Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Nous contacter

SE-UNSA 92

8 bis rue Berthelot

92150 SURESNES

Tél : 01 45 06 67 66

ou 09 62 58 48 72

92@se-unsa.org

Instances

Calendrier des instances

Jeudi 5 septembre 2024 : CSA SD. Mesures d'ajustement de carte scolaire

Vendredi 30 janvier 2025 : Groupe de Travail. Préparation de la carte scolaire rentrée 2025

Mardi 11 février 2025 : CSA SD. Mesures de carte scolaire rentrée 2025

Lundi 23 juin 2025 : CSA SD. Mesures d'ajustement de carte scolaire rentrée 2025

Réunions d'information syndicale

Mercredi 2 octobre 2024 : Suresnes à 10h (8 bis rue Berthelot)

Mercredi 9 octobre 2024 : Le Plessis-Robinson à 10h (école maternelle Louis Hachette)

Mercredi 13 novembre 2024 : Mouvement inter. Visioconférence à 10h

Mercredi 26 mars 2025 : Le Plessis-Robinson à 10h (école maternelle Louis Hachette)

Mercredi 2 avril 2025 : Mouvement intra. Visioconférence à 10h

11 mars 2019 1 11 /03 /mars /2019 15:20

Le 20 mars à Boulogne sur le mouvement départemental

 

En raison d’un changement de logiciel, le fonctionnement du mouvement départemental est profondément modifié cette année.

Les nombreuses mesures de carte scolaire, ainsi que la fusion des ZIL et des brigades, auront aussi une incidence sur les possibilités d’obtenir un poste à titre définitif à la rentrée 2019.

Le SE-Unsa 92 vous propose une rencontre avec ses délégués du personnel pour vous expliquer tous ces changements et répondre à vos questions.

Vous pouvez télécharger l'invitation ci-dessous et l'afficher en salle des maîtres.

Afin de préparer au mieux cette réunion, merci de vous inscrire en cliquant ici.

Partager cet article
Repost0
Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92
8 mars 2019 5 08 /03 /mars /2019 17:24

La France au 12ème rang mondial pour l'égalité femmes-hommes

 

Depuis 2006, le Forum économique mondial publie le « rapport mondial sur la parité entre hommes et femmes » qui analyse quatre critères globaux : participation et opportunités économiques, opportunités éducatives, santé et survie, et pouvoir politique.

Cette enquête a étudié la situation de 149 pays, et les a classés en fonction de leur performance globale, en agglomérant les quatre critères. Toutefois, de nombreux pays parmi les plus oppressifs de la planète n’ont pas été étudiés : Afghanistan, Corée du Nord, ou de nombreux pays africains comme le Soudan ou la Somalie.

L’un des constats les plus forts de ce rapport est sans doute l’inégalité qui persiste aujourd’hui entre les femmes et les hommes. Sur les 149 pays étudiés, la performance globale moyenne en termes d’égalité femmes-hommes se situe à peine à 68%. Cela signifie que sur une échelle où 0 représenterait l’inégalité totale et 100 l’égalité parfaite entre les femmes et les hommes, l’ensemble des pays étudiés ne se situe en moyenne qu’à 68%.

Si les critères « santé et survie » et « opportunités éducatives » sont relativement encourageants (95 et 96% respectivement) l’écart entre les femmes et les hommes est encore extrêmement fort dans les domaines économiques (59% seulement) et plus encore politique (22%).

En matière d’égalité femmes-hommes, les dix pays les plus avancés sur cette question sont l’Islande, la Norvège, la Suède, la Finlande, le Nicaragua, le Rwanda, la Nouvelle-Zélande, les Philippines, l’Irlande et la Namibie.
 

Et la France dans tout ça ?

Sur la question de la parité femmes-hommes, la France se retrouve à la 12e place, notamment en raison de sa place peu envieuse sur la question de l’égalité des salaires à poste égal, où elle est située à la 133e place. Mais aussi une intégration économique des femmes plutôt moyenne, comparée à d’autres pays de même niveau de développement : à peine 33% des postes d’exécutifs et de managers sont occupés par des femmes. Et même si on trouve 39% de femmes à l’Assemblée nationale, aucune femme n’a été présidente de la République et seulement deux ont été respectivement Première ministre et ministre de l’Éducation nationale.
 

