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SE-UNSA 92

8 bis rue Berthelot

92150 SURESNES

Tél : 01 45 06 67 66

ou 09 62 58 48 72

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Instances

Calendrier des réunions paritaires

Jeudi 5 septembre 2024 : CSA SD. Mesures d'ajustement de carte scolaire

Réunions d'information syndicale

Mercredi 2 octobre 2024 : Suresnes à 10h (8 bis rue Berthelot)

Mercredi 9 octobre 2024 : Le Plessis-Robinson à 10h (école maternelle Louis Hachette)

Mercredi 13 novembre 2024 : Mouvement inter. Visioconférence à 10h

4 octobre 2019 5 04 /10 /octobre /2019 13:18

Les annonces du ministre doivent être renforcées de mesures d'urgence

 

Le ministre a ouvert le Comité technique ministériel du 3 octobre. Après une expression solennelle et l’observation d’une minute de silence à la mémoire de Christine Renon, Jean-Michel Blanquer a fait des annonces. Pour le SE-Unsa, ces annonces ouvrent des perspectives absolument nécessaires qui doivent être accompagnées de mesures d’urgence.

Comme il l’a expliqué ensuite dans une vidéo adressée aux directrices et directeurs d’école, le ministre a annoncé la création d’un comité consultatif national sur la direction d’école dans le cadre de la réouverture de l’agenda social. Il a également prévu un questionnaire à destination des directeurs d’école et la création d’un groupe permanent de consultation des directeurs à l’échelle départementale. De plus, il a accédé à notre demande intersyndicale d’un Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail ministériel sur la prévention des actes suicidaires.

Stéphane Crochet, secrétaire général du SE-Unsa, a jugé ces annonces positives mais a demandé directement au ministre qu’elles s’accompagnent de mesures d’urgence. Il faut immédiatement décider du report de tâches administratives non essentielles, de l’octroi de journées de décharge supplémentaires avant les vacances d’octobre ainsi que de réunions de directeurs sur le temps de classe, dès le mois de novembre, pour leur permettre de sortir de leur isolement.

Pour le SE-Unsa, ce nouveau comité consultatif national doit se réunir au plus vite. Des mesures doivent être prises concernant notamment les décharges et le soutien pour le traitement des tâches administratives. Depuis de nombreuses années, le SE-Unsa alerte sur l’urgence de la direction d’école et travaille des propositions. Début avril 2019, lors de la première et unique réunion de l’agenda social « Directeurs d’école », le SE-Unsa a remis l’ensemble de ses propositions pour la direction et le fonctionnement de l’école. Comme en témoignent les mobilisations et recueillements partout en France le 3 octobre et les plus de 100 000 signatures de la pétition « plus jamais ça ! » recueillies en 48h, il faut à présent avancer rapidement et concrètement.

Au-delà de la direction d’école, le SE-Unsa a rappelé que la carence en médecine de prévention et le problème global des conditions de travail dans le ministère de l’Éducation nationale doivent être traités. Qu’il s’agisse des enseignants ou d’autres catégories de personnels, le rythme des injonctions, cohérentes ou non, parfois paradoxales, conduit à la perte de sens de nos métiers.

Face à l’urgence, l’institution ne peut pas rater ce rendez-vous avec ses personnels.

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Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92 - dans Direction d'école
3 octobre 2019 4 03 /10 /octobre /2019 21:51

La DASEN a tranché !

 

Lors de la CAPD du mardi 1er octobre, la délégation du personnel avait proposé à la DASEN de modifier la manière de départager les collègues ayant 160 points de barème, en privilégiant l'ancienneté générale des services (plus favorable aux anciens instituteurs) plutôt que l'ancienneté dans le corps.

Nous avons appris aujourd'hui qu'elle ne souhaitait pas revenir sur le classement qui avait été effectué par ses services, à savoir un classement à partir de l'ancienneté dans le corps.

La liste des 284 promus à la hors-classe est donc arrêtée. Si vous souhaitez connaître un résultat vous concernant cliquez ici

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Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92
2 octobre 2019 3 02 /10 /octobre /2019 15:08

Plus jamais ça !

Le SE-Unsa, le SNUipp-FSU, le Sgen-CFDT, CGT-Éduc’action, Sud-Éducation vous invitent à signer cette pétition pour exprimer votre plus vive émotion et votre soutien aux proches de Christine ainsi qu’à ses collègues, aux élèves et aux familles de son école. En signant cette pétition, vous exigez aussi qu’un chantier portant sur les conditions d’exercice de nos métiers à l’Éducation nationale soit ouvert en urgence afin d’obtenir des mesures concrètes d’amélioration de nos conditions de travail.
 
