Nouvelle manifestation dimanche 23 juin à 14h30
Calendrier des réunions paritaires
Jeudi 5 septembre 2024 : CSA SD. Mesures d'ajustement de carte scolaire
Vendredi 30 janvier 2025 : Groupe de Travail. Préparation de la carte scolaire rentrée 2025
Mercredi 2 octobre 2024 : Suresnes à 10h (8 bis rue Berthelot)
Mercredi 9 octobre 2024 : Le Plessis-Robinson à 10h (école maternelle Louis Hachette)
Mercredi 13 novembre 2024 : Mouvement inter. Visioconférence à 10h
Nouvelle manifestation dimanche 23 juin à 14h30
Report des mesures au 9 juillet !
Le Groupe se Travail qui examinait les mesures d'ajustement de carte scolaire pour la rentrée 2024 s'est bien réuni hier comme prévu. Mais d'emblée, le Directeur Académique annonçait aux organisations syndicales représentatives qu'aucune mesure de carte scolaire ne pourrait être actée avant la fin des élections législatives. Un nouveau CSA SD sera donc convoqué le mardi 9 juillet pour entériner les décisions.
C'est dans ce contexte pesant que les délégués du personnel ont passé l'après-midi à examiner les situations des écoles présentes sur les documents de travail. Le SE-Unsa a aussi présenté la situation de toutes les écoles qui lui ont confié leur dossier.
Avec l'ensemble des organisations syndicales présentes, le SE-Unsa s'insurge contre ce report (qui n'est pas du fait du DASEN mais du ministère) qui aura de lourdes conséquences pour les écoles et les personnels qui sont dans l'attente d'une mesure de carte pour la rentrée prochaine : structure d'école en attente, commandes en attente, affections en attente, ...
Pascal ROSAMONT
Représentant SE-Unsa au CSA SD
Pour le SE-Unsa, c'est non !
Le choc des savoirs est imposé à marche forcée depuis des mois par notre Ministère auprès des familles et des personnels de l’Éducation nationale.
Dans ce cadre, il vient d'être annoncé auprès des enseignants une formation aux nouveaux programmes de mathématiques de cycles 1 et 2 dans les prochains jours.
Le SE-Unsa s'y oppose avec vigueur.
Celle-ci ne s'inscrit nullement dans une temporalité adéquate ainsi que dans un cadre réglementaire.
Une nouvelle fois, cela démontre le mépris croissant envers les personnels de l'Education nationale.
Le SE-Unsa a dénoncé cette formation et ce mépris en sollicitant par écrit le Recteur de l'académie de Versailles. Il s'est aussi associé à l'intersyndicale qui a aussi sollicité le Recteur suite à son message annonçant les modalités de la formation.
Les 2 courriers sont à lire en cliquant sur les liens ci-dessous.
Une ligne rouge à ne pas franchir
Les directeurs et directrices d’école n’ont pas à promouvoir la propagande gouvernementale
Une nouvelle fois, on somme les directeurs et directrices d’école d’assurer la promotion du Ministère à travers la transmission de documents aux parents d’élèves.
Il s’agit en l’espèce du « service après-vente » des mesures du Choc des savoirs au collège, notamment la mise en place des groupes en français et en mathématiques en classes de 6e et 5e.
Les supports de communication réalisés promeuvent des dispositifs dans leur forme purement théorique, pâle copie du contenu des textes règlementaires. Les groupes au collège, une fois mis en place, ne ressembleront quasi-jamais à la présentation idyllique des supports ministériels tant leur mise en œuvre est difficile et insuffisamment financée.
C’est pourquoi le SE-Unsa demande aux directeurs et directrices d’école de ne pas diffuser ces documents de propagande gouvernementale.
Pour le SE-Unsa, le Choc des savoirs c’est toujours NON.
Paris, le 3 juin 2024
Elisabeth Allain-Moreno
Secrétaire générale
Pour le SE-Unsa, c'est non !
Non au "choc des savoirs"
Nos organisations sont mobilisées contre le « Choc des savoirs » depuis plusieurs mois. Nous dénonçons cet ensemble de mesures, du premier degré au second degré, qui dessine les contours d’un modèle d’École passéiste et conservateur. Il vise à généraliser le tri des élèves dès le plus jeune âge, notamment par les groupes de niveaux, mais aussi en conditionnant l’accès direct au lycée par la mise en place de classes prépa-seconde en lycée général, technologique ou professionnel, en faisant du brevet une barrière à l’entrée au lycée. Le « Choc des savoirs » est une attaque frontale contre l’Ecole publique. Il est synonyme de retour en arrière sans précédent, en revenant sur les acquis de 60 ans de démocratisation scolaire. C’est aussi une certaine vision de la société qui est esquissée, celle du tri et de l’assignation sociale, dangereuse pour notre démocratie. Un pays où la jeunesse se trouve assignée à ses positions scolaires et sociales court un grave danger démocratique.