Le 8 mars, journée internationale des droits des femmes, est l’occasion de réaffirmer ce combat.
L’Unsa est signataire d’une déclaration intersyndicale pour  interpeller le gouvernement autour de différentes urgences en matière d’égalité femmes-hommes : assurer une égalité salariale, lutter contre la précarité et revaloriser les métiers à prédominance féminine, promouvoir une parentalité partagée et lutter contre les violences sexistes et sexuelles.
 
Partager cet article
Repost0
Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92
7 mars 2019 4 07 /03 /mars /2019 20:31

Mobilisé·e·s pour l'Ecole publique et nos métiers

 

Le SE-Unsa appelle les enseignants, CPE, psychologues et personnels d’accompagnement de l’Education nationale, titulaires et non-titulaires, à se mobiliser samedi 30 mars pour :
  • s’opposer à la politique du chamboule-tout dans leur ministère comme dans la fonction publique en général ;
  • exiger des politiques qui s’inscrivent dans la durée, qui soient construites avec eux et qui les sécurisent pour relever durablement le défi de la cohésion sociale dans notre pays.
Les orientations menées au pas de charge depuis le printemps 2017 sont largement idéologiques. Elles ignorent le plus souvent l’expertise et l’engagement des professionnels et, pour une très grande partie d’entre-elles, ne répondent pas aux besoins de la Nation voire les desservent : modifications incessantes et formatage des programmes de l’école comme du lycée, évaluations standardisées des élèves en CP, CE1, 6e et 2de, suppressions d’emplois, heures supplémentaires imposées, reprise en main de la formation initiale universitaire, approche technocratique de l’organisation scolaire avec la création verticale d’établissements publics des savoirs fondamentaux, restriction des vœux de mutations dans le premier degré et suppression du contrôle des représentants des personnels sur les opérations de mobilité et de promotion, recours accru au contrat, cadeau à l’enseignement privé par le financement de ses écoles maternelles…

Samedi 30 mars, le SE-Unsa appelle les personnels de l’Éducation nationale à se rassembler et à manifester dans tous les départements pour : exiger une politique éducative qui s’inscrive dans le long terme et se construise avec eux en reconnaissant leur engagement pour le Service public laïque d’éducation.
Partager cet article
Repost0
Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92 - dans Actions
4 mars 2019 1 04 /03 /mars /2019 16:45

Toujours insuffisant !

 

Malgré une légère augmentation du taux de satisfaits pour notre département (16,26 %, contre 14% l'année dernière), les résultats des permutations informatisées créent toujours autant de déception chez nos collègues.

 

Le bilan 2019 s'établit de la manière suivante : 208 collègues quittent le département (pour 1279 demandes) alors que 118 l'intègrent.

Vous trouverez ci-dessous le tableau des départements obtenus par nos collègues, avec le barème minimum pour les rejoindre.

 

Retrouvez l'analyse nationale des résultats en cliquant ici

Partager cet article
Repost0
Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92
4 mars 2019 1 04 /03 /mars /2019 12:08

Interpellez vos élus

 

Le SE-Unsa, le Sgen-CFDT, le Snes-FSU, le Snuipp-FSU et la FCPE proposent aux enseignants et aux parents d’élèves d’adresser un courrier aux élus locaux (cf. modèle de courrier en PJ).
 

Ces élus locaux (maires, conseillers départementaux, présidents de conseil départemental) pourront potentiellement être impliqués dans la création d’un établissement de cette nature. L’établissement est en effet créé sur proposition conjointe des collectivités concernées. Pour le SE-Unsa, en voulant prendre en compte des regroupements « uniquement physiques » école-collège qui existent déjà aujourd’hui par le biais d’expérimentations, cet article de la loi pour une École de la confiance vient prendre le risque de modifier profondément l’organisation du système éducatif. Il impacte les enseignants, directeurs et adjoints, mais aussi les parents d’élèves et les collectivités.

Le SE-Unsa poursuit son travail auprès des parlementaires, des représentants nationaux des collectivités et des parents d’élèves pour obtenir le retrait de cet article lors de l’examen au Sénat.

 

Partager cet article
Repost0
Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92 - dans Actions
28 février 2019 4 28 /02 /février /2019 11:26

En attendant les résultats ...

 

Le ministère annonce les résultats des permutations informatisées pour lundi 4 mars.

Le SE-Unsa 92 s'est livré à une étude, département par département, des 1279 demandes de collègues qui veulent quitter notre département.