 
Une marche blanche aura lieu samedi 5 octobre à 11h, à la Mairie de Pantin.
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Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92
1 octobre 2019 2 01 /10 /octobre /2019 18:47

Accès à la hors-classe, bilan de rentrée

 

Hors-classe des PE

Lors de la CAPD du 28 août, la délégation du personnel avait voté contre la proposition de tableau d'accès à la hors-classe, en raison d'un grand nombre d'erreurs (repérées par les délégués du personnel) ainsi que de la non prise en compte de la situation particulière des collègues anciens instituteurs, devenus professeurs des écoles, qui sont pénalisés par le nouveau système d'accès à la hors-classe (car ce n'est plus l'Ancienneté Générale des Services qui est prise en compte pour départager les ex aequos, mais l'ancienneté dans le corps).

Si nous avons été entendus sur le premier point (les erreurs provenaient essentiellement d'une différence de prise en compte de l'ancienneté dans les échelons par rapport à l'année dernière), une longue discussion s'est engagée sur le cas des anciens instituteurs en âge de prendre leur retraite. Le barème du dernier promu est de 160 points. Les services de la DSDEN ont besoin de quelques jours pour classer tous les collègues ayant 160 points selon leur AGS plutôt que leur ancienneté dans le corps. La DASEN rendra son arbitrage à l'issue de ce travail. Nous ne sommes donc toujours pas en mesure de communiquer la liste des 284 promus.

 

Bilan de rentrée

Les services de la D1D nous communiquent la liste des nominations sur les directions d'école encore vacantes fin août (15 écoles concernées, ce qui est un phénomène nouveau), les exeats réalisés (16, plus 3 échanges) ainsi que les résultats des demandes de révision d'affectation. Il ne resterait plus de poste vacant sur le département, à part quelques compléments de temps partiels à 80%.

173 contractuels sont actuellement en poste, dont 13 viennent d'être recrutés la semaine dernière.

PES : parmi les nouveaux lauréats du concours, 11 ont finalement renoncé et 2 ont démissionné. Parmi les PES 2018 on dénombre 13 prolongations et 20 renouvellements.

 

Infos diverses

Classe exceptionnelle : une CAPD se tiendra le 15 octobre pour l'accès à l'échelon spécial

Liste d'aptitude PE : il y avait plus de places que de candidats donc tous les instituteurs qui ont demandé leur intégration dans le corps de professeur des écoles ont été intégrés. Il reste désormais 76 instituteurs en activité dans les Hauts-de-Seine.

 

David PLANCHE

Elu SE-Unsa 92 à la CAPD

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Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92 - dans CAPD
18 septembre 2019 3 18 /09 /septembre /2019 08:42

Huit organisations écrivent au ministre

 

Cinq organisations syndicales (SE-Unsa, Snuipp-FSU, Sgen-CFDT, Snudi-FO, CGT Educ’action) et trois mouvements pédagogiques (CRAP, GFEN, ICEM) adressent un courrier commun au ministre pour demander qu’un dialogue respectueux des professionnel·le·s s’ouvre au sujet des évaluations CP/CE1.
 
Dans ce courrier, les huit organisations rappellent leurs désaccords avec le protocole d’évaluation actuel, aussi bien sur ses finalités multiples, ses contenus et ses effets sur les pratiques dans les classes.
 
Nous demandons que les sanctions envisagées contre les enseignant·e·s qui ont refusé de l'utiliser l’an dernier, partiellement ou en totalité, soient levées en signe d’apaisement et de retour à un dialogue respectueux des compétences professionnelles des enseignant·e·s.
 
Loin de rejeter tout outil national d’évaluation, nous demandons qu’un travail soit engagé pour que ces outils soient réellement au service des apprentissages des élèves dans les classes.
 
