolaire 2012 ne prend pas en compte la poussée démographique en primaire, mais elle abandonne toujours plus à leur sort les élèves en grande difficulté.

L’École de la République n’a que faire de forfanterie politique ou de coups de menton électoralistes. Elle mérite la considération et l’attention de la Nation. Pour le SE-Unsa, cela passe par une autre politique budgétaire et surtout par une ambition éducative partagée, mesurée et acceptée par l’ensemble de la communauté éducative.

 

Les chiffres du SE-Unsa

 

La réaction du ministre 

 

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