Le département le plus demandé est la Gironde avec 121 demandes, suivi de près par les Yvelines (120).

Consultez le tableau des demandes par département en cliquant sur le lien ci-dessous.

Partager cet article
Repost0
Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92
28 février 2019 4 28 /02 /février /2019 11:23

Quand la jeunesse s'en mêle

 

C’est à la fin de l’été 2018 qui a été le plus chaud dans son pays, la Suède, que Greta Thunberg âgée de 15 ans, a été à l’origine d’un mouvement d’engagement de la jeunesse pour le climat.
 
En quelque mois, #FridaysForFuture est devenu un phénomène mondial.
En France, un rassemblement est prévu le 22 février devant le ministère de la transition écologique avant la journée de grève scolaire internationale pour le climat, programmée le 15 mars.

Les slogans employés en disent long : « Pourquoi devrions-nous étudier pour un futur qui n’existera bientôt plus ? » ou encore « En 2050, vous serez morts, pas nous ! »

Cette prise de conscience de la jeunesse s’exprime par une attente forte à l’égard des gouvernements, pour qu’ils renforcent les politiques de transition écologique.
Or, la COP 24 qui s’est déroulée en décembre 2018 en Pologne, échoué à mobiliser les Etats vers la réduction drastique des émissions de CO2, qui contribuent largement au réchauffement de la planète.
Malgré les alertes du GIEC* la trajectoire qui est prise va accentuer la fréquence des catastrophes naturelles, des disparitions d’espèces vivantes, des migrations climatiques…

Pour le SE-Unsa, les questions environnementales conditionnent notre avenir commun.
L’urgence climatique est aussi une urgence sociale, car ce sont les plus démunis dans les pays du Nord et ceux du Sud qui souffrent le plus du réchauffement climatique. Ainsi, la jeunesse a raison de se préoccuper maintenant, du monde qu’elle aura à assumer demain.

*groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat
 
 
Ressources pédagogiques
 
Mise en œuvre de l’Education au développement durable, sur Eduscol : http://eduscol.education.fr/pid25547/mise-oeuvre-partenariat.html
Accéder au forum national de ressources sur l’Education au développement durable : https://crdp.ac-amiens.fr/edd/index.php/foredd2017
Pour impliquer les élèves dans des projets liés à l’économie sociale et solidaire : https://semaineessecole.coop/
Partager cet article
Repost0
Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92
22 février 2019 5 22 /02 /février /2019 11:16

L'Assemblée Nationale adopte sa création

 

En adoptant le projet de « Loi confiance » le 19 février, l’Assemblée nationale acte la possibilité de créer des établissements des savoirs fondamentaux, associant classes de collège et écoles.
 
Le débat à l’Assemblée a apporté des modifications au regard du texte initial :
  • Le « regroupement » n’est pas obligatoirement physique dans un seul et unique lieu (le texte initial laissait entendre le regroupement physique) ;
  • Les écoles doivent se trouver dans le secteur de recrutement du collège (au lieu du bassin de vie) ;
  • L’IA-Dasen émettra un avis (l’Éducation nationale était absente du texte initial) sur la création de l’établissement.
 
Il vient aussi préciser que le chef d’établissement exercera certaines compétences attribuées au directeur d’école et qu’un chef d’établissement adjoint issu du 1er degré aura en charge les classes du 1er degré.
 
Pour le SE-Unsa, le désaccord demeure :
  • Les acteurs que sont les enseignants ne sont pas consultés puisque leur accord n’est pas prévu ; il en est de même pour les parents d’élèves. Les conseils d’école et conseils d’administration sont en effet absents du processus.
  • Les instances de l’Éducation nationale (CTSD, CDEN) ne sont pas plus consultées.
  • Les interrogations demeurent sur les missions du chef d’établissement adjoint en charge du 1er degré au regard des directeurs des écoles intégrées à l’établissement.
  • Les temps supplémentaires pour les adjoints pour participer au conseil d’administration et au conseil pédagogique de l’établissement ne sont pas pris en compte.
 
Voulant prendre en compte des regroupements « uniquement physiques » école-collège qui existent déjà aujourd’hui par le biais d’expérimentations, cet article vient prendre le risque de modifier profondément l’organisation du système éducatif. Le SE-Unsa a d’autres propositions pour l’école et son fonctionnement.
 