Alors que le ministre a annoncé que cette rentrée serait celle du dialogue, nous sommes disponibles pour travailler dans cet objectif avec les services du ministère.
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Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92
14 septembre 2019 6 14 /09 /septembre /2019 15:06

Venez rencontrer le SE-Unsa 92

 

L'actualité sociale de cette rentrée s'annonce chargée. Dans l’Éducation Nationale, le bilan de rentrée n'est pas fameux et la question de la revalorisation des salaires est attendue avec impatience par nos collègues. Mais les grandes inquiétudes concernent plutôt l'ensemble de la fonction publique avec la Loi de transformation, et la société toute entière avec la réforme des retraites.
Venez vous informer et débattre de ces sujets avec les délégués des personnels du SE-Unsa 92 :
- le mercredi 25 septembre à Boulogne
- le mercredi 2 octobre au Plessis-Robinson
Retrouvez tous les renseignements utiles en cliquant sur le lien ci-dessous.
Afin de préparer au mieux ces réunions merci de vous inscrire en cliquant ici.
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Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92
12 septembre 2019 4 12 /09 /septembre /2019 21:01

Ce qui change à la rentrée 2019

 

Suite aux retours des enseignants, les évaluations proposées à la rentrée 2019 ont été raccourcies par rapport aux précédentes et des ressources en ligne ont été publiées.


Modalités de passation

En CP, les élèves passeront 3 séquences de 10 minutes en français et 2 séquences d’une dizaine de minutes en mathématiques.
En CE1, les élèves passeront 2 séquences collectives d’une douzaine de minutes et 2 exercices individuels en lecture, ainsi que deux séquences de 15 minutes en mathématiques. Les passations se feront sur un seul cahier.
Néanmoins, le temps que les enseignants vont réellement passer sur ces évaluations sera bien plus long : lecture des livrets, consignes et explications à donner aux élèves, saisie des résultats.

 

Ressources en ligne

Plusieurs outils de remédiation sont déjà en ligne. Ils sont non prescriptifs mais peuvent, éventuellement, être utiles à des enseignants qui débutent en cycle 2.

Plusieurs versions adaptées du cahier de l’élève sont prévues ainsi qu’un cahier adulte accompagnant, pour le report des réponses de l’élève non-voyant par l’adulte.

 

L’avis du SE-Unsa

Même si les séquences sont raccourcies, on peut regretter la présence de nombreux pièges (appelés « distracteurs » par les concepteurs des tests) qui biaisent la compétence réellement évaluée ainsi que de certains exercices qui risquent de mettre à mal les élèves les plus fragiles car trop longs. L’exercice 9 de mathématiques en CP est un exercice qui n’existait pas l’an dernier. Il s’agit de trouver le bon assemblage de deux pièces données, et, au fur et à mesure, cela se complexifie. Cet exercice très inhabituel, présent à l’identique dans les évaluations de CE1, interroge quant à ses objectifs pédagogiques. Le SE-Unsa a demandé des éclaircissements rapides à ce sujet au ministère.

On peut également regretter des représentations stéréotypées filles/garçons.
Enfin, le fait qu’il y ait des propositions, pour les additions et les soustractions au CE1 par exemple, est problématique. Pourquoi ne pas laisser la possibilité aux élèves de proposer eux-mêmes une réponse ?

Le SE-Unsa a demandé une compensation horaire du temps de saisie des résultats et la création d’un comité de suivi de ces évaluations afin qu’elles puissent effectivement outiller les enseignants dans l’aide aux élèves en difficulté.

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Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92
12 septembre 2019 4 12 /09 /septembre /2019 09:42

La prévention attendra ...

 

De longs mois après #pasdevagues, le ministère vient de publier un plan de protection des personnels, axé sur les sanctions, l’autorité et la sécurité. Bien que nécessaire, la sécurité ne peut être isolée d’autres leviers, notamment la prévention et la formation des personnels.
 

Les chiffres de la violence : un phénomène limité mais qui empoisonne les communautés scolaires

Selon l’enquête SIVIS, pendant l’année 2017-2018,  les chefs d’établissement du second degré public ont déclaré en moyenne 13,4 incidents pour 1 000 élèves. Ils concernent en très grande majorité des violences verbales, à l’encontre des personnels et des élèves. 20 % des établissements n’ont signalé aucun acte grave. Deux incidents graves sur trois se produisent au collège. Le nombre d’élèves poly-exclus est estimé à 1500 (pour plus de 12 millions d’élèves).
 

Un plan « après-violences », sans éléments de prévention

Ce plan contient des éléments pour rendre la sanction plus rapide. Le délai de convocation du conseil de discipline est raccourci de huit à cinq jours ouvrables après les faits. De même, l’élève qui pouvait disposer de trois jours pour présenter sa défense orale ou écrite, n’en dispose plus que de deux.