Nos organisations réaffirment avec force leur attachement au projet scolaire de l’École publique, laïque, gratuite et obligatoire : accueillir partout tous les élèves sans distinction d’aucune sorte, être ambitieux pour chacun, respecter et participer à une véritable liberté de conscience notamment par la construction de l’esprit critique autour de savoirs scientifiquement validés.
Aujourd’hui, le service public d’Éducation traverse une crise sans précédent : crise de recrutement, démissions, personnels qui témoignent d’une perte de sens de leur métier… A l’instar de l’hôpital public, l’École publique n’est pas loin de l’effondrement alors qu'elle doit avoir les moyens d'être l'école de la première chance. Nous ne nous y résignons pas ! Depuis plusieurs mois, nous sommes engagé.es dans la mobilisation contre le « Choc des savoirs » et pour la défense de l’École publique, réunissant au fil des jours, des semaines et des mois de plus en plus de personnels de l’Éducation nationale et de parents d’élèves. Poursuivons et amplifions la mobilisation !
Nos organisations appellent les familles, enseignants, personnels éducatifs, bénévoles et militants des associations d’éducation populaire, lycéens, étudiants et toutes celles et ceux qui se retrouvent dans le projet d’une École publique, laïque et émancipatrice à manifester le samedi 25 mai à Paris, pour l’École publique et pour dire « non au Choc des savoirs ». Ensemble, faisons société autour
de l'école !
Départ de la manifestation parisienne : 13h Place de la Sorbonne, en direction de la Place de la Bastille.
On se mobilise POUR l'Ecole publique
Compte-rendu
Déclarations Liminaires des Syndicats
FSU, Force Ouvrière FNEC FP, SUD, UNSA Education, Sgen CFDT, CGT Educ’action.
Réponses du DASEN
- Le choc des savoirs est une réforme qui se fait en concertation et en tenant compte des moyens de chaque établissement.
- Conscience du manque de place en IME, tout est mis en œuvre pour offrir des places supplémentaires d’ici à 2030.
- Conscience du manque d’AESH, continue d’accroitre les possibilités de recrutement.
- Tente de limiter l’impact RH par rapport à la baisse des moyens et travaille à l’attractivité du métier de professeur. Recrutement de 45 nouveaux contractuels en mars 2024.
- Séminaire de formation des encadrants de l’EN consacré à la protection des personnels et des élèves qui aura lieu le 24 avril prochain.
Adoption à l’unanimité.
DSDEN : Remplacement de M.Cuisset par Mme Michaux
Représentants du personnel : Remplacement de Mme Ducrocq par Mme Stoven
Adoption à l’unanimité.
Visite initialement prévue le matin mais déplacée l’après-midi à 13h30.
Programmation d’un GT de préparation de visite le matin même.
Adoption à l’unanimité.
Non-finalisé par la DSDEN donc report.
Etudié en GT le 14 mars, les modifications sont prises en compte par M.Laurent.
Adoption à l’unanimité.
Bilan expliqué par Mme Chaput.
Les maladies non-imputables au service sont des maladies antérieures, des conflits internes qui ne sont donc pas des maladies et un agent qui a retiré sa demande.
La baisse des accidents de service s’explique par la hausse du télétravail des agents administratifs.
Concernant le bilan des lésions, on constate une hausse des contusions et des traumatismes et lésions psychologiques (RPS).
On constate également une augmentation des chutes de personnes de plain-pied.
La présentation sera envoyée prochainement aux membres de la F3SCT.
Mme Cardozo se déplace dans certains établissements qui font remonter de la souffrance au travail, via le directeur ou l’IEN.
Cela permet de mettre des mots sur la souffrance et sert à définir un langage commun.
Sa présentation se décline en 3 axes :
- Travail et santé, quels enjeux ?
- La démarche de prévention
- l’identification et l’évaluation de RPS
Mme Cardozo rappelle les 3 valeurs essentielles à la démarche de protection : respect de l’agent, la transparence et le dialogue social (F3SCT/CSA).
Dans les fiches RSST, on ne peut pas écrire « harcèlement » car c’est un délit pénal, il faut préférer « présomption d’harcèlement »
Mme Cardozo présente enfin le tableau des acteurs de la prévention en précisant qu’il est très méconnu des agents sur le terrain et évoque la difficulté de la mission d’Assistant de prévention qui reste une mission parmi d’autres pour l’agent sans temps imparti à cette tâche.
C’est la priorité du recteur de Versailles.
La plaquette d’information est disponible sur Ariane :
L’affiche est en cours de validation.