Le texte va à présent être examiné au sénat. Le SE-Unsa poursuit son travail auprès des parlementaires, des représentants des collectivités (département et communes) et des parents d’élèves pour obtenir le retrait de cet article. Le SE-Unsa vient de proposer une rencontre aux organisations signataires du courrier commun demandant le retrait de l’article.
Partager cet article
Repost0
Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92
16 février 2019 6 16 /02 /février /2019 11:01

Mesures de carte scolaire, circulaire du mouvement départemental

 

Mesures de carte scolaire :

Suite au vote contre le projet de carte scolaire de l'ensemble des organisations syndicales lors du CTSD du 4 février, la DASEN représentait le même projet, avec 4 modifications cependant : l'annulation des fermetures à la maternelle Maurice Arnoux de Montrouge, des élémentaires St-Germain-Les Iles-Chabannes et La Fontaine à Issy, et une ouverture à la maternelle Ambroise Paré de Colombes.

Pour les communes de Bagneux et Colombes, les mesures qui ont été prises sont susceptibles d'évoluer en fonction des éléments qui seront fournis par les municipalités (modification de la carte scolaire).

L'ensemble des organisations syndicales a de nouveau voté contre, sans pouvoir de blocage cette fois-ci. Le projet sera donc présenté lors du prochain CDEN.

 

Circulaire du mouvement départemental

Pour la première fois, l'examen de la circulaire du mouvement relève de la compétence du CTSD, et non plus de la CAPD.

L'utilisation d'un nouveau logiciel, sur lequel nous avons très peu d'informations, nous fait craindre un retard important dans les opérations du mouvement cette année. Certaines nouveautés apparaissent comme l'obligation, pour les collègues qui ne sont pas titulaires d'un poste, de faire 2 vœux géographiques (sur un bassin) sur les nouveaux postes de titulaire remplaçant (issus de la fusion des ZIL et des brigades).

Nous proposerons aux collègues une réunion d'information syndicale sur cette nouvelle circulaire du mouvement, une fois qu'elle sera parue et que le calendrier sera connu.

Le SE-Unsa a voté contre cette circulaire, comme le SGEN, FO, et la CGT. Le SNUipp s'est abstenu, le SNALC était absent.

 

Fabienne SIRE

Représentante SE-Unsa 92 au CTSD

Partager cet article
Repost0
Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92 - dans Carte scolaire
16 février 2019 6 16 /02 /février /2019 08:44

Les syndicats ont obtenu le report de projets

 

Pour le SE-Unsa, il n’est pas possible de changer sans cesse les pièces du puzzle de la formation des enseignants et ceci, sans avoir discuté de la pièce centrale, la place du concours.
 
Depuis des mois, deux projets touchant à la formation étaient en discussion. La premier porte sur la création d’un dispositif de préprofessionnalisation à destination des étudiants se destinant aux métiers de l’enseignement et de l’éducation. Le second révise le référentiel de formation. Ces deux projets s’inscrivent dans le schéma de recrutement/formation actuel avec le concours en fin de M1 et ont vocation à se mettre en place dès la rentrée 2019.

Ces textes s’inscrivant dans le schéma d’aujourd’hui devaient être finalisés en Comité technique ministériel le 30 janvier. Mais le ministre, lors de son audition par la commission des affaires culturelles à l’Assemblée nationale le 23 janvier a annoncé sa volonté de changer encore la place du concours en master 2. Un changement crucial qui pourrait s’appliquer dès 2021.

Alors que les structures et les acteurs de la formation sortent juste la tête de l’eau de la mise en œuvre de la deuxième réforme profonde en moins de dix ans, que les jeunes et les étudiants commencent à retrouver la lisibilité du système de recrutement, les organisations syndicales unanimes ont demandé et obtenu le report des textes qui devaient être étudiés lors du comité technique ministériel du 30 janvier. Elles demandent que le ministre dise tout de ses intentions et qu’un débat global soit mené.

Une réunion ministérielle a été programmée pour le 5 février. Le SE-Unsa y portera son souhait de maintenir la place du concours actuel et de travailler plutôt à l’amélioration de son contenu et à une entrée plus progressive de l’entrée dans le métier.
Partager cet article
Repost0
Publié par Syndicat des Enseignants-Unsa 92 - dans Stagiaires et débuts de carrière