De plus, la durée de conservation de certaines sanctions dans le dossier administratif de l’élève est allongée. Les blâmes et mesures de responsabilisation (TIG par exemple) sont conservés une année scolaire supplémentaire ; les exclusions temporaires sont conservées deux années scolaires après l’année de la sanction. Les exclusions définitives sont comme auparavant conservée tout au long de la scolarité dans le second degré.

Aussi, trois guides sont désormais disponibles pour accompagner les personnels en cas d’incivilité ou d’agression dans le cadre de leurs fonctions (1er et 2d degrés) ainsi que pour accompagner les personnels faisant l’objet d’une plainte. Ces guides ne contiennent aucune nouveauté mais constituent néanmoins des rappels utiles pour connaître les démarches à adopter.

À cela s’ajoutent la sécurisation des abords des établissements qui rencontrent des problèmes et la mise en place d’un référent « violences en milieu scolaire » dans chaque département.

Or, en matière d’incivilités et de violences en milieu scolaire, la réponse répressive ne suffit pas. Les politiques « coup-de-menton » ont largement prouvé leur inefficacité : la France a connu 14 plans violence depuis 1991. La culture de la prévention reste à construire pour ne pas en rester à un plan « après-violences » essentiellement curatif.
 
 
La question des élèves « hautement perturbateurs »

Ce plan prévoit l’affectation des élèves « hautement perturbateurs » ou poly-exclus dans les classes relais pendant six mois (avec ou sans l’accord de la famille) ou bien en internat-tremplin. Ces mesures visent à éloigner ces élèves de leur établissement, mais que feront-ils dans ces structures qui vont les accueillir ? Les difficultés seront-elles simplement déplacées ? Quelle peut être l’efficacité de ce genre de mesure, sans adhésion des familles et des élèves eux-mêmes ?

Après deux exclusions définitives, un chef d’établissement peut solliciter le DASEN pour établir un Plan d’accompagnement et de responsabilisation des parents (PAR). Parmi les actions proposées on relève « une rencontre avec l’assistante sociale, l’adhésion à l’UNSS et l’inscription à « devoirs faits ». Or, ces actions font déjà partie des mesures de de prévention proposées par les établissements.

Hélas ce plan ministériel ne prévoit pas de prise en charge globale (médicale psychologique et pédagogique) pour cette catégorie d’élèves, pour lesquels il est souvent nécessaire de  prévenir, entre autres, les problèmes liés à la « survirilisation », où  la violence fait partie de la construction d’une identité virile, les garçons étant beaucoup plus nombreux que les filles parmi les élèves poly-exclus.
 

Climat scolaire : de vrais besoins du terrain

La question du climat scolaire est située à l’intersection de toutes les problématiques éducatives et les principales préoccupations des enseignants gravitent autour du climat scolaire : charge de travail raisonnable, locaux adaptés où on se sent bien et que l’on s’approprie, crainte de l’isolement, inscription des politiques scolaires dans la durée, confiance dans les choix pédagogiques, reconnaissance salariale.

Cette question est aussi celle des conditions de travail : il est regrettable que les représentants des personnels en CHSCT n’aient pas été sollicités pour agir en direction de politiques de prévention et de santé. Le manque d’efficacité de la médecine de prévention (par manque de moyens) est une vraie inquiétude, d’autant que la fusion annoncée des CHSCT et des CT sera de nature à diminuer l’efficacité de cette instance et donc la prévention des risques professionnels.

Créer les conditions d’un climat scolaire apaisé, au service des apprentissages des élèves et du bien-être de tous est un objectif prioritaire ; c’est aussi un puissant levier de réussite scolaire.

Pour le SE-Unsa, la question du climat scolaire demande un changement de paradigme ; cela passe par l’investissement dans la prévention, la formation des équipes, la prise en charges des élèves hautement perturbateurs pour faire face aux comportements difficiles d’une manière juste, démocratique et appropriée. Enfin, il est essentiel d’inclure l’enseignement primaire à cette démarche ; il est totalement absent du plan ministériel.
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Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92
9 septembre 2019 1 09 /09 /septembre /2019 20:47

Pour tous ?

 

Après une entrée fracassante en avril, une sortie par la porte en mai et une entrée par la fenêtre en juin, le texte sur la formation obligatoire pendant les vacances scolaires est sorti un dimanche de septembre. Qui sera obligé, ou pas, de faire quoi et quand ?
 