Un guide cellule d’écoute est en cours de rédaction.
Enfin, un plan de formation est prévu pour les nouveaux entrants et les encadrants de l’EN à partir de septembre 2024.
Corinne Schiltz est absente donc report du compte-rendu.
Report au GT du 25 avril matin pour validation.
Report au GT du 25 avril matin.
L’académie de Versailles s’est rapprochée de l’académie de Poitiers.
La Présentation d’outils sera faite auprès de la F3SCT académique début mai 2024 puis le plan de déploiement sera lancé.
Avis 1 : erreur dans l’adresse mail du secrétariat F3SCT: « ca » au lieu de « ce ».
Recensement du DTA dans les établissements en cours.
Pas de questions.
Avis des représentants du personnel :
1-Non remplacement
Les membres de la F3SCT alertent sur le non-remplacement à répétition dans le premier degré qui génère une surcharge de travail régulière avec la répartition des élèves dans les classes des enseignantes restantes.
Nous demandons d’augmenter le nombre d’enseignant·e·s remplaçant·e·s afin d’assurer de meilleures conditions de travail pour tous et toutes.
2-Elèves violents ou non accompagnés
Les membres de la F3SCT alertent sur le nombre croissant d’enseignant·e·s et d’AESH qui subissent des coups ou doivent gérer des enfants à comportement inadapté, fugueurs.
Nous demandons un recrutement d'AESH à hauteur du besoin et une revalorisation salariale et statutaire pour le favoriser.
Nous proposons de diffuser par écrit, voie d’affichage et courriel à tous les PE du département les contacts des IEN ASH, des IEN, de l’ARS pour que des solutions soient trouvées sur le long terme et que leurs interventions puissent gagner en célérité.
3-Menaces
Les membres de la F3SCT alertent sur les menaces et insultes dont les agent·es sont victimes de la part des usagers.
Nous proposons de mettre en place un affichage de rappel à la loi afin de prévenir ces comportements ainsi que d’expliciter les modalités de dialogue lorsqu’un différend apparaît.
4-Température
Les membres de la F3SCT alertent sur les températures extrêmes constatées dans plusieurs communes du département durant la période hivernale, au printemps et en début d'été.
Nous demandons que la DSDEN rappelle aux 36 communes ses obligations en matière de maintien d’une température de minimum 19º préconisée afin de garantir les conditions de travail nécessaires pour les personnels de l’EN et les élèves.
5-"choc des savoirs"
L'annonce du choc des savoirs génère une très grande souffrance chez les personnels des écoles au lycée. Les membres de la f3SCT ont été alertés, autant par des chef·fes d'établissement que des enseignant·es, sur la surcharge du travail, le conflit de valeurs, la perte de sens du métier, les moyens perdus, le non-financement des mesures... Nous demandons qu’une étude d’impact soit effectuée.
6-Assistants de prévention
Les membres de la F3SCT demandent à la DSDEN 92 la liste des assistants de prévention dans le premier et second degré afin d’avoir une vision de leur déploiement.
Les membres de la F3SCT demandent les moyens alloués en décharge ou IMP pour occuper cette fonction.
7-Dématérialisation du RSST
Les membres de la F3SCT demandent le compte-rendu du travail mené sur la dématérialisation du registre SST et le planning de son déploiement sur le département.
Nous attirons l’attention sur le fait que la saisine doit rester accessible aux usagers et à l’ensemble des personnels (AESH, agents techniques, remplaçants).
Nous demandons que l’ensemble des représentant*es du personnel aient un accès aux fiches saisies et aux réponses de l’administration.
Nous demandons qu’un registre SST papier demeure au même titre que le RDGI dans chaque école ou établissement.
Jusqu'à la dématérialisation effective, nous demandons que la présence physique de ces registres soit vérifiée et qu’ils soient fournis quand ils ne sont pas mis en place.
8- Amiante
Les membres de la F3SCT demandent à la DSDEN 92 de veiller à ce que les directeurs et chefs d’établissement du 92 disposent du DTA dans leurs locaux. Si ce n’est pas le cas, ils doivent se rapprocher des collectivités pour l’obtenir et veiller à ce qu’il soit mis à jour.
Nous demandons que les chefs de services recensent et informent les personnels potentiellement exposés en ne se limitant pas à ceux nés avant 1962.
Nous demandons qu’une synthèse sur l’état de la gestion de l’amiante au niveau départemental soit effectuée et présentée en F3SCT ;
9-Ordinateurs
Les membres de la F3SCT demandent qu'une étude d’impact soit menée sur la mise en place par le CD 92 du "tout mobile" dans les collèges du 92 avant son éventuelle généralisation, ce changement d'outil induit une modification substantielle des conditions de travail.
Nous faisons la même demande sur la mise en place des ENI (écran numérique interactif) par le Région IDF. Ces deux projets se mettent en place sans réelle concertation avec les équipes alors même qu'ils engendrent un changement important dans les conditions d'exercice des enseignant·es.
10- Bilan des saisines RSST
L'article 59 du décret 2020-1427 du 20 novembre 2020 indique que "la formation spécialisée prend connaissance des observations et suggestions consignées sur le RSST".
Les orientations stratégiques ministérielles 2024 précisent que les membres de la formation spécialisée compétente prennent connaissance des inscriptions et des réponses qui y sont portées.
Nous demandons une synthèse des fiches remontées à l'Administration comme prévu par la loi en complément de la synthèse faite par le secrétariat de la F3SCT.
11- Visites ISST
L'article 58 mentionne que la F3SCT est informée des visites et de toutes les observations de l'ISST ainsi que des réponses de l'Administration à ses observations. Nous demandons que cet article soit appliqué.
12- Danger grave et imminent
Nous demandons à l'administration de nous présenter un bilan régulier sur les saisines dans le registre Danger Grave et Imminent et sur les droits de retrait exercés dans le 92.
Julie OZIOL
Représentante UNSA-Education 92 à la F3SCT
Compte-rendu
Droit syndical :
Rappel que les collègues ont jusqu’à 48h pour envoyer leur intention de grève.
Formation pendant les vacances :
Un bilan sera fait en CSA.
142 enseignants rémunérés, 79 en aout et 63 pour les formations d’octobre.
Exemples de formation : Débuter sur un poste ASH ou Brigade CAPPEI, la nouvelle 6ème, Se lancer dans le CNR éducation, Approfondir les connaissances de directeur, débuter en maternelle … entre autres choses.
Redoublement :
La circulaire vient de paraitre.
Recours permutation :
Jusqu’au 6 mai pour les recours, la semaine suivante les rendez-vous pour les recours.
Point RH :
107 ETP vacants dont 57,5 postes classe. TR et CPC pour les autres
524 contractuels à 450 ETP
45 prises de poste en mars
42 postes RASED vacants
Aucun poste de direction vacants au 1er avril 2024
30 TR positionnés sur postes des postes vacants
Elèves notifiés MDPH sans AESH : une bonne centaine dans le 1er degré.
CRPE 2024 :
2431 inscrits pour le classique
Nouveaux programmes :
Présentation sur la période 5
Manuels labellisés :
Un groupe d’experts travaille sur la question.
On attend le résultat des travaux.
Les uniformes :
Rentrée scolaire 2024 : Puteaux, Marne-la-coquette, Rueil, Levallois, Boulogne et Meudon
Affectations des contractuels :
Affectés à l’issue du mouvement des titulaires, en fonction des postes qui restent.
Une attention particulière sur le lieu de résidence.
Classe à effectifs allégés :
Demande des IEN du respect de ces effectifs. Mais la structure revient au conseil des maîtres.
Pôle harcèlement :
Ressenti d’un manque de reconnaissance des collègues qui gèrent au quotidien toutes ces situations.
Renforcer les appuis dans les circonscriptions, mais aussi au niveau du Département.
Valoriser les parcours.
Protocole entrée sécurisée en CP :
Cela n’existe pas dans les autres académies.
Mais c’est un travail particulier et chronophage pour les enseignants de GS.
On questionne la pertinence des items. La DSDEN est preneuse des retours du terrain. A faire remonter à la mission maternelle.
Caractère obligatoire ? c’est un dispositif qui est à destination des équipes qui s’en emparent ou pas.
Remplacement :
Rentrée scolaire 2023 : +20 postes
Rentrée scolaire 2024 : +11 postes implantés
Rupture conventionnelle :
Dispositif expérimental jusqu’à fin 2025.
Adresses fonctionnelles des gestionnaires :
19 personnes dans le service.
Meilleures prises en charge des demandes en cas d’absence sur les dossiers les plus urgents (RIB, pb RH). Un décalage dans certaines situations.
Les personnels de ce service sont accompagnés afin de résoudre ces problèmes de gestions.
AESH :
Bascule complète de la gestion des AESH sur la DSDEN.
300 AESH passeront en gestion DSDEN au 1er juillet.
Un courrier leur sera envoyé bientôt. Ils devront venir signer leur nouveau contrat et leur démission de l’ancien contrat.
Jeux Olympiques et Paralympiques :
Etudes d’impact pour les écoles et pour les collègues.
Une quinzaine d’école et de lycée seraient concernés. Décalages des horaires de la prérentrée ou des horaires de la semaine de rentrée.
Une communication sera faite fin mai/début juin.
Pascal ROSAMONT
Secrétaire départemental du SE-Unsa 92