 
Il y a ceux qui sont volontaires
 
Les enseignants qui suivront des formations pendant les congés scolaires, de leur propre initiative, pourront enfin être rémunérés à hauteur de 120 euros par journée de formation (pour cinq jours maximum) et ça, c’est une bonne nouvelle. Le SE-Unsa salue cette reconnaissance financière.
 
 
Il y a ceux qui ne sont pas volontaires, mais désignés
 
Pour les formations « à l’initiative de l’autorité compétente » (entendons par là obligatoire), les collègues non volontaires peuvent dorénavant se voir imposer 5 jours de formation pendant les congés scolaires, et ça, c'est inacceptable. Le SE-Unsa dénonce cette dérive possible.
 
 
Les conditions d'une formation réussie
 
On peut comprendre que des formations longues ne puissent pas être totalement effectuées sur le temps de service et si le collègue est volontaire pour effectuer une partie de cette formation longue sur son temps de congés scolaires, alors il doit y avoir une rémunération.
Il est par contre impensable que des formations courtes se déroulent pendant les vacances scolaires.
 
Une politique de formation ambitieuse doit se doter des moyens de remplacement et non prendre sur le temps de congés des personnels.
 
Au moment où la formation continue est au cœur d'un dialogue social renoué, la mise en place des politiques de formation devra prouver que les conditions de travail des personnels sont bien au cœur des préoccupations. Le SE-Unsa vérifiera et dénoncera les abus.
 
 
Pour le SE-Unsa, la formation est au service du développement professionnel. Des collègues peuvent souhaiter se former pendant les vacances. Dans ce cas, la formation ne peut être que sur la base du volontariat et doit être indemnisée. En revanche, elle ne doit pas s’ajouter à une charge de travail déjà lourde, y compris pendant les congés, en déséquilibrant l’articulation souvent compliquée entre vie professionnelle et vie personnelle.
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Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92
5 septembre 2019 4 05 /09 /septembre /2019 20:10

Mesures d'ajustement de carte scolaire

 

OUVERTURES :

Asnières

Mat Aulagnier : +1

Mat Poincaré : +1

Elem Poincaré A : +1

Elem D’Ormesson : +1

Bagneux

Mat Rosenberg : +2

Elem Vaillant Couturier : +1

Elem Cachin : +1

Boulogne

Elem Ecole du Numérique : +1

Bois-Colombes

Mat Joigneaux : +1

Elem Saint-Exupéry : +1

Bourg-la-Reine

Mater Fontaine Grelot : +1

Mater Bas Coquarts : +1

Chatenay-Malabry

Mat Verne : +2

Colombes

Mat Frank : +1

Mat Claudel : +1

Elem Veil : +1

Courbevoie

Elem Sylvestre : +1

Fontenay-aux-Roses

Mat Ormeaux : +1

Mat Renards : +1

Gennevilliers

Mat Caillebotte : +1

Issy-les-Moulineaux

Mat Epinettes : +1

Elem Oudin : +1

La Garenne-Colombes

Mat Guest : +1

Elem Jerphanion : +1

Levallois

Mat Sand : +1

Meudon

Mat Centre : +1

Nanterre

Mat Triolet : +1

Mat Aubrac : +1

Mat Makeba : +2

Elem Makeba : +2

Elem Aubrac : +1 (dédoublement CP)

Puteaux

Mat Voltaire : +1

Mat Bergères : +1

Elem Bergères : +1

Elem Voltaire : +1

Vanves

Elem Larmeroux : +1

Vaucresson

Mat Grandes Fermes : +1

 

FERMETURES :

Bagneux

Mat Châteaubriant : -1

Elem Thorez : -2 (dédoublement CE1)

Elem Joliot Curie : -1 (dédoublement CE1)

Elem Wallon A : -1 (dédoublement CP)

Colombes

Elem Rousseau : -1 (dédoublement CP)

Issy-les-Moulineaux

Mat Anatole France : -1

Le Plessis-Robinson

Mat Wallon : -1

Levallois

Elem Sand : -1

Nanterre

Mat Balzac : -1

Mat Soufflot : -1

Puteaux

Elem Jacotot : -1

Elem La Rotonde : -1

 

Les enseignants qui ont été chassés de leur poste en 2018/2019 suite à une fermeture de classe (que ce soit en février ou en juin), et dont le poste a réouvert aujourd'hui, ont le choix de conserver leur nouveau poste ou de récupérer celui qu'ils ont perdu.

 

Fabienne SIRE

Représentante SE-Unsa 92 au CTSD

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